jeudi 18 septembre 2025

vu à travers le tube (bis) • 13h24…


 

Depuis midi, je vois des images de désolations à la télé. Des trucs-machins à bras et jambes qui hurlent dans des clairons des insanités qui donnent des ordres à des soumis écervelés, qui jettent des pierres, des morceaux de bois, des tables et des chaises à la tête d’une police soldats de plombs, immobile et sans bouger. Ma voisine de palier me dit que ces choses ne sont pas contentes en raison de leur absence de pouvoir d’achat. Ok ! Alors pourquoi n’investissent-ils pas l’’Élysée pour le dire au fantoche président ? J’ai bien pensé au gouvernement, mais il n’y en a pas. C’est facile aujourd’hui, il reste le seul coupable : le président.  Ce que je vois surtout, c’est l’absence totale d’autorité qui fait que le badaud peut casser, voler, frapper, tuer, assassiner, sans que quiconque s’y oppose. J’appelle de tous mes vœux une splendide dictature, jusqu’à ce que les parents élèvent leurs enfants, les collégiens retrouvent le chemin de leur collège, les lycéens celui de leur lycée, les étudiants celui de leur faculté, les syndicalistes s’occupent des travailleurs, les politiques soutiennent le peuple, et que Mélenchon, Macron, Hollande et ceux de leur race dévastée soient conduits  au bagne de Cayenne ou d’ailleurs, jusqu’à ce que leur corps les abandonne.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire