Le journaleux gaucho Thomas Legrand (France Inter, France Télévisions) a été suspendu pour ses complots contre Rachida Dati. J’attends la suspension de son complice Patrick Cohen, pour les mêmes raisons, et dans la foulée, celle de l’ignoble pitre Jean-Michel Aphatie. Rotailleau se bat bec et ongles contre les vermines qui nous submergent alors qu’il doit faire face à son collègue Wauquiez qui veut s’allier aux socialos dont les cadavres sont rongés par les lumbricidés, embranchement des annélides. Et tout ce monde fait comme si, lundi au soir, ils n’auront pas perdu tous les pouvoirs qu’ils n’ont jamais eu et que – dit-on – le pays majoritairement à droite va être gouverné par la pire des gauches même si les gauches sont pires par nature quand elles ne sont pas terroristes et islamistes, ce qui est encore pire que le pire. Va-t-on encore longtemps laisser l’enfant psychopathe, cachée sous les jupes de son épousemaman, torturer la France et les Français anémiques ? La solution : destituer le Président, dissoudre l’Assemblée, revisiter la Constitution ou la changer, supprimer l’État de droit, emprisonner les juges en fonction, faire respecter la loi, briser l’Éducation nationale, privatiser Radio France et France Télévisions, fermer les frontières et quitter l’Europe dans l’urgence. Je n’ai pas la place – ni le temps – pour écrire les autres points salutaires mais sensibles pour les cerveaux vides. Mon modèle de société est l’orchestre symphonique de très haut niveau. Les musiciens votent à bulletin secret pour désigner leur chef, un chef aimant et aimé, imaginatif et créatif. Tout le monde suit, participe et exclu le vilain petit canard, s’il s’avérait qu’il y en ait un qui se soit glissé parmi les pupitres. Les salaires sont décents. La communauté est heureuse. Tous nagent et voguent parmi les beautés magiques des sons, et après le labeur positif, chacun s’adonne à ses passions intimes. Il y a peut-être et sans doute d’autres solutions. Mais pour les exposer et les mettre en pratique, il faut savoir penser autrement. Penser autrement n’est possible qu’en poussant la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser. C’est cela ou l’éternel retour du jour sans fin.

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