Rennes se voit projetée dans les temps anciens des westerns où les bandits sortaient leurs pistolets dans les saloons, dévalisaient les banques, et repartaient sur leurs coursiers en laissant les rues jonchées de cadavres. La grande différence avec cette époque révolue ( ?) c’est qu’aujourd’hui, dans les villes et les campagnes, il n’y a plus de shérifs, leur bureau restant désespérément vacant, comme il n’y a plus de juges qui passent de ville en ville pour pendre les mauvais garçons. A Rennes, disais-je, fusillades sur fusillades en peu de temps et sous l’œil des passants qui filment les scènes comme John Ford au cinéma. Un mort dans une voiture et plus probablement. Et pendant ce temps l’enfant, baïonnette en avant, assiège Moscou pour défendre son clown-clone Zelensky, et laisse son Premier ministre soudoyer la gauchiasse qui souille notre pays pour faire voter des lois qui tranchent encore les chairs vives du citoyen anéanti. Trump a tellement raison ! L’Europe, et la France en particulier, sont devenues le néant avant de devenir islamiste-charia compatible. Les listes pour les élections municipales ont commencé à poindre leur nez. Il y en a déjà des dizaines qui proposent l’obligation du voile pour la gent féminine et la séparation des sexes dans les lieux publiques – piscines en particulier -, et vous verrez qu’elles vont vaincre, grâce aux multiples morceaux de papier cul glissés dans la fente des boites à cocus, sous l’œil terrifiant du sinistre despote Mélenchon. Et, cerise sur la tarte aux cerises de Dougie, la maman épousée de l’enfant a été prise la main dans le sac avec un mot ordurier dans sa bouche qu’elle aurait pu éviter de prononcer si la police avait pendu sur le champ les quatre vermines féminines venues troubler le spectacle. À la télé, on l’appelle « la première dame ». Pourquoi ? Y en aurait-il une seconde, une troisième, et même une dernière ? J’aimerais que ceux qui maitrisent la lumière m'éclairassent.

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