dimanche 14 décembre 2025

le puits au fond du jardin • propos d’un dimanche matin…

 

Genevard, la ministre qui détruit l’outil de travail des agriculteurs, des cultivateurs, des éleveurs, la ministre qui  jette à la rue les travailleurs de la terre, dans la boue de leurs chemins de campagnes qui sillonnent les quelques vallées qui ont courageusement résisté au béton, aux cages à poules et à lapins, aux routes à toutes puissances, aux circulations de bus où s’entassent des hommes et des femmes transpirants, collés peau à peau, Genevard, disais-je, est venu, ce matin, sur Europe 1, noyer le poisson. Entrer en politique, c’est se consacrer à la poissonnerie, qui maintient au fond de la bassine remplie d’eau, le poisson qui n’a pas voulu se rendre dans la poêle à frire. Comme les poissonnières – voir Panot, l’exemple parfait – elle a hurlé sur la criée qu’elle n’a rien fait et qu’elle n’est coupable en rien du suicide des habitants des fermes. Adieu veaux, vaches, cochons, que l’on assassine dès qu’ils ont une petite grippe. Le monde d’aujourd’hui, taré par excellence, a su magnifier les armes pour tuer les humains, créer les robots pour le grand remplacement, mais ne sais toujours pas soigner le petit bobo qui advient quand une grosse vache est piquée par un minuscule moustique. Oui, l’homme a inventé le vaccin pour enrichir les riches qui les fabriquent et qui les vendent avec une marge gigantesque de profits, mais aussi pour remplir les EHPAD où l’on exécute légalement les vieux déjà mort en y entrant. Les femmes ne font plus d’enfants et elles ont bien raison, parce qu’un enfant c’est un intru qui dérange nos conforts et qui, avant d’être adolescent, égorge dans la rue, les vieux que les mouroirs ont oublié dans leurs répertoires. Si l’on veut que le nombre de naissances rattrape le nombre de décès, boutons les vaccins hors du système solaire et laissons la mort satisfaire ses besoins. Pour en terminer avec Genevard et pour clore ma réflexion d’un dimanche matin, je vous renvoie à Vladimir Perline qui transmettait à ses élèves que la vie ne peut être vécue qu’entre et derrière les notes de la musique de Rachmaninov, en fusion avec les poèmes de Pouchkine. Un programme à mille lieux de celui de nos écoles qui fabriquent des ânes qui ont perdu leurs grandes oreilles.

 

Pour les curieux…

https://poupelon.blogspot.com/2025/12/vladimir-perline.html

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