Il va ruiner les français qu’il
a déjà ruinés, avant de les envoyer au front, en passant par le prétexte de l’Ukraine,
pour assouvir son besoin d’asservir Moscou et l’immensité de la grande Russie, afin de pouvoir dire à son miroir, sans raser sa barbe imberbe : « Je
suis le sublime empereur, tsar, roi, dictateur, Ubu et Dagobert, du tiers du
globe. Plus que les Amériques et la Chine, et le monde rampera à mes pieds ! »
Il est fou à lier et ne peut se contenir que sous les jupes de sa maman qu’il a
épousée, là où il vit ses phantasmes puérils et criminels pour les populations.
Il va trouver de l’argent pour satisfaire les militaires, les amoureux des
uniformes et de la marche au pas en cadence sur des musiques pompières. Sa
vision va vers la gloire et passe au-dessus des égorgeurs à l’opinel, au-dessus
du foutoir des hôpitaux, au-dessus des formulaires-rébus de son administration,
au-dessus de ceux qui pratiquent le jeune obligé à partir du 10 de chaque mois,
au-dessus de l’ignorance abyssale de l’Éducation nationale, au-dessus des tares
des parents improvisés, au-dessus d’une France en miette, se dissolvant dans les
laves puantes de son vomit. Avant de sauver l’Ukraine, il serait bien avisé de
s’occuper de son pays, d’y exterminer les criminels islamistes qui votent pour Mélenchon
et ses amis, et de s’adresser à la nation pour parler vrai et affirmer haut et
fort que les gens du RN sont des citoyens comme les autres et souvent, avec
Maréchal et Zemmour, des gens plus intelligents que lui et que les autres partis,
et que rien ne justifie leur exclusion en les plaçant hors du champ
républicain. Rien de tout cela se fera. L’enfant va continuer de semer la mort
sur son chemin, sous l’œil éteint du peuple avachit.
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