mercredi 26 juin 2024
vu à travers le tube • freud n’est pas passé par là…
Nos glorieux anciens qui
aujourd’hui vivent morts depuis des siècles, n’avaient pas nos problèmes. Quand
ils changeaient de roi – toujours après la mort de celui qui était en place,
sauf pour ce pauvre serrurier Louis XVI qui aimait beaucoup sa jolie et futée
Marie-Antoinette de Sophie de Coppola – c’était dans la continuité. Que ce soit
ce roi-ci ou ce roi-là, les français restaient des soumis qui devaient travailler
comme des abrutis pour payer les orgies fastueuses des cours royales. Ils
restaient pauvres de père en fils, sauf lorsqu’ils avaient la chance de marier
leur petite fille à un gros porc con de bourgeois. Aujourd’hui, les changements
de pouvoirs sont radicaux et brutaux. Après Hollande, la belle endormie,
réveillé il y a trois jours par le prince Mélen-chien qui lui a déclaré sa
flamme, un jeune petit arrogant marié à sa maman s’est fait élire par des cerveaux
vides de sens, en leur mentant effrontément. Et nous en sommes là aujourd’hui,
tous sur le cul entrain de tenter de réaliser ce qui nous arrive devant les
invasions barbares et les violences perpétrées par une grande majorité de
bambins des crèches et des maternelles qui ne jouent plus à la poupée ni même
aux jeux sexuels du papa et de la maman, mais au plantage des lames d’opinels
dans les ventres de toutes ces chaires dont la tête ne leur revient pas. En France,
on ne parle que de République et de Démocratie, alors que ces deux mots ne sont
toujours pas dans les Larousse et Robert, petits et grands, et cette dictature
déguisée depuis la révolution ratée de 1789, devient, tout doucement dictature
réelle et sans concession. C’est en 2027 que le ciel va tomber sur les têtes et
que l’heure viendra de payer. L’épisode Bardelle-Le Pen ou Mélenchon-Panot sera
de courte durée. L’épisode Macron est déjà terminé. Et si nous en sommes là,
ce n’est pas par la faute des écrans, des réseaux sociaux ou de ce genre de
modernités imbéciles, mais seulement parce que les enfants n’ont plus de
parents et que devenus parents, ils seront incapables de reconnaitre un enfant.
Et moi, je constate, une fois encore, que Freud n’est pas passé par là.
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