vu à travers le tube • clap de fin…

On me dit que le Premier ministre Attal est porté disparu depuis dimanche soir, 20 heures, et que l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France va annoncer, cet après-midi, qu’il met sa démission dans la balance en cas d’échec de son parti, aux législatives. On me dit aussi que le même enfant, ce même dimanche et à la même heure, apprenant le triomphe du RN, aurait fait un caprice. Il aurait jeté à la figure de sa vieille maman, qu’il a épousée, sa crème de marron-chantilly, et depuis, ferait une dépression. Il doit absolument consulter. Freud est toujours disponible. Et depuis que l’enfant précité a annoncé la dissolution, on était en droit de penser que les candidats aux législatives précipitées se seraient attelés à l’élaboration d’un programme efficace pour sauver le pays agonisant. Et bien non ! Ils n’ont toujours pas tiré la leçon. Ils continuent à s’invectiver et à s'insulter en cherchant les alliances contre-nature qu’ils pourraient bien s’approprier. Et tous, à l’unisson, poursuivent leur guerre insensée et puérile contre le FN qui a bien mérité son succès et la confiance de plus d’un tiers des français. Après des semaines d’injures et de menaces, voilà que cette pauvre gauche incompétente, malhonnête et débile se rabiboche avec les chiottes et chiots terroristes de Mélenchien. L’horreur absolue ! Pauvres français qui avez encore quelques années devant vous, je vous plains. Ce sont les cauchemars qui vont hanter, en permanence, votre fin de vie. Moi, je suis si vieux que je me retire. Plus qu’Intermezzo, Butterfly et Tosca, en fin de semaine, au Deutsche Oper Berlin et Mahler-Rattle à Lucerne, début septembre, et je pourrais enfin partir, loin de cette terre qui n’aura été qu’un champ de guerre et de mépris dans un monde d’abrutis.