Réfléchir, comprendre, dire non. La mise en prison avec exceptions
- une loi avec exceptions n’est pas une loi - de toute une population, pour la
deuxième fois, en sachant très bien que la conclusion sera la colère, la
violence et la mise à terre des peuples de toutes races, est chose faite. Le plus
exaspérant est la mise en cage des familles où les violences et meurtres vont
devenir monnaie courante. Briser une société organisée sans en mesurer les
conséquences est sans appliquer des mesures compensatoires - le fric n’est pas
un mesure compensatoire - est un crime. Dans certains pays le crime est puni
par la mise à mort. Les dirigeants de la France auront des comptes à rendre. J’espère
- bien naïvement - que la justice saura accomplir son devoir.
C’est confirmé de toute part, le Roi de France prend bien tout
seul ses décisions. Il ne consulte que pour la forme et même ses conseillers
les plus proches ne savent pas ce qu’il va dire lorsqu’il discourt à la
télévision. Seule sa vieille maman épousée et toute ridée est dans la
confidence et corrige ses fautes de syntaxe et d’orthographe. Et combien de ses
collaborateurs se sont étouffés au beau milieu de ses monologues interminables,
l’annonce étant le contraire de ce qu’ils croyaient avoir cru comprendre. Si celà
n’est pas un régime dictatorial, qu’est-ce donc ?
Que de commentaires superflus sur le taré de Nice qui a égorgé au
nom d’un Dieu. Que de crimes commis au nom de ce Dieu ou d’un autre depuis les
débuts de l’humanité. C’est dommage et un peu embêtant parce que Dieu n’existant
pas, je ne vois pas comment on peut faire pour parler au nom d’un Dieu et tuer,
toujours au nom de ce Dieu qui n’est que phantasme et chimère et que l’homme a
créé par sa pensée un jour de grande frayeur parce qu’il avait peur du tonnerre
et des éclairs qui ne sont que des manifestations naturelles de la nature et qu’il
ne le savait encore pas. Et si ce Dieu existe vraiment, comment peut-il être
honoré lui qui a créé un monde où la souffrance domine tous les continents ?
Si Dieu existe c’est un gros salaud et il est certain que c’est lui qu’il faut
égorger. Mais cela n’arrivera pas. Ce crime justifié ne sera pas perpétré. Dieu
n’existe pas.
Orchestre de
la Société des Concerts du Conservatoire
Peter Maag,
direction.
Enregistrement
par les soins de l'ORTF de la représentation donnée le 15/07/1964 au théâtre de
l'Archevêché d'Aix-en-Provence (mise en scène de Jean Meyer)
Mozart, Don
Giovanni ("Ah, fuggi il traditor!" Acto 1)
Wojtek
Drabowicz (Don Giovanni)
Véronique
Gens (Donna Elvira)
Regina Schörg
(Donna Anna)
Marcel
Reijans (Don Ottavio)
Orquestra
Simfònica de l'Acadèmia del Gran Teatre del Liceu
Sa Majesté, Sa Grandeur le Roi de France a dit. Il me renvoie en
prison dès demain et pour une durée indéterminée. Il a grossièrement menti en
fixant la date de sortie - éventuelle - au 1e décembre. J’y suis
pour un bon bout de temps et la mort m’emportera sûrement bien avant de
retrouver le soleil. Je n’ai rien fait de répréhensible et je ne comprends
toujours pas pourquoi je suis puni. Les seuls responsables de la propagation de
Corne à Virus - qui n’est qu’un virus parmi des milliers - ce sont les immondes
crétins de médecins - surtout ceux en istes - qui sont payés pour soignés et guérir
et qui font semblant de savoir alors qu’ils ne savent rien et le Roi de France qui
se dédouane en appliquant leurs « conseils » maléfiques. Mais tout va
bien puisque la destruction de notre monde par des décisions dictatoriales est
approuvée par une immense majorité de crapauds rampants qui font croa croa croa
et qui chient dans le pantalon qu’ils n’ont pas. Les français n’ont pas de
couilles. Même les femmes. Dans certains pays on se révolte, on manifeste dans
la rue, on hurle sa haine du pouvoir. Ici on se recroqueville dans les coins
sombres et on tremble : Corne à Virus est là avec ses gros yeux qui
sortent des orbites. Et Corne à Virus mange tout ce qui bouge. C’est terrifiant ! Pas Corne à Virus, mais
la lâcheté. La lâcheté collée à la peau des morts-vivants.
PS 1 : selon plusieurs sources pas encore officielles, la
sortie de prison ne serait pas prévue avant courant janvier… c’est rigolo, n’est-ce
pas ?
PS 2 : un pays sans théâtre, sans cinéma, sans concerts et opéras
est un pays qui s’engage sur la voie de la dictature. L’histoire du monde a
toujours été ainsi. Alors réfléchissez les confinés abrutis !
Ras-le-bol de Corne à Virus qui, depuis plus de huit mois,
gouverne les radios et les télés et tente de forcer ma porte pour se repaître
de mon sang vieux de 76 ans. Mais, j’ai fermé ma porte à clé et ma clé et dans
la poche de mon pantalon. Heureusement, il y a tout de même une bonne nouvelle :
les français sont contents. Dès jeudi soir, leur Roi bien aimé Sa Majesté
Macron va les remettre en prison pour un bon mois et plus, derrière les
barreaux pour méditer sur leur insupportable désobéissance. Ils ont craché sur ses
lois en essayant de vivre une dernière fois avant de mourir sûrement parce que
Corne à Virus, et comme vous le savez, a déjà largement entamé sa mission :
tuer tous ces cons de crapauds qui font croa et qui rampent sur la terre. Moi,
maintenant, je vais mettre mon manteau de pluie et allez, comme chaque matin -
ce sera probablement le dernier - prendre mon café chez Leclerc et papoter
toute la matinée avec mes copines et copains de buverie.
Depuis quand les radios et les télés sont-elles réservées aux
médecins épidémiologues, virologues et catalogues en tous genres, médecins
ignorants qui sont incapables de dire quoi que ce soit sur un virus sensé
décimer les populations. Depuis quand ces énergumènes ont-ils le droit de nous
faire la leçon jours et nuits alors qu’ils sont incompétents et n’ont qu’une
fonction, décimer le virus qui décime, ce qu'ils ne font pas. Ce sont les politiques qui ont - hélas -
un mandat de la nation. Ils ont été élus - en trichant bien sûr - pour laisser
vivre les gens et ne pas les plonger dans les méandres de la pièce la plus
célèbre de l’histoire du théâtre « Le Malade imaginaire » de Molière
dont les propos devraient être rappelés. Ce que font en ce moment ces
médico-politiciens - ce n’est que creuser la fosse commune qui va ensevelir la
quasi-totalité de la population parce qu’elle aura été malmenée et emprisonnée
dans d’atroces conditions, alors que jamais elle n’a failli et qu’elle est
au-dessus de tous soupçons. Vivre libre
ou mourir. Ce devrait être la seule devise !
« Adèle Haenel, je m’en fous ! » a dit Maïwenn. Ça
tombe bien. Moi aussi !
Qu’on ait une peur bleue de Corne à VIrus, je peux comprendre.
Mais que 99% de la population française se livre pieds et mains liés à leurs
bourreaux « bienveillants », politiques et médecins, sans l’ombre d’une
contestation, sans se poser de questions, dans la confiance et la lâcheté la
plus absolue, ça me navre, ça me désole, ça me donne des nausées, ça me révolte
et ça me confirme ce que j’ai toujours pensé de l’homme : un abruti
incapable d’accéder à la maturité, un enfant immature qui nage dans son incontinence
et qui - comme les lapins - est dépourvu de pensée.