Ouf ! La journée à la gloire de la femme est terminée. Le mauvais cinéma a fui l’écran pour au moins, une bonne année. Plus de Marseillaise mal emballée, plus de presse à sots, plus de stupides images du laid bouledogue Dupond et M., plus de déclamations sirupeuses et hors-sol du monarque ado au psychisme fracassé, plus d’écrans télés changés en cabinet de psy où toutes les femmes violées sont venues expliquer – en n'occultant aucun détail – leurs ressentis qui devraient être exprimés chez Freud uniquement. Mais il est vrai, que l’avortement étant devenu légitime et scellé définitivement dans le marbre de l’univers, la femme va pouvoir, désormais, copuler en toute liberté, je ne sais avec qui puisque l’homme est banni, ce qui est normal pour ce gros porc de salaud. En attendant, son salaire - celui de la femme - reste inférieur à celui du mâle, elle n’a toujours pas de pénis et sa perversité reste inégalable. Bref, l’orage est passé. Et comme il va revenir avant de disparaître, j’affute mon Nothung avant de sortir, protégé par mon armure, copier-coller de celle du Chevalier Bayard. La fin de cette civilisation n’est pas provoquée que par les délires et provocations des Macron, Zelenski, Biden & Cie, mais aussi par le comportement aberrant, immonde, puéril et primitif de la femme et de son rapport à la vie. Je ne vois pas en quoi je suis responsable de cette situation voulue par Dieu de Père, quand il a créé l’homme à son image – la sagesse – et lui a donné la femme pour dissiper sa solitude et en faire son jouet. Mesdames, adressez-vous au Père et non aux hommes de la terre qui ne sont que l'expression de la volonté de Dieu.
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