L’invasion des politiques au Salon de l’Agriculture est un ignoble scandale. Par leur faute et exclusivement par leur faute, l’agriculture meurt et ces salauds viennent se pavaner au milieu de leurs victimes qui, toutes aussi coupables, devraient les envoyer hors des lieux à grands coups de pieds dans le cul, majorité comme opposition, parce l’opposition est vouée à devenir majorité et à poursuivre la même politique une fois arrivée au pouvoir.
Hier, encore un attentat islamiste et les mêmes compassions faux-culs pour les victimes, et les mêmes promesses illusoires depuis des décennies. Si les OQTF ne peuvent être extradées, pourquoi sont-elles dans la nature ? Les prisons sont vides. On n’y trouve que 4 ou 5 détenus dans une cellule pour 3. Il me semble que l’on pourrait en mettre 15 ou 20 et sans doute plus, en bourrant un peu. Le bien-être des pensionnaires n’est pas mon souci ni celui de ma voisine de palier. Quand va-t-on cesser ce laxisme criminel ? Quand va-t-on cesser d’être des serpillières sur lesquelles les Algériens et leurs voisins essuient la merde qu’ils ont sous les pieds ? Quand va-t-on avoir un gouvernement et un président muets pour de vrai et qui agissent dans l’instant, avec amabilité ou avec la violence nécessaire ? Je ne cesse de me demander quand les Français vont sortir leur nez des jupes de leurs mères et prendre conscience que l’on ne devient pas adulte par un coup de baguette magique. Pour grandir, il faut travailler, et travailler, ce n’est pas flemmarder sur un ordinateur, ni vendre Médiapart et d’autres torchons, ni conduire un TGV, sans cesse en retard, ni monter des murs pour construire encore des maisons, ni jouer du tuba dans la Quatrième de Mahler. Travailler, c’est étudier les moyens de relier notre conscient à notre inconscient pour ouvrir la porte de la pensée et réussir à marcher sur nos deux jambes sans trébucher sur le moindre petit caillou. C’est pour cela qu’il faut pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher notre miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser. C’est alors que nous verrons à quel point le monde est différent du monde et à quel point l’homme n’est pas l’homme que nous habitons.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire