Godiche Godrèche est même allée jusqu’au Sénat pour demander l’ablation des pénis des mâles. Sa fixette psychotique est la marque suprême du crépuscule des dieux et des hommes. Dans cette guerre des sexes, bien plus grave que celles de l’Ukraine ou de Gaza, on en a oublié que la femme coupable pond, pond, pond et re-pond à foison, alors qu’aucun homme – et aucune femme – n’a demandé à venir se faire chier sur cette terre de tarés. Et pourquoi n’évoque-t-on jamais les hommes battus, humiliés, conditionnés, réduits au néant, par ces milliers de femmes perverses qui dominent le monde. Derrière le roi, l’empereur, le tsar, le dictateur, le sadique, le pervers, chercher la femme. C’est toujours là que se trouve l’embryon. Si la justice était juste, pour tout homme accusé à tort – et il y en a des marmites – la femme accusatrice devrait se retrouver au cachot noir, nue, avec les gros rats puants des égouts de Paris.
J’ai revu et réentendu, hier sur Classica, « Les 7 portes de Jérusalem » symphonie avec solistes, chœurs et fanfares diverses de Krzysztof Penderecki, lui-même au pupitre. Magique, profondément humain, bouleversant de sincérité, loin de Godiche et des petites aventures mesquines des grottes rouges et des marteaux-piqueurs qui obsèdent le monde d’aujourd’hui dont les cervelles décharnées jonchent les belles autoroutes qui ne mènent à rien et surtout nulle part…
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