mardi 4 février 2025

le puits au fond du jardin • le noir du trou au fond de mon puits…

 



 

La sénatrice Union Centriste, Anne Billon, veut revoir la loi sur l’inceste parce que, selon elle, certains enfants sont consentants. Si le monde marche sur la tête, elle, elle ne peut pas, parce qu’elle, elle n’en a pas. Comment est-ce possible qu’une large partie du peuple vote pour ça, ou pour Boyard, le chien idiot crétin, ou pour Mélenchon, l’islamiste terroriste, ou pour l’ado psychopathe enfermé dans sa confusion qui sert, perversement, lâchement et dangereusement, de roi pour la France.  Tous ces gens détestables qui nous gouvernent ou qui le voudraient bien, sont des élus. C’est pourquoi je m’autorise le droit de me poser de sérieuses questions quant à la légitimité de l’élection. Pour ma part, cela fait plus de quarante ans que je n’ai pas glissé de morceaux de papier cul dans la fente d’une urne – et j’en suis très fier – parce que j’en vois l’épouvantable danger. Les élections n’amènent que des putréfactions qui préparent les dictatures dont jamais la France n’a été aussi proche. Après le détestable destructeur Macron, voyez-vous un soupçon d’ombre à l’horizon d’où surgirait un héros marchant dans la lumière et en sèmerait quelques graines dans les crânes vides des humains nourris à l’ignorance et au déni ? Moi, pas ! L’homme – comme l’enfant de l’Élysée – est inachevé. Jamais, de tous les temps, il n’a dépassé le stade de l’enfance qui joue au papa et à la maman, aux cowboys et aux indiens, aux soldats de plomb et aux clichés qui ne montrent sans cesse que l’arbre et jamais la forêt qu’il cache. C’est pourquoi il ne reste, pour notre dernier salut, que la porte toujours entrouverte qui s’ouvre sur le cabinet de Freud, cette porte que nous devons pousser pour rencontrer le psychanalyste qui va nous accompagner dans la recherche de notre miroir que nous devons trouver et dans lequel nous devons nous regarder, nous reconnaître, puis le traverser. Tout le reste n’est que banalités, bêtises, dénis, mensonges, perversités, auxquelles nous nous sommes s’y bien accommodés. Tans que nous ignorerions le sens, nous resterons figés et finirons par nous enfoncer dans le noir du trou au fond de mon puits au fond de mon jardin.  Et je n’irai pas vous y chercher.

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