Ce matin, c’est à propos de Bayrou que j’ai envie de ferrailler. La dette de la France n’est due qu’à ses élus depuis De Gaulle, et exclusivement à cette secte, minable et misérable, qui ne s’est jamais renouvelée, sur plus de 50 ans. La droite et la gauche ont marché vers le désastre, la main dans la main. Elle est due à cet entre-soi minuscule qui a vampirisé l’Élysée et le Parlement pour toujours mieux mépriser le peuple, sans doute avec juste raison puisque c’est le peuple qui l’a mis au pouvoir. Je le dis depuis des décennies : « Voter, c’est désigné son bourreau ! » Et personne ne peut contester que je ne me sois pas trompé. Et voilà que le vieux Bayrou s’attaque aux retraités, aux vieux, à moi. L’outrage est insultant. J’ai payé toute ma vie active des sommes faramineuses pour que les jeunes financent ma retraite. Où est passé mon argent ? Pourquoi aujourd’hui devrais-je recommencer à payer pour les nouvelles générations ? Au lieu de viser mon argent, ne pourraient-elles pas penser à travailler ? Il y a des milliers d’emplois non pourvus. Il n’y a rien de déshonorant à remplir le lave-vaisselle du bistrot du coin et aussi, d’y brancher le robot-aspirateur ! Pour redresser les finances de la France, il faut revenir aux 40 heures, à la semaine de 6 jours et aux 15 jours de vacances annuelles. Il faut cesser d’être un peuple d’enfants. Pour cela, il faut se détacher du cordon pourtant coupé et respecter son propre psychisme en lui permettant de faire ses gammes tous les jours et toute la vie. Freud est là pour aider tout le monde. Il faut pousser la porte de son cabinet pour y chercher notre miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. C’est la seule condition pour ne pas choir dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin où croupissent les entités des mondes et qui ne cessent d’attendre…

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire