Marine Le Pen a été condamnée à mort par trois « juges » au service de la gauche purulente qui ne cesse d’abattre ce pays et qui caractérise l’enfant au pouvoir et ses soumis. La France, qui croit être une grande démocratie, amuse la galerie et ne cesse d’être la risée des pays voisins et de ceux plus lointains. Ce n’est pas la liste interminable des fautes que la députée européenne a commises qui pose problème, mais bien cette exécution provisoire qui n’a pas lieu d’être puisque la récidive et le trouble à l’ordre public ne sont qu’une invention pour rayer Marine de la liste des prétendants à la fonction suprême. Le jugement n’a rien de juridique puisqu’il est essentiellement politique. Reste à savoir si Macron va ressortie la guillotine ou le gibet. Ce n’est pas très glorieux de poignarder la France qui gît à terre depuis plus de quarante ans. Plus que la mort de Le Pen, c’est la mort de la France que la justice du mur des cons a décidé. L’histoire est impitoyable et marche dans les pas du géant qui, dans ses apparitions furtives, hurle aux oreilles de Cooper : « Ça se reproduit ! Ça se reproduit ! » Et quand l’institution prend le pas sur la représentation du peuple, c’est l’annonce du séisme qui produit les révolutions qui se terminent par les séparations des têtes et des corps dans des océans de sang. Pauvre France ! Pauvre Français ! Et tout ça parce que dans le pays de Molière, de Voltaire et de Debussy, la lâcheté et l’ignorance ont fait leur nid et qu’elles s’y trouvent bien. Et là aussi, Freud est rejeté, ce qui rend impossible les facultés de différentiations, le conscient n’étant pas relié à l’inconscient en raison de l’impossibilité de fabriquer le cordon.
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