Les postes et les écrans sont unanimes, même si Europe1 et Cnews le disent différemment et justement. Aujourd’hui est le grand jour, celui où la France et ses mirlitons entrent pompeusement, et par la grande porte dans le chaos, par la disparition – sous nos yeux – du ministre-chef et la poursuite hypnotique de la promenade de l’enfant, qui tourne en rond depuis si longtemps dans les écuries de l’Élysée. Pas de quoi fouetter une chatte puisque la situation reste inchangée depuis le règne de Robespierre, magnifié par le petit Napoléon corse amputé d’une main, la droite sur les photos. Il ne s’agit que d’un non-évènement destiné à occuper notre temps et à cacher les dragons, les vampires et les monstres qui gouvernent les pensées des milliards de terrestres qui ont oublié ou qui n’ont jamais su que leur cervelle n’était pas destinée à chatouiller les poêles à frire, mais à distinguer les différences pour trouver le passage qui mène à la vie. La pseudo-démocratie, c’est l’horreur. Sortir la France de la fosse à excréments, ce n’est pas échanger des idées qui mènent aux chamailleries qui créent les meurtres, c’est choisir un guide unique et bienveillant qui nous aidera à ouvrir les portes sur les océans de lumières qui mènent au crépuscule, notre destin commun. Moi, je choisis Freud et si vous voulez savoir pourquoi, reportez-vous à mes puits antérieurs. Ils parlent, tous, aussi vrais que ceux d’Euripide et Sophocle.
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