vendredi 8 mars 2024

vu à travers le tube • trop de choses à dire…

Journée de la femme. Insipide ! Tous les jours il y a des journées pour des choses insignifiantes. Et pour en rajouter, l’ado au psychisme inabouti et ravagé va sceller – dans le marbre - avec l’outil de l’inquisition du Moyen Âge, la libération du corps de la femme qui ne sait toujours pas que la contraception a été inventée. Il eut été plus intelligent de sceller définitivement l’égalité des salaires hommes femmes pour l’éternité. Mais l’avorton-Roi en a décidé autrement. Et ce sceau royal ne sort pas ici comme un cheveu sur la soupe. Il est là pour nous rappeler que nous sommes bien en monarchie et que nous ne sommes que les objets des plaisirs du monarque et de sa maman épousée.

 

L’affiche des JO fait polémique. Si le drapeau français et la croix du dôme des Invalides n’y figurent pas, c’est que le peintre a respecté le règlement des JO : pas de distinction de pays et pas de signes religieux. L’erreur de l’artiste est d’avoir fait figurer les Invalides dans son tableau. C’est tout. Il reste tout de même que si l’œuvre est bonne pour être accrochée sur les murs des musées, je ne vois pas en quoi elle est une promotion pour l’ânerie sportive que nous allons malheureusement subir.

 

Comment comprendre que l’on ne cesse de négocier la paix à Gaza avec les terroristes de l'Hamas ? Dès leur arrivée sur les lieux des réunions, ces gens-là devraient être exécutés sans sommation. Les laisser en vie, c’est cautionner leurs idées et leurs comportements.

Le tsar de France n’a même pas l’intelligence des priorités. Le danger n’est pas Poutine. Le danger, ce sont les narcotrafiquants de Marseille et d’ailleurs. C’est aussi l’invasion journalière et intensive des musulmans qui veulent mettre à genoux les français. Et c’est aussi – c’est peut-être le plus important – les déserts d’ignorances qui habitent les écoles de l’Éducation nationale, déserts qui étendent leurs influences sur tout le territoire et bien au-delà.

 

J’ai encore mille choses à dire, mais je suis obligé de partir. Mon Leclerc m’attend pour mon café matinal et je dois passer, avant, chez ma voisine de palier pour la saluer.  

 

 

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