La mort d’un certain Pormanove, dont ce n’est pas le vrai nom, qui serait mort en direct sur Kick, après avoir demandé à deux tarés comme lui, de le faire souffrir comme dans le Moulin des Supplices ou comme le faisait le Grand Inquisiteur sous Philippe II, pour satisfaire ses internautes tous aussi tarés, a supplanté, dans les radios et télés, les délires sadiques de Macron, le clownesque de Zelenski, l’amusement de Trump devant les niais et les simples d’esprit qu’il a reçu dans son bureau ovale pour mimer un consensus illusoire entre Poutine et les falots européens soutiens ukrainiens. Pormanove ? Kick ? Je ne connais pas le scénario de la pièce, ni l’auteur du désastre approuvé par l’ARCOM, qui se tait consent. Il est vrai que l’ARCOM a mobilisé ses 350 soldats pour traquer Cnews qui lui en fait voir de toutes les couleurs et pas assez à mon goût. En fait, Pormanove et Kick, je m’en fous. Ils me font penser à cette pauvre Marie-Antoinette dont je viens de revoir quelques éléments de sa vie, contés par Sophia Coppola. La vie à Versailles sous les Louis était un supplice, bien pire que celui de Pormanove et Kick. Le lever de la Reine, le coucher de la Reine, le repas de la Reine, les popotins de la Reine – le popotin aussi -, les amants de la Reine, le bel amant de la Reine, l’ennui, l’ennui mortel et la déchéance humaine. C’était à la fin du XVIIIe siècle et pour ceux qui ne le savent pas ou qui feignent de l’ignorer, avant, c’était comme aujourd’hui, copie-conforme, copier-coller. Rien à changer. Versailles s’est installé à l’Élysée, la Reine s’ennuie tout au temps, c’est pourquoi elle dépense tout l’argent des Français. Le Roi est tout aussi menacé. Le peuple veut du pain. Il ne manque que la guillotine. Mais Robespierre est là, même pas caché. N’est-ce pas Jean-Luc ? La nouvelle pièce adaptée aura-t-elle la même fin que son original ? Patience. Le temps avance au rythme du temps.
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