lundi 6 mai 2024

le puits au fond du jardin • nos derniers instants…

 

Faust, Murnau, 1926


 

Les pestes du XXIe siècle annexent les civilisations occidentales – c’est déjà fait chez les cowboys – qui, à genoux, vivent leurs derniers instants. Je cite, et peu importe l’ordre : l’immigration intempestive, l’écologie dictatoriale, les déviations en tous genres – homosexualités, trans, drag-queens, GPA, mariages gays, etc… - qui renient la relation naturelle mâle/femelle, la robotisation générale de tous les actes de la vie. Dans moins de deux décennies, il suffira de manœuvrer un seul interrupteur pour arrêter, en un instant, la vie de tous les continents et ce sera bien pire que la bombe atomique, devenue obsolète. Il suffira d’une main malveillante pour couper l’électricité et plonger ainsi le monde dans le noir, stopper toutes communications et déplacements, désarmer les ordinateurs et ses dérivés, provoquer une telle panique que le monde s’autodétruira. Et en France, on se chamaille pour savoir qui va exterminer Bardella ! Pauvres débiles inconscients. La non-évolution du cerveau humain nous aura menés jusque-là. Les adultes sont la denrée rare. Les pensées sont à l’arrêt. Les psychismes se lézardent, se crevassent et se brisent sous le glaive de l’ignorance. Revenir au cheval et à la charrue et se concentrer sur nos représentations psychiques en travaillant sur le lien entre le conscient et l’inconscient. Les politiques de pouvoirs auront anéanti le monde. Toutes sans exception. Guider le fœtus sur le chemin qui mène à l’homme pensant et conscient est la seule invention – avec celle de la Démocratie – que les individus de toutes époques n’auront pas réussi à mettre sur les rails. Le monde est une vaste erreur. Les nouvelles générations vont en payer le prix.      


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