mardi 28 janvier 2025

le puits au fond du jardin • le théâtre se meurt…

 



 

Molière, Racine, Feydeau et Ionesco ont déserté la scène. Le théâtre est affligeant et les abonnés ne laissent plus leur tête de lapin au vestiaire parce que montrer son vrai visage qu’est l’ignorance, est aujourd'hui la clé qui ouvre la porte du pouvoir. Rotailleau se bat à mort pour nous débarrasser de la vermine gauchiste islamique. Lombard, son collègue de la finance, une vermine gauchiarde, vante l’immigration à tout-va et même – c’est le pompon – assure que l’héritage Hollande est – comme l’immigration – une chance pour la France. Et – autre pompon – Bayrou qui, à force d’avoir le cul entre deux chaises, est tombé au fond du trou, opère, sous les yeux clos des Français, sa mue en socialo, la secte des trucs machins hideux et puants. Le grand remplacement est bien en marche, d’autant que ce pauvre Hollande manœuvre en dessous, bien caché derrière les premiers rangs avec la lâcheté qui la toujours caractérisée. Tout se passe entre lui - et en cachette - et Bayrou, et ce déchet fait tout pour retrouver le trône de l’Élysée, ce qui ne pourra que satisfaire Madame, l’actrice peu reluisante qu’il a épousée.  Deux France s’opposent violemment. Celle de la défense de son identité et celle qui se vend en petites tranches à l’ennemi. Pas de compromis possible. L’une des deux doit mourir. Et ce ne sont pas les élections dévastées par les conditionnements des pensées qui vont pouvoir régler un si vaste problème, qu’il dépasse de loin la piètre intelligence humaine. Pleurer sur l’assassinat d’un enfant de 14 ans par deux tarés de 16 ans, ne sert à rien. Les hommages posthumes et les marches blanches encore moins.  C’est avant qu’il fallait y penser et faire en sorte que le sauvage qui sort du ventre de la femme coupable, acquière suffisamment d’humanité pour ne plus avoir le temps de titiller son voisin et soit capable d’occuper son temps à modeler ses pensées de façon à se défaçonner. Freud à la solution. Lui et lui seulement. Il peut vous donner l’occasion de chercher votre miroir, de le trouver, de vous y regarder, de vous y reconnaître et de la traverser. Alors, faites ! Et ne chercher aucun prétexte pour y échapper. Non, Freud n’a pas découpé sa fille pour la manger, ni violer sa grand-mère. Il a simplement et tout bêtement analysé votre animalité et inventer une thérapie qui fait tomber votre peau de bête féroce pour endosser celle de l’humain. Ne serait-ce pas la vraie victoire de l’homme sur l’adversité ?  

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