Les bonnes questions ne trouvent jamais leurs réponses parce qu’elles perturbent les habitudes et les conforts installés, mais aussi parce qu’oser poser la question est une marque de défiance envers ceux qui décident de la marche de nos vies et du moment de nos morts. Pourquoi les sondages placent-ils Bardella en position aussi confortable – ce qui me réjouit, bien que ne votant pas (plus), je ne pourrai voter pour lui - ? Pourquoi les sondages sont-ils les décideurs de la vie politique ? Pourquoi n’ai-je jamais été sondé ? Qui connait une personne qui connait au moins une personne qui connait une personne qui connait au moins une personne qui connait une personne qui ait été sondée ? Mensonges ? Illusions ? Formatage ? Destruction psychique ? Envoutement ? J’ai posé les questions que je résume en une : « Pourquoi ? ». Et personne n’y répondra parce que la question appelle la réponse qui appelle la réponse qui demande : « Pourquoi pourquoi ? » L’homme qui pense ne peut que questionner le monde pour connaître la fissure qui lui a permis d’y entrer et qui lui permettra d’en sortir. L’homme qui pense ne peut que se révolter devant Zelenski, Mélenchon, Biden, Macron, les dictateurs et élus dictateurs de ce monde, abrutis ignorants qui abrutissent les ignorants naïfs qui vivent morts en marchant lentement vers mon puits pour y tomber dans le noir de son fond où croupissent les illusions et fantasmes de ce que le monde a stupidement nommer « humains » alors que rien ne les rapproche d’une quelconque entité qui pourrait dire haut et fort : « Je pense, donc je suis ! » Quelle monstrueuse erreur aura été le monde.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire