On a beau dire, on a beau faire, on a beau alerter, on a beau expliquer, l’homme, imperturbablement crétin, poursuit sans broncher son petit bonhomme de chemin tortueux, pierreux, épineux, en se décomposant et se tassant à chaque pas, et, comme les vaches ruminantes tachées de noirs et de blancs, regarde passer les trains. Le grand remplacement a commencé et a même abouti à certains endroits, parce que les déchets sortis des urnes ont laissé les portes grandes ouvertes aux envahisseurs qui ont recruté leurs complices au sein même de l’Assemblée, chez les braillards déguenillés qui faisant sans cesse la loi, s’approchent du pouvoir. Et, même en scrutant l’horizon, on n’aperçoit toujours pas l’ombre d’un héros qui pourrait stopper cette vermine et la bouter hors de nos sols. J’ai connu le valeureux Thierry de Royaumont, le chevalier Bayard, Hopalong Cassidy, Lohengrin et son cygne, Siegfried et son Nothung. Aujourd’hui, nous avons Boyard, Panot, Macron, Mélenchon, Faure, Hollande, et d’autres restes et débris d’os de pintades farcies. Plus piètres et pleutres que la France et les français, je ne vois pas. Je ne vois que là-bas, sur l’autre rive, l’énergie boulimique d’un président déterminé. Il a commencé sur les chapeaux de roues. J’espère qu’il ira jusqu’au bout de ses bouts.
En France, l’homme souterrain, celui qui parlerait à l’oreille de Bayrou et qui ferait la pluie et le beau temps, serait l’homme au scooter, selon les bruits qui courent. Et c’est ce chuchoteur qui espère revoir son fessier se reposer sur le trône de François 1e et Henri IV. On va de catastrophe en catastrophe. Quelle importance puisque la jeunesse est de nouveau en vacances et qu’après les vacances, elle enchainera d’autres vacances auxquelles suivront les grandes vacances. Et l’on s’étonne qu’à 30 ans – en fin d’études -, les enfants ne sachent toujours pas lire, écrire et compter.
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