jeudi 12 novembre 2020

vu à travers le tube • la chute vers la dictature…

Selon Sarko la vérité vient enfin d’éclater. Il le sait bien que ce n’est pas si simple. Sarko est comme tous les élus. Il est coupable. Il est coupable comme est coupable la femme d’enfanter alors que la chose expulsée de son ventre n’a jamais rien demandé.

 

Depuis toujours les peuples sont manipulés et conduits vers la soumission et l’obéissance. Il s’agit pour les pervers qu’ils ont désignés - ou pas - de les contraindre à suivre aveuglément les ordres. Et c’est pourquoi la France, pays monarchique par excellence, est entrain de glisser vers la dictature qui risque bien, dans quelques décennies, de ne rien avoir à envier à celle de KIm Jong-un ou Erdogan. C’est sans bruit et sans fureur que disparaissent sans en avoir l’air certaines de nos libertés au nom d’un virus invisible et de quelques tarés islamiques. Une démocratie - régime toujours pas inventé - ne tolère aucun état d’exception quelques soient les circonstances, même les plus dramatiques, ne tolère en aucun cas la mise en prison de sa population et un laisser-passer pour mettre le nez dehors. C’est en allant voter sous influence - personne vote avec son libre arbitre - que vous nous envoyez, français, au casse-pipe. Comprenez alors que je ne vote pas et que je vous haïsse.


mercredi 11 novembre 2020

in memoriam • cahiers du cinéma . fred zinneman, le train sifflera trois fois (1951)




 

 

CAHIERS DU CINEMA

N°16, octobre 1952

 

Lo Duca, Jacques Doniol-Valcroze, André Bazin, rédacteurs en chef

 

 

 

UN HOMME MARCHE DANS LA TRAHISON

 

LE TRAIN SUFFLERA TROIS FOIS (HIGH NOON), film de Fred Zinneman

Stanley Kramer-United Artists, 1951

 

Avec Gary Cooper (Will Kane), Thomas Mitchell (Jonas Anderson), Lloyd Bridges (Harvey Pell), Katy Jurado (Helen Ramirez).

 

Critique de Jacques Doniol-Valcroze

 

High Noon est le dernier film de Stanley Kramer distribué par les artistes associés avant l’arrangement de Kramer avec la Columbia. Nous sommes heureux qu’il vienne par son excellence confirmer les thèses que nous avancions dans notre numéro 15 au sujet du système de production de Kramer parfaitement séduisant en lui-même, mais dont la meilleure justification est en fin de compte le pourcentage de bons films produits. Or, nous avons vu sept des treize films produits à ce jour par Kramer et High Noon porte cette proportion à cinq sur sept ce qui est assez édifiant.

 

 

Le western est un genre qui a fait ses preuves. C’est aussi une recette éprouvée. Le moins bon western plaît à beaucoup parce que les règles du genre postulent un « spectaculaire » toujours efficace à l’écran : par ailleurs, il est basé sur un archétype qui lui confère, quelle que soit la médiocrité de son réalisateur, une sorte d’intérêt sociologique de chanson de geste. Mais si le western peut difficilement être totalement mauvais, il est paradoxalement extrêmement difficile de faire un très bon western. Des films comme Stagecoache, My Darling Clementine, The Outlaw demeurent des cas isolés. High Noon rejoint ce groupe des œuvres maîtresses du western.

 

Carl Foreman, qui fut longtemps le scénariste attitré et le collaborateur de Kramer, a construit sur une quelconque « novel » un scénario d’une admirable rigueur. A dix heures et demie, le schérif Kane se marie et résigne ses fonctions. Son remplaçant ne sera là que le lendemain. A dix heures quarante il apprend que le bandit Miller - sorte de tueur terrifiant - qu’il a fait condamner il y a cinq ans, a été libéré et arrivera à la gare de l’endroit bien décidé à le « descendre ». Trois de ses acolytes l’attendent déjà sur le quai. A dix heures quarante- cinq, Kane s’enfuit avec sa jeune femme. A dix heures cinquante, il tourne bribe et revient à la ville pour faire face aux événements. A onze heures, il se met en quête de volontaires. Entre onze heures et midi il cherchera en vain des hommes de bonnes volontés pour mettre hors d’état de nuire un criminel qui, cinq années auparavant, avait plongé la ville dans l’anarchie ; tous abandonneront - même ses meilleurs amis - celui qui avait ramené l’ordre et la prospérité. A midi, le train entre en gare, Miller en descend, accueilli par ses complices ; à la même heure, complétement seul, traversant une ville complétement déserte et silencieuse, Kane marche à leur rencontre.

 

 

Unité de temps, de lieu, d’action ; style très dépouillé, pas une fioriture, pas de pittoresque, tout concourt à faire de High Noon une manière de chef-d’œuvre, une sorte de tragédie classique où le poids d’une fatalité envoutante pèse sur chaque seconde d’un récit qui dure exactement son temps réel. Sur cette trame impitoyable, Fred Zinneman, qui se surpasse quand il travaille pour Kramer, s’est refusé à toutes les facilités du western, son travail est une épure du genre où l’accessoire est réduit à sa plus simple expression : la rue traditionnelle, le saloon, l’hôtel, les chevaux cabrés, tout cela est réduit à une sorte de squelette indicatif ; les coups de feux eux-mêmes claquent à midi dans le soleil pendant quelques secondes et bientôt sans lyrisme extérieur, sans héroïsme spectaculaire, sans agonie théâtrale, sans cavalcade, tout est fini, le rideau tombe. La chute elle-même - dont nous laissons au lecteur l’absence de surprise - est par sa rapidité et sa poignante simplicité d’une insolite grandeur : c’est une conclusion dure, amère, refermée sur elle-même, pleine d’humeur, pleine de mépris pour la lâcheté et la corruption.

 

Le film constitue un très bel essai sur la solitude. Solitude d’un homme qu’une ville entière devrait soutenir et qui le trahit, qui comprend peu à peu que - sans même représenter la loi, ni ses concitoyens, abandonné jusque par sa femme - il va lutter seul contre quatre et qu’au bout de cet austère, de cet incompréhensible chemin, il ne peut y avoir que la mort, la mort gratuite, sans gloire, le nez dans la sale poussière d’une ingrate bourgade sous le ciel impavide d’une fausse patrie.

 

  

Gary Cooper est l’homme du rôle avec une surprenante vérité. Vieilli, vouté, le visage légèrement bouffi, sillonné de rides profondes, la parole hésitante, il donne de Kane la seule interprétation qui puisse être profondément émouvante et rejoindre le « héros » de la tragédie par delà le héros cinématographique habituel : un homme accablé, tout entier à l’effort de contenir une panique intérieure grandissante et qui marche au combat la peur au ventre. Plus question de Superman ou de Robin des Bois, la désinvolture avantageuse n’a rien à voir avec le difficile courage du solitaire. Cet homme qui marche dans la ville et parcours le cruel itinéraire de la trahison et de l’abandon rejette loin dans l’oubli tous les professionnels cinématographiques de la mort facile et du courage souriant.

 

Il y aurait beaucoup à écrire sur le thème à l’écran de l’homme qui marche vers un destin hasardeux - Charlot vers la fin de ses films, Verdoux vers la guillotine, Welles loin de la dame de Shanguaï agonisante vers l’aube livide de Frisco, Casarès loin d’Orphée vers « ce qui ne peut se nommer », Blier loin de Signoret paralysée par l’impossible oubli, cet « étranger » de Pagliero dans le cercle vicieux du temps et le petit curé de Bresson dans celui de la mort, sans parler des marches têtues de tous les héros hustoniens -, beaucoup à dire sur cette poignante promenade cinématographique qui traduit mieux que de longs discours le principal mérite des meilleurs cinéastes : d’avoir posé une question sur l’homme.

 

  

On connait sans doute cette déclaration de Bresson : « Le vrai langage du cinéma est celui qui traduit l’invisible… Je tente de traduire plutôt des sentiments que des faits ou des gestes. J’essaie de substituer un mouvement intérieur au mouvement extérieur ». Une seconde réflexion sur High Noon fait apparaître que le principal mérite de ce film est de n’exposer un mouvement extérieur que pour mieux faire apparaître un mouvement intérieur. Le vrai sujet du film c’est ce que peut penser pendant une heure et demie un homme qu’on abandonne et qui pense qu’il va mourir et c’est une grande habileté d’avoir choisi comme vêtement extérieur à cette réflexion ambulante le western qui est un genre tellement familier au spectateur qu’il suffit de quelques traits pour l’évoquer, pour donner un cohérent « antichambre racinien » à cette pure tragédie.

 

A midi quinze, la fin tombe comme un couperet. Sans un mot, sans un reproche aux fripouilles qui, le danger passé, ressortent de leurs cachettes, après avoir jeté à ses pieds le dérisoire insigne de la justice, accompagné de la petite blondinette « quaker », blessé dans sa chair et dans son cœur, raidi dans une sorte d’indicible révolte morale contre la bassesse, l’homme s’en va.    

 

 

Jacques Doniol-Valcroze

 




anniversaire • le ténor italien, agostino lazzari, aurait 101 ans aujourd’hui



 

En savoir plus…

https://it.wikipedia.org/wiki/Agostino_Lazzari

 



Tenore AGOSTINO LAZZARI - Werther "Ah! non mi ridestar"

 



Virginia Zeani & Agostino Lazzari sing the love duet from Puccini's Madama Butterfly, recorded during a concert for the radio in Hamburg, 1956.

 



Jules Massenet - WERTHER (in lingua italiana) - Dividerci dobbiam (Duetto atto primo Carlotta/Werther).

 

Soprano italiano MAGDA OLIVERO

Tenore italiano AGOSTINO LAZZARI

 

28 gennaio 1981)

 

 

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vu à travers le tube • un vaccin ne peut être obligatoire…

Comme le dit je ne sais plus qui, Mélenchon est devenu son pire ennemi. Son affabulation sur ses 150 000 voix plébiscites, qui sont déjà largement obtenues, n’est qu’un truc minable pour faire parler de lui. Comme on disait quand j’étais petit, Mélenchon est gâteux. Il restera dans l’histoire comme un méchant gueulard.

 

Ce vaccin Pfizer, pas encore né, fait beaucoup parler et les langues n’arrêtent pas de se mouvoir, telle celle de l’ignoble imbécile minable écologiste Janot qui veut le rendre obligatoire. Et pourtant, en vertu de l’affaire Salvetti, il ne saurait y avoir le moindre acte médical obligatoire dans aucun pays d’Europe. L’arrêté de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, section I du 9 juillet 2002, requête n° 42197/98, fait jurisprudence. Les lois d’obligation vaccinale constituent une atteinte à l’intégrité physique et violent tous les textes qui garantissent les libertés fondamentales. C’est n’est pas moi qui le dit, c’est la loi. Alors, si le Roi de France veut déroger à la règle, j’espère que la justice saura le faire taire. Pour ma part, je ne m’intéresse pas aux lois et je n’obéis qu’à moi-même. Jamais je ne me prêterai à ce jeu de hasard pervers que seuls les hommes ont pu inventer. Et je crois savoir que je suis loin d’être le seul.

mardi 10 novembre 2020

vu à travers le tube • pas de quoi casser la patte d’un chien…

 

SI ce matin mon tube matinal a été devancé par mon puits épisodique, c’est que je ne voyais pas sur quoi j’aurais pu gloser, le monde étant à l’état mort et impuissant à se réveiller et j’avais cette chose à dire qui me trottait par la tête : l’illusion d’être, l’illusion de vivre. Je reviens donc à mon tube avec deux ou trois heures de retard pour dire que je n’ai rien à dire puisqu’aujourd’hui est comme hier : Biden/Trump ou le gratin calciné, Corne à Virus, prétexte aux privations des libertés, Cohen ou la morale des curaillons en mal de coït, le Roi de France qui décrète selon les bons vouloirs de sa mère épousée, les rues où les morts-vivants passent invisibles, courbés, rampants et bavants. Seules nouvelles importantes dérisoires : Efira a divorcé, le Ring de Bastille sera diffusé sur France Musique ce qui fait dire beaucoup de bruits pour rien, la foire aux esclaves miss France est reportée en décembre ce qui étonne beaucoup que l’on vende encore des femmes sur les marchés, le méchant docteur Livia reviendrait au Mistral… pas de quoi casser la patte d’un chien !  

anniversaire • le compositeur, organiste et claveciniste, françois couperin, aurait 352 ans aujoud’hui



 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Couperin

 



François Couperin Excerpts from Les Concerts Royaux

Jordi Savall Le Concert des Nations

 



Louise Acabo (clavecin) interprète La Divine Babiche ou les Amours badins de François Couperin. Extrait du concert Générations France Musique, le Live, enregistré le 10 novembre 2018.

 



François Couperin: La Sultanne

Live Performance by Les Délices

April 26, 2015 at Plymouth Church UCC in Cleveland OH, USA

 

Debra Nagy & Kathryn Montoya, baroque oboes

Scott Metcalfe & Ingrid Matthews, violins

Josh Lee & Emily Walhout, viola da gamba

Michael Sponseller, harpsichord

 

 

 

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le puits au fond du jardin • l’absurdité du monde…



 

L’absurdité du monde est la conséquence de l’absurdité de la pensée qui est au point mort depuis qu’elle est pensée. Penser, c’est imaginer, c’est établir des liens entre toutes choses. Penser c‘est exercer sa perception en permanence pour traverser les choses. Penser, c’est comprendre que les choses ne sont pas les choses et que toutes choses cachent quelque chose. Penser c’est défricher, c’est sonder, c’est explorer pour découvrir la chose qui n’est pas et se l’approprier. Les gens et les choses avancent et se figent dans le même temps, dans le miroir qui leur renvoie l’image de la chose qui est gens et des gens qui sont chose. Voir au travers de l’autre. Ne pas s’interdire de dépasser l’entendement. Avoir une vision globale qui dissèque chaque mouvement, qui déconstruit pour reconstruire différemment. Qui oserait affirmer qu’il est lui ? Qui oserait dire qu’il existe ? Personne n’a voulu se trouver ici. On est tous le fruit de la femme qui n’a pas demandé à être. Ce qui pose la seule question : pourquoi ? Et moi, je me demande tous les jours et depuis soixante-seize ans ce que je fais là et pourquoi quand je regarde l’horizon je ne sais toujours pas si je suis ici ou là-bas. Et je sais que je ne suis sans doute pas et que c’est par la seule volonté de ma pensée que je crois paraître.    


lundi 9 novembre 2020

le puits au fond du jardin • il a passé sa vie dans la peau de l’autre…

 



 

Hier, à 20h30, Luchini était l’invité de Delahousse. La vieillesse ne lui réussit pas. Sa verve et son exubérance donnent des signes de sénilité. Sa pensée est fracturée, son discours est une succession de parenthèses, sont attitude est agitée. Son regard passe du sombre hagard au bleu tranquille des bébés anémiques. Il a répété qu’il était en « analyse/culpabilité » depuis quarante ans, avec un soupir de désespoir. Il est de plus en plus incapable de s’exprimer sans la citation d’un auteur dont il est difficile d’en comprendre le sens et le rapport avec le sujet abordé. Luchini-homme aura passé sa vie dans la peau de Luchini-acteur/comédien. Il semble qu’il lui soit impossible de retrouver son vrai et qu’il soit condamner à finir ses jours dans son faux, dans son jeu d’être l’autre. Luchini sombre et ne sait pas nager. Cet homme de talent qu’on peut ne pas aimer - et je le comprends - devrait sans doute changer de psy et trouver celui qui l’aidera à sortir de cette peau théâtrale, cinématographique, illusoire donc, peau qui l’étouffe, le ronge et le détruit. Et fin de cette brillante carrière, personne n’a jamais vu le vrai visage de l’artiste, la moitié de son être, la visible, la traitresse bouffant chaque jour l’autre partie, celle qui n’a pas vu le jour depuis des décennies, et quand la rongeuse aura achevé son travail, un demi-Luchini sera enterré au Père-Lachaise ou incinéré près d’Orléans où il dit vivre - il me semble - actuellement. Ne pas être soi est le pire des handicaps. Et dire que 99,99% de la population est l’autre. Quel inconfort permanent !     

anniversaire • création de « zémir et azor », opéra-ballet d’andré grétry, il y a 249 ans aujourd’hui

 



 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Z%C3%A9mire_et_Azor

 



A.M. Grétry - Zémire et Azor "Je veux faire encore un voyage... Je veux le voir"

 



André-Ernest-Modeste Grétry, Zémire et Azor

 

Zémire: Mady Mesplé

Orchestra: Chœurs et Orchestre de Chambre de la RTB

Conductor: Edgar Doneux

 



André-Ernest-Modeste Grétry, Zémire et Azor (intéfrale)

 

 

 

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vu à travers le tube • il est tordant de rire le mélenchon…

Les colères chroniques de Mélenchon

Il est tordant de rire le Mélenchon. Il veut re-briguer le poste de Roi de France - alors qu’il n’a absolument aucune chance - à la condition que 150 000 gogos français le supplient de prendre le pouvoir. Mélenchon c’est le type qui cache son jeu par excellence. Il caresse et décapite sur le champ. S’il arrivait à poser son cul sur le trône royal, il serait très vite le dictateur impitoyable qu’il cache sous sa chemise. Il méprise « les gens » son expression favorite. Il discourt comme un Roi bardé de diplômes. Il agira comme un tyran aveugle et sourd. N’a-t-il pas déclaré à plusieurs reprises qu’il imposerait le vote obligatoire ? Désolé, mais ce n’est pas pour moi. La première des libertés, c’est de voter ou pas. Je n’ai jamais vu, en soixante-seize années d’existence, un élu - quel que soit le niveau - qui tienne parole et qui travaille pour le peuple. Le Roi actuel n’a-t-il pas promis qu’avec lui, plus jamais personne de dormirait dans la rue. Résultat : RIEN, RIEN de RIEN ! Alors, je refuse de voter. Voter n’est pas un signe de la démocratie, d’abord parce qu’elle n’a jamais été inventée, ensuite parce que voter, c’est désigner son bourreau. Mélenchon, non ! Merci…       

dimanche 8 novembre 2020

anniversaire • la basse italienne, ivo vinco, aurait 93 ans aujourd’hui



 

En savoir plus…

https://it.wikipedia.org/wiki/Ivo_Vinco

 



Ivo Vinco "A te l'estremo addio...Il lacerato spirito"(Simon Boccanegra)

 



From a 1960 performance at the Teatro Comunale di Bologna, here is Italian bass Ivo Vinco in the role of Pimen from Mussorgsky's opera "Boris Godunov". Sung in Italian.

Oliviero de Fabritis conduct

 



Ivo Vinco. Vecchia Zimarra, La Boheme. Orchestra e Coro Del Teatro Alla Scala. Conductor: Hervert Von Karajan. Directed: Franco Zeffirelli.

1965

 

 

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vu à travers le tube • les foules n’ont pas de couilles…

Le monde est en effervescence et tout excité parce que le pays le plus - soi-disant - démocratique du monde - alors que la démocratie n’a toujours pas été inventée - a un nouveau Roi qui sera comme tous les Rois, et que l’ancien jure de se venger ce dont il est évidemment capable. Ce n’est qu’un nouveau Roi de plus, un malotru aux pouvoirs excessifs qui va appauvrir les pauvres, enrichir les riches et supprimer les quelques libertés qui restent encore. Pourquoi les peuples réclament-ils sans cesse des Rois et des Dieux pour les humilier, les briser et les mettre en condition d’esclavage ? C’est sans doute parce qu’ils sont composés d’êtres « humains » qui s’ignorent et qui croient et répètent ce que la société leur apprend sans réfléchir un seul instant. Si chacun commençait par tenter de se regarder, de se reconnaître et d’analyser ses fondements avec l’aide de Freud et de ses complices compétents, le monde alors pourrait être en effervescence et tout excité parce que chacun de ses habitants vivrait en pleine conscience et enverrait au diable les Rois et les Dieux qui depuis les débuts du monde sont là pour entraver la marche de leur vie et leur voler leurs libertés. Il n’y a pas de quoi se réjouir de l’arrivé d’un nouveau Roi qui, comme les autres, ne sera qu’un pantin désarticulé devant lequel les foules vont s’agenouillées. Les foules n’ont vraiment pas de couilles ! Idem pour celles et ceux qui la composent.

samedi 7 novembre 2020

anniversaire • création de la « dante-symphonie » de franz liszt, il y a 163 ans aujourd’hui

 



 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Dante-Symphonie

 



Franz Liszt, Sinfonie zu Dantes »Divina Commedia« für Frauenchor und großes Orchester ∙

I. Inferno

II. Purgatorio

 

hr-Sinfonieorchester – Frankfurt Radio Symphony ∙

Slowakischer Philharmonischer Chor ∙

Jozef Chabroň, Chor-Einstudierung

Peter Eötvös, Dirigent

 

Alte Oper Frankfurt, 19. Mai 2017 ∙

 



FRANZ LISZT, Sinfonía Dante, S. 109

I. Inferno (Lento) (00:32)

II. Purgatorio (Andante con moto) Magnificat (21:53)

 

Coro de la OSG (Joan Company, dir.)

Orquesta Sinfónica de Galicia

Dima Slobodeniouk, director

 

Grabación realizada en el Palacio de la Ópera de A Coruña el 5 de noviembre de 2016

 

 

 

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