mercredi 29 janvier 2025

le puits au fond du jardin • freud, bach, et c’est tout…

 



 

Je ne me pardonnerai jamais d’avoir été, pendant cinq ou six décennies, un socialiste convaincu et qu’il y en ait encore quelques restes aujourd’hui, quand je vois ces pitoyables socialos trou du cul, qui vendraient leur âme à Méphisto – Faust était socialiste – pour la miette de pain revomi par mon petit canari jaune figé derrière ses barreaux. Leur alliance avec  LFI, l’ignominie jamais atteinte sur cette terre ; la morale à deux balles de la vieille Borne qui remonte les bretelles des recteurs parce que la police est venue mettre les menottes a une élève terroriste sans papiers, dans la salle de classe, devant les élèves ; Boyard, le braillard terroriste en passe de devenir maire ; le mot « submersion », mot si bien approprié dans le contexte, qui provoque des crises d’hystéries profondes à l’intérieur du parti en charpie ; l’enfant au psychisme inabouti qui sert  de roi à la France, roi sans culotte, sans pantalon, sans fonction, qui prend encore la parole, de temps à autre, pour vomir ses fantasmes d’embryon éternellement figé dans le ventre de la femme coupable.

 

Oui, j’ai longtemps pensé socialiste. Aujourd’hui, si je me tourne vers Rotailleau, Le Pen, Maréchal, Zemour et l’esprit Cnews/Europe 1, je pense et agis en fonction des deux seuls maitres qu’a connu notre civilisation fuyante. Sigmund Freud d’abord, le seul qui ait compris le fonctionnement psychique de l’humain et qui a inventé la thérapie psychanalytique pour tenter de faire comprendre que ce que voit et entend l’homme n’est pas, d’où ses traumatismes qui l’emprisonnent à vie s’il ne pousse pas la porte du cabinet du maitre pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Jean Sébastien Bach ensuite, qui par ses compositions, reflets précis de notre psychisme, décrit, dans son universalité et le résume dans « L’Art de la fugue », la primordialité de la fondamentale, celle sur laquelle tout individu devrait établir les tables de sa loi, l’équilibre, la clarté et l’éclairage du chemin qui mène de l’inconscient à la porte du conscient. Cette immense victoire permettrait de gommer à tout jamais les pièges mortels tendus par Boyard, Panot, Mélenchon, Hollande, Bayrou, Macron, Sarko, Chirac, Mitterrand, Napoléon, Louis XIV, Henri IV, François Ier, Royale, Cohen, et tant d’autres, qui ont prôné ou prônent, aujourd’hui, l’ignorance qui enrichit la cécité et la surdité du peuple de France.

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