La bien-pensance française, qui va de l’effrayant terrorisme islamique mélenchoniste aux trois quarts de la droite mole du Rassemblement National, en passant pat les stupides poupettes unisexes macroniennes, est en passe d’obtenir la tête de l’empire Bolloré et de son inénarrable Hanouna, ce grand chœur mixte, le seul, qui pouvait encore garantir nos libertés. Les français veulent la guerre et, déjà, frissonnent de désir rien qu’à l’idée de voir sur leurs écrans, Chevalier Macron endosser son armure étincelante, brandir son glaive magique et partit à l’assaut du Bolchoï, sur son magnifique cheval blanc, pour participer à la mort du cygne après le viol de la belle au bois dormant. À la suite de ses hauts faits d’armes, il sera élevé à la haute fonction d’Empereur de toutes les Russies et de toutes les Europes franchouillardes fantoches, et il ne lui restera plus qu’à museler la Chine et les Amériques pour satisfaire les pulsions qu’il ne peut avoir ailleurs. La guerre est imminente. Elle sera la dernière. Et la seule conclusion qui tombe sous le sens, c’est que l’homme n’a jamais été homme, puisque toujours il est resté petit enfant sauvage dont le nombre de neurones n’a jamais dépassé celui de la feuille de laitue que me donne ma voisine de palier pour nourrir mon perroquet vert-de-gris, qui, tel le miroir de l’humanité, ne cesse de répéter, matin et soir : « Connard ! Connard ! Connard ! »
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