Annie, vos blancs cheveux, je les aime, je le sais, comme j'aime le temps perdu de cette seconde dévorée.
haG
d’après Tom Saja
Amours
Annie, vos blancs cheveux, je les aime, je le sais, comme j'aime le temps perdu de cette seconde dévorée.
haG
d’après Tom Saja
Amours
En savoir plus…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_van_Beethoven
Ludwig van Beethoven, La Lettre à Elise
Valentina Lisitsa, piano
Ludwig van Beethoven, Trio in E-flat major, Op.38* (1803)
I. Adagio – Allegro con brio (0:11)
II. Adagio cantabile (10:18)
III. Tempo di Menuetto (19:32)
IV. Andante con Variazioni (22:52)
V. Scherzo. Allegro molto e vivace (30:18)
VI. Andante con molto alla marcia – Presto (33:32)
Andreas Ottensamer, Clarinet
Sol Gabetta, Violoncello
Dejan Lazić, Piano
Recorded live @ Klassik Sterne Rheinfelden (30/09/2015)
Ludwig van Beethoven String quartet Nr. 15 a-minor Op. 132
Assai sostenuto
Allegro ma non tanto
Molto adagio
Alla marcia, assai vivace - Piu allegro - Presto
Allegro appassionato
Quatuor Ebène :
Pierre Colombet, violin I
Gabriel Le Magadure, violin II
Mathier Herzog, viola
Raphaël Merlin, cello
Festival Wissembourg - August 26th 2013
Ludwig van Beethoven Fantasy in C minor for Piano, Chorus and Orchestra in C minor, op. 80 “Choral Fantasy”
Martha Argerich, piano
Setji Osawa, direction
Autres anniversaires…
https://soclassiq.com/fr/anniversaires/today/
En couverture de Télérama : « Qui a encore peur du rapp ? » Je ne savais pas qu’il était possible d’avoir peur de trucs qui n’existent pas, même en pensée. Moi, je n’ai peur que de la pensée qui n’a jamais songé ou qui a sans cesse peur - la voilà la peur - des thérapies freudiennes, seuls remèdes pour voir ce que nous ne voyons pas, entendre ce que nous n’entendons pas, être au lieu d’être mort.
En savoir plus…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Symphonie_de_chambre_no_2_de_Sch%C3%B6nberg
A. Schönberg Symphonie de Chambre n°2 op. 38
Ensemble Symphonique Neuchâtel
Alexander Mayer, direction
A. Schönberg Symphonie de Chambre n°2 op. 38
I. Adagio ∙
II. Con fuoco ∙
hr-Sinfonieorchester – Frankfurt Radio Symphony Orchestra ∙
Antonello Manacorda, Dirigent
Alte Oper Frankfurt, 22. Mai 2015
A. Schönberg Symphonie de Chambre n°2 op. 38
I. Adagio ∙
II. Con fuoco ∙
Orchester des Saarländischen Rundfunks
diretta da Bruno Maderna
dal vivo: Saarbruecken 30 giugno 1969
Autres anniversaires…
https://soclassiq.com/fr/anniversaires/today/
« J'ai suivi Poivre, bêtement, comme une bête qui va à l'abattoir. Dans la chambre d'hôtel, Poivre a sorti son sexe qu'il a frotté contre le lit. » raconte Laure Eude, 23 ans. « Non, je ne suis pas là pour ça. Je vous rencontre dans la perspective d'obtenir un stage. Ma future belle-mère a acheté votre dernier livre. Vous donnez l'image d'un homme romantique. Pourquoi vous conduisez-vous comme ça ? » lui a-t-elle dit. « Je me suis alors retrouvée allongée sans culotte et sans pantalon, comme Rika Zaraï, sur le lit avec PDDA au-dessus de moi. J'ai eu le sentiment de me liquéfier pendant qu’il me pénétrait sans préservatif. Mon corps était là et j’étais ailleurs. Tout a duré trois minutes. Il ne m’avait même pas dit bonjour: J'avais la sensation d'avoir suivi le loup et que le loup m'avait mangé. Tout était ma faute. » conclue Laure Eude - nom d’emprunt probablement - en répondant aux questions de Closer, le journal des potins qui racontent les potins des gens désœuvrés. Ceci s’est passé il y a 36 ans et c’est ce matin que soudain Laure Eude s’est dit: Et si j’allais raconter un conte immoral à Closer, cette cochonnerie me prendrait peut-être comme stagiaire ! »
Je mentionne cet exemple - il y en a des milliers d’autres et plus - pour bien faire comprendre aux hommes que la femme est un animal dangereux et qu’il faut mieux éviter tous contacts avec cette chose. Le danger est grandissant surtout depuis que l’hilarant écolo Jadot a dit qu’il fallait croire avant tout aux rumeurs et porter plainte devant la justice bien avant que celle-ci ne prenne forme. Messieurs, vous n’êtes plus. Votre pendulaire qu’on appelle aussi bâton parfois de Maréchal mais aussi pinette s’il est minuscule, est condamné à la guillotine pour être tranché en place publique et recueilli dans un seau pour nourrir les chiennes affamées.
Triste histoire que cette fin de l’humanité parce que l’homme - la femme est dans le mot - refuse de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. L’homme - la femme est dans le mot - est né et vit dans l’ignorance aussi sombre que le noir au fond de mon puits au fond de mon jardin et n’a même pas l’idée qu’il pourrait changer sa vie, changer sa forme de pensée, pour enfin changer le monde. Tant pis !
Les dimanches, Arte propose un concert - classique je précise, genre en voie de disparition - en fin d’après-midi et le plus souvent dans le style « pédagogique » ce qui ajoute à l’ennui pour les 99,99% de la population qui n’ont jamais entendu une note de musique, même s’ils ont eu un prof en la matière au collège et même s’ils ont fait quelques années de conservatoire ou école de musique. Ce dimanche, c’était le pompon, le jamais vu, l’explosion du ridicule. Nous avons eu droit à un « Carnaval des animaux », œuvre sublime de Camille Saint-Saëns, massacré par des interprètes de renom - Argerich, Maisky, Pappano… - qui n’ont vraiment rien compris ou… ou qui ont manifesté leur désaccord avec le grand chef d’orchestre Antonio Pappano qui dirigeait l’œuvre du second piano tout en le massacrant sous l’œil effaré de l’immense Martha Argerich. Je n’ai entendu qu’un long moment de duretés, de coups de poing, d’effet douteux, de fautes de style, de trahisons de l’œuvre. Seule - peut-être - Maisky et Argerich ont réussi à sauver du naufrage la partition avec l’interprétation plus que convenable du « Cygne ». Les interventions de la clarinette et de la flute étaient intéressantes alors la malheureuse contrebasse a poussé et tiré son archet sans que l’on entende un seul son. Il faut dire que Pappano martelait son piano jusqu’à en lézarder les murs de la salle de concert. Visuellement, alors que le visage de Pappano était un rictus permanent - le maître doit avoir une maladie nerveuse -, les autres visages, fermés, tristes voir hargneux - Argerich semblait être allongée dans son tombeau -, reflétaient un raz-le bol, une fatigue, un épuisement et sans doute la honte d’être obligé de se soumettre à un pianiste de foire hors du coup, à mille lieux de la musique française, fermé à tous ressentis. Et, cerise sur le gâteau, ce même Pappano a parlé, parlé, parlé, entre chaque mouvement pour expliquer comment les poissons de la volière aboyaient. Et comme si cela ne suffisait pas, voilà qu’on a flanqué un cartoon avec un animal animé et bruyant entre chaque mouvement, qui couvrait l’image et le son des premières mesures de chacun d’entre eux. Pitié Arte ! Un concert n’a besoin d’aucune explication. Le public est là pour écouter tranquillement, en fumant la pipe s’il le souhaite, mais pas pour entendre des âneries non écrites dans la partition. Et puis, pour ce Carnaval, il y avait la version Rattle avec les sœurs Labèque. J’ai le DVD. C’est tout de même autre chose !
En savoir plus…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Wozzeck
Jascha Horenstein conducts the Paris premiere of Berg's "Wozzeck".
Act I 00:11
Act II 35:41
Act III 1:11:25
Lucien Lovano (Wozzeck)
Lucienne Maree (Marie)
Joseph Peyron (captain)
Andre Vessieres (doctor)
Georges Jouatte (drum major)
Gaston Rey (Andres)
Irma Kolassi (Margret)
Bernard Demigny (1st apprentice)
Jean Christophe Benoit (2nd apprentice)
Maurice Prigent (madman)
9 November 1950
Alban Berg, Wozzeck
Wozzeck: Franz Grundheber
Marie: Hildegard Behrens
Der Tambourmajor: Walter Raffeiner
Andres: Philip Langridge
Der Hauptmann: Heinz Zednik
Der Doktor: Aage Haugland
Margret: Anna Gonda
Chorus and Orchestra of the Vienna State Opera
Conducted by Claudio Abbado
21 Nov. 1988
Alban Berg, Wozzeck / Partition piano et chant
Distribution : voir ci-dessus version Abbado
Autres anniversaires…
L’affaire dans les affaires, c’est la présence permanente de la tronche du Roi de France Macron 1 plus que jamais futur Macron 2 à la télé ce mercredi durant 2 heures 30 minutes - et non pas 2 heures comme annoncé -. Il a raison le Roi. Les français lui ont donné tous pouvoirs et vont recommencer. Alors pourquoi se gênerait-il ? Il va vanter sa politique et dire aux français, les yeux dans les yeux, comme ils sont heureux. Et il a encore raison parce que les français vont lui donner raison. Donc tout va bien.
C’est l’histoire d’un vieillard de 77 ans qu’on a mis en prison hier matin. Il ne payait pas sa dette assez vite. Le locataire de ma boulangère qui est aussi le cousin de ma voisine de palier gagne sa vie en vendant de la drogue et en recrutant des jeunes femmes et des moins jeunes pour travailler chez « Djack n’a qu’un œil », centre réputé dans ma région où les hommes viennent pour les titiller. Tout fonctionne à merveille et personne n’est inquiété, surtout pas le locataire de ma boulangère qui est aussi le cousin de ma voisine de palier.
En savoir plus…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Symphonie_de_Psaumes
L'Orchestre national de France dirigé par Kristjan Järvi interprète la "Symphonie de Psaumes" d'Igor Stravinski.
Enregistré le 28 juin 2013 au Festival de Saint-Denis.
Symphonie de Psaumes de Stravinski avec le Choeur de l'Orchestre de Paris, dirigé par Daniel Harding.
Extrait du concert anniversaire des 50 ans de l'Orchestre de Paris.
Captation diffusée le jeudi 2 novembre 2017 sur Arte Concert, Mezzo et Mezzo Live HD.
Igor Stravinsky. Symphony of psalms
I. Prelude (Psalm 38:13-14) (0:00)
II. Double fute (Psalm 39:2-4) (3:24)
III. Allegro symphonique (Psalm 150) (9:56)
Alexis Vlassof Chorus;
Orchestre de Concerts Walther Staram
Igor Stravinsky, conductor
Recorded at the Théâtre des Champs-Elysées
Paris, 17-18 February 1931
Autres anniversaires…
https://soclassiq.com/fr/anniversaires/today/
Au seuil des fêtes de cette fin d’année, je me demande si le Père Noël passe encore par la cheminée. Je me demande s’il y a encore beaucoup de cheminées. Peut-être que papa Noël n’est jamais passé par la cheminé et qu’il entre avec son pass. Hier, il était au bistrot chez Leclerc. Il prenait son café avant de commencer sa journée de selfies avec les enfants bien sages. Il a donc un pass qu’il doit combiner avec son pass Covid. Moi, je n’aimerais pas faire le boulot du Père Noël. Ce doit être très fatigant et surtout très chiant. Rien ne ressemble plus à un conduit de cheminée qu’un conduit de cheminé.
Julie a la chair en sang dans sa chemise rouge de bruit plus froide qu’un mot sans monde qui tombe de soleil. Mourir me fera du bien.
haG
d’après Aurélie Loiseleur
Vieux jeux. Nomme.