En fait, l’enfant de l’Élysée est un super produit LFI, un pervers égal à Mélenchon, Bompart et Panot, réunis, un embryon déconnecté de toutes réalités. Le voilà à la tête des écolos, des fous furieux qui prétendent conquérir les tempêtes, les canicules, les glaces éternelles. La terre n’a pas besoin de minuscules pantins ridicules désarticulés pour gérer sa grandeur et sa puissance. Quand la terre rendra l’âme, les stupides humains auront disparu depuis des milliards d’années et sans doute beaucoup plus. Et quand on voit l’enfant immature au psychisme inachevé avoir la prétention de dompter la nature alors qu’il n’est pas capable de maîtriser une dizaine de gamins voyous qui cassent tout sur les Champs-Élysées, on croit rêver tout éveiller. Misérable personnage qui vit chichement aux frais du contribuable, qui aura passé sa vie publique chez ses amis voisins ou plus lointains et ne sera jamais privé de les caresser et de les bisouter à volonté. La perversité du gugus est grande, si grande que l’œil du brave ne la voit pas. C’est pourquoi il lui est si facile de mentir et de manœuvrer, tout à son aise, les populations. Le jeunot veut posséder le monde. Il va monter de plus en plus haut et sa chute n’en sera que plus admirable. Quand elle l’aura précipité dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin et que j’entendrai ses cris insoutenables, je ne bougerai pas le petit doigt. Lui et moi, étendu sur l’herbe verte des belles nuits d’été, nous contemplerons la lune, cet astre magique qui aura passionné tant de poètes de génie. C’est sur elle qu’Elle, a rencontré Pierrot.
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