Ils n’étaient pas si nombreux que ça les indigènes qui ont marché dans les rues des villes de France, ce dimanche. J’ai surtout vu des excités remontés à la coc mélenchoniste, des voyous terrifiants portant des pancartes insultantes et provocantes, des ennemis de la République qui vont prendre la pouvoir par les armes si la population ne cesse pas sa tolérance vis-à-vis de l’enfant sans couille et du premier des ministres, un mou des mollets qui ne cesse de s’assoir entre deux chaises. Après ses attaques racistes, antisémites et toute la suite, Mélenchon à tous les atouts du dictateur en puissance qui a toutes les chances d’arriver à l’Élysée si le RN reste derrière la ligne rouge, comme l’est Freud, depuis des décennies - alors que sa thérapie est la seule solution pour sauver le pays et le monde -, et si la droite poursuit inlassablement ses chamailleries. Quant aux pitoyables socialos, ils sont condamnés par leurs bêtises, leur ignorance, leur esprit façonné, leur pensée conditionnée. Ils sont en état de léthargie constante en rêvant qu’ils parlent entre eux dans le pays qu’ils se sont inventés, dans le coin de l’univers où seuls eux, ont accès. Regardez la bouillasse d’Hollande ! Et dire que j’ai voté pour ça, pendant quatre décennies. Jamais je ne me pardonnerai de m’être fourvoyé et méprisé de la sorte. Je ne vote plus. De la pire des gauches à la pire des droites, je ne fais pas confiance. Je n’ai jamais fait confiance aux voyous menteurs, lâches et ignorants. Je suis fidèle à Freud, à Molière, à Wagner et à Lynch. J’écoute Céline Pina et Rachel Kahn. Ça me suffit et ça me remplit. Les restes sont tous à la poubelle, ce qu’il en reste, après le passage des gros rats puants de la psychopathe Hidalgo.
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