Faust, Murnau, 1926
Les pestes du XXIe siècle
annexent les civilisations occidentales – c’est déjà fait chez les cowboys –
qui, à genoux, vivent leurs derniers instants. Je cite, et peu importe l’ordre :
l’immigration intempestive, l’écologie dictatoriale, les déviations en tous
genres – homosexualités, trans, drag-queens, GPA, mariages gays, etc… - qui
renient la relation naturelle mâle/femelle, la robotisation générale de tous
les actes de la vie. Dans moins de deux décennies, il suffira de manœuvrer un
seul interrupteur pour arrêter, en un instant, la vie de tous les continents et ce sera bien pire que la bombe atomique, devenue obsolète. Il suffira d’une
main malveillante pour couper l’électricité et plonger ainsi le monde dans le
noir, stopper toutes communications et déplacements, désarmer les ordinateurs
et ses dérivés, provoquer une telle panique que le monde s’autodétruira. Et en France,
on se chamaille pour savoir qui va exterminer Bardella ! Pauvres débiles
inconscients. La non-évolution du cerveau humain nous aura menés jusque-là. Les
adultes sont la denrée rare. Les pensées sont à l’arrêt. Les psychismes se
lézardent, se crevassent et se brisent sous le glaive de l’ignorance. Revenir
au cheval et à la charrue et se concentrer sur nos représentations psychiques
en travaillant sur le lien entre le conscient et l’inconscient. Les politiques
de pouvoirs auront anéanti le monde. Toutes sans exception. Guider le fœtus sur
le chemin qui mène à l’homme pensant et conscient est la seule invention – avec
celle de la Démocratie – que les individus de toutes époques n’auront pas
réussi à mettre sur les rails. Le monde est une vaste erreur. Les nouvelles
générations vont en payer le prix.
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