samedi 31 août 2024

vu à travers le tube • les guignols tristes…

Si l’enfant pitoyable – psychisme altéré, comportements juvéniles, incapacité de différencier – a démissionné son gouvernement, c’est pour lui permettre de se présenter aux législatives. C’est fait. Alors, qu’attend-il pour lui redonner ses fonctions. Celui-là ou un autre, qu’est-ce que ça change ? Ceux qui font confiances aux politiques, qui boivent leurs mensonges, sont dans le cas de l’enfant. Ce qu’il faut faire pour redresser la barre, le monde entier le sait, sauf les élus : supprimer l’élection du président au suffrage universelle, appliquer l’élection à un tour à la majorité relative et à la proportionnelle, incarcérer les délinquants dès la première incartade – qu’ils aient 10 ou 90 ans -, sur le champ et sans jugement, en en compressant dix dans une cellule de trois, tirer à vue sur tous ceux qui tentent d’échapper à la police, et, enfin, commencer toutes enquêtes concernant les mineurs par la mise en examen des parents qui auraient dû réfléchir à deux fois avant de passer à l’acte coupable, celui de pondre dans la plus totale ignorance des conséquences. Bref ! Comme le dit Fernandel : « On n’est pas sorti de l’auberge ! »

 

Dernier jour avant mon départ pour ma rencontre avec Gustav Mahler et Simon Rattle. Je vais oublier, pour un temps, les guignols tristes de la politique.


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