Sur l’autre rive, Trump
envoie l’armée pour maitriser les migrants et voyous en tous genres qui s’arrogent
tous les droits. Ici, l’enfant de l’Élysée préfère envoyer en prison les
policiers qui osent chatouiller les sauvages qui ont bien compris qu’ils pouvaient
s’en donner à cœur joie. Et lorsque l’un deux est pris dans les filets de l’ordre,
il lui suffit de demander à aller faire pipi pour s’échapper par la sortie, en
toute tranquillité. Le même enfant, dont l’évolution du psychisme à cesser dès
la maternelle, à piqué une grosse colère, hier, quand on lui a dit que son
gouvernement – le sien – a supprimé l’aide à la rénovation des logements et
censuré l’interdiction aux modestes gens de se rendre en ville parce qu’ils n’ont
pas les moyens de se payer une voiture électrique. Le misérable garnement se
soucierait donc des vertus de l’écologie, lui qui passe sa vie dans son avion
pour deux ou trois balades quotidiennes avec bobonne qu’il a épousée. Cette
petite évolution d’embryon passe son temps d’oisif à provoquer plus grands que
lui. Il bombe le torse qu’il n’a pas et se soucie peu du peuple qui ne peut l’avoir
élu parce qu’on ne peut être désigné chef quand on recueille seulement 11 ou
12% de suffrages. Il l’envoie au casse-pipe, en voulant à tout prix entrer en
guerre avec les géants. Il est si vrai qu’une guerre bien torchée lui
permettrait de prolonger ses vacances parce qu’en pseudo-démocratie, on n’organise
jamais d’élections quand des bombes nous tombent sur la tête. L’immonde est
bien là et personne ne sais pour combien de temps.
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