lundi 18 juillet 2022

anniversaire • le chef d’orchestre, kurt masur, aurait 95 ans aujourd’hui

 



 

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Kurt_Masur

 



Kurt Masur conducting the Leipzig Gewandhaus Orchestra in Beethoven's Symphony no. 3, op. 55, while on tour in Moscow in 1972.

 



Piano Concerto No.1 in B-flat minor op.23 by Peter Tchaikovsky

1. Allegro non troppo e molto maestoso ― Allegro con spirito

2. Andantino semplice ― Prestissimo

3. Allegro con fuoco

 

Tatiana Nikolayeva, Piano

Gewandhausorchester-Leipzig

Kurt Masur, Conductor

 



Tchaikovsky Symphony No.6 "Pathétique" - Kurt Masur / LGO (1987)

 

 

Autres anniversaires…

https://soclassiq.com/fr/anniversaires/Histoire_de_la_musique_classique_%253A_18_juillet_(Anniversaires)/mm/07/dd/18/

vu à travers le tube • la guerre contre nos fondamentales se terminent… et nous avons perdu !

Jupiter désormais Vulcain ne maitrise donc pas le feu alors qu’il en est le maitre absolu ? Cette défaillance est-elle une impuissance passagère ou la manifeste preuve de sa mollesse définitive ? C’est pourtant de Vulcain et de Loge que le monde a besoin avant de griller comme une sardine à l’huile au tourne-feu. À quoi servent donc ces pouvoirs recherchés par tous les psychopathes en fin de course, puisqu’ils ne leur permettent même pas d’éteindre la flamme qu’ils ont suscitée. Devant l’eau et le feu, l’homme n’est plus rien, plus qu’une larve sans voix qui pleure sur son impuissance et qui se retrouve en fuite et couillon devant ce qui est tout naturel. Lorsque l’homme primitif a connu l’orage et le tonnerre, il a inventé un Dieu pour lui demander protection. Aujourd’hui – 2022 – sa vie est toujours réglée sur ce fantôme qui se fiche de lui comme de son premier hochet. Périr par le feu ou par l’eau est la destinée de l’homme et c’est bien qu’enfin le moment arrive. L’homme n’aurait jamais dû croire que la terre était sa propriété et qu’il pouvait l’asservir son gré. Maintenant, il est temps de payer.

 

Homophobie : rejet de l'homosexualité, hostilité systématique à l'égard des homosexuels. Freudienophobie : rejet de Freud, hostilité systématique envers la thérapie psychanalytique et ceux qui la pratique. Je ne vois aucune différence entre les deux comportements et leur définition et je ne vois pas pourquoi les gens des deux clans sont souvent mis au ban de la société qui elle-même est une des sources de nos malheurs. La liberté d’expression est de penser librement et de pouvoir donner son avis sur tous les sujets, même sur ceux considérés comme sensibles. Les homosexuels sont des êtres inaboutis psychiquement. Les freudiens sont des êtres qui travaillent aux liens permanents entre leur conscient et leur inconscient afin de ne jamais cesser leur progression psychique. L’un est à l’opposé de l’autre. C’est tout. Et cela ne peut empêcher la terre de brûler et d’accueillir des ignorants.

 

Dictateur Zelinsky limoge ses traitres, lui qui en est le chef. Le crépuscule des héros est proche.

 

dimanche 17 juillet 2022

anniversaire • le compositeur français, gabriel pierné, nous a quittés il y a 85 ans aujourd’hui. il était âgé de 73 ans.

 



 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gabriel_Piern%C3%A9

 



Gabriel Pierné, Piece de concert Op. 39 pour harpe et orchestre

 

Isabelle Moretti, harp

Rundfunkorchester des Südwestfunks

Conducted by Klaus Arp

 

1992

 



Gabriel Pierné, Piano Trio in C minor, Op. 45

I. Agité, de mouvement et de sentiment 0:00

II. Allegretto scherzando 17:48

III. Modérément lent - Tempo allegretto - Tempo I - Très calme - Allegro non troppo - Tempo I 26:24

 

Trio Wanderer

 



Gabriel Pierné, Concerto pour piano e nut mineur op12

I. Allegro. Maestoso - Allegro deciso

II. Scherzando. Allegro scherzando

III. Final. Allegro un poco agitato

 

Jean-Efflam Bavouzet (piano)

BBC Philharmonic

Juanjo Mena, conductor

 

 

Autres anniversaires…
https://soclassiq.com/fr/anniversaires/Histoire_de_la_musique_classique_%253A_17_juillet_(Anniversaires)/mm/07/dd/17/

le puits au fond du jardin • je soutiens caroline cayeux…

 



 

 

Où l’on reparle de Vals, immonde connard. (Lire : https://www.lefigaro.fr/politique/une-centaine-de-personnalites-denoncent-les-propos-homophobes-de-cayeux-20220716 ). Mais quel crime a donc commis Caroline Cayeux ? Elle a déclaré en 2013 – il y a 9 ans – que le mariage homo et l’adoption par des homos était contre-nature... et elle avait raison. Il est évident qu’il s’agit d’une déviance d’un processus naturel qui veut qu’un homme copule avec une femme et qu’une femme copule avec un homme, soit pour le plaisir, soit pour l’extase, soit pour fabriquer de la marmaille. Toute autre forme de la chose peut se faire sans problème, mais tout le monde a le droit d’avoir une opinion à ce sujet et de l’exprimer. Pour ma part, je suis de l’avis de Madame Cayeux et je la soutiens totalement. L’homosexualité, sous toutes ses formes, n’est qu’un inaboutissement dû à l’arrêt de l’activité psychique à un moment ou à un autre par peur de l’autre sexe. C’est tout. Et si l’homosexuel veut s’avoir pourquoi son psychisme s’est arrêté, il a tout loisir de consulter Freud. S’il ne veut pas, il assume et vis sa vie selon sa convenance. Et je ne vois pas en quoi cela crée un problème. Madame Cayeux aurait – par ses propos – meurtrie personnellement chaque homo de la planète, auraient dit des arriérés mentaux. Diable, le mot est fort. Madame Cayeux serait donc une meurtrière, au même titre que les djihadistes, au même titre que les voyous des cités, au même titre que les maris jaloux, au même titre que les violeurs de vieilles dames ou de petits garçons ? On est en plein délire. Que les accusateurs commencent à se regarder dans une glace, qu’ils réfléchissent sur leur état psychique et qu’ils n’hésitent pas à consulter. Comment ose-t-on aborder avec une pareille violence ce non-problème ? Alors que le monde a quasi atteint le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin et que dans un temps très court, il va se disséquer parmi les débris, les déchets, les puanteurs de l’humanité, l’homme continu à inventer des conflits imaginaires parce que, depuis le début des temps, il sera passé à côté de la vie, à côté de lui-même. Heureusement, c’est bientôt fini.

vu à travers le tube • des cavernes aux jours prochains…

Quand il était homme des cavernes, l’homme des cavernes n’a plus voulu être homme des cavernes alors qu’il avait un abri sûr, qu’il mangeait écolo – des cuisses de girafes ou des poitrines d’éléphants – et que le dimanche, il promenait bobonne en la tirant par les cheveux dans les prés verts et dans les forêts broussaillantes. C’est pourquoi les ennuis ont commencé. L’homme des cavernes était comme l’homme d’aujourd’hui : un ignorant encore plus ignorant que le plus ignorant des ignorants. Il a inventé deux folies : le feu et la roue qui ont tout naturellement fait des petits sauvageons : la voiture électrique, l’ordinateur, le smartphone, le paracétamol, l’avion volant, le paquebot nageant, la trompette à pistons, le ténor colorature, Hanouna, Schiappa et Alagna.  Et aujourd’hui, dépassé par la conséquence de ses deux premières inventions, l’homme se plaint de la nature alors qu’il fait tout pour la saccager, ce qu’il réussit fort bien. Ça commence à chauffer comme, bientôt, le gel va le statufier. Le retour en arrière est impossible. Aussi, il se fait croire que c’est en votant pour des chefs, en insultants le sexe – celui qui a toujours mené le monde avec son pote l’inconscient -, en injectant dans son corps des poisons, en persistant dans son ignorance sur lui-même, qu’il va sauver le monde dans lequel il persiste à enfoncer le poignard. Il ne peut plus revenir aux fondamentales. Il est perdu, foutu, moribond. Quand il va crever, il n’aura que la vision de son immense imbécilité. Il s’avouera que l’homme est bien un homme avec son pic à glace et que la femme est bien une femme avec sa caverne rouge où il fait si bon s’y reposer. Il regrettera amèrement d’avoir inventé des genres illusoires et milité pour le non-genre. Il aura méprisé Freud. Il aura tout raté. Il ne savait pas en arrivant sur terre que quelques milliers d’années plus tard, on dirait de lui : « Elle est vraiment conne cette chose qui ne sert à rien parce qu’elle n’a jamais voulu savoir qui elle était. » Mais il est vrai que pour que on dise cette vérité, encore faut-il que on soit capable de penser.  


samedi 16 juillet 2022

anniversaire • le chef d’orchestre français, serge baudo, a 95 ans aujourd’hui



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Serge_Baudo

 



Arthur Honegger, Pastorale d'été

 

Czech Philharmonic Orchestra

Serge Baudo, conductor

 

Recorded in 1963.

 



Darius Milhaud, Bolivar, Opera in 3 Atti e 10 Quadri su Libretto di Madeleine Milhaud tratto da Jules Supervielle, Op.236 (1943).

I. Atto I°

II. Atto II° [1:08:15]

III. Atto III° [1:54:07]

 

Bolivar: Rene Bianco

Manuela: Liliane Berton

Precipitation: Denise Scharley

Bovès: Gérard Chapuis

L'Aveugle: Gérard Serkoyan

Le Moine: Jacques Mars

Le Delegue: Claude Cales

Le Visitador: Raphael Romagnoni

Le Marie: Georges Alves

Dominguez: Jean Michel

Ibarra: Jean Darres

Laboureurs: Camille Rouquetty,

Michel Corel, José Van Dam

Maria Teresa: Irène Jaumillot

Missia: Elise Kahn

Bianca: Janine Boulogne

 

Orchestra e Coro dell'Opéra National de Paris

Serge Baudo, direction.

 

Registrazione live del 1962.

 



Florent Schmitt - Rapsodie Viennoise Op. 53 n°3

Serge Baudo, direction

1964

 

 Autres anniversaires

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vu à travers le tube • apocalypse…

Un grand homme – à part Freud et Sade, je n’en vois pas beaucoup – ou un Dieu de l’Olympe a dit : « Le monde périra par l’eau et le feu et les zigotos qui occupent la terre mourront dans la pire des souffrances… ». On y est et ce n’est que justice parce que depuis que nous avons pris possession de la terre, nous ne cessons de montrer l’immensité de notre immense ignorance et nous ne faisons rien – absolument rien – pour en boucher le trou béant qui ne cesse de s’agrandir. Nous croyons en des Dieux falots, des Rois pervers, des lois scélérates et nous rejetons, sans en connaitre la moindre raison plausible, celui qui a inventé une thérapie qui relie le conscient à l’inconscient et apporte la raison et la lucidité. Nous sommes des immenses gros cons et nous allons le payer. Tant mieux. Je m’en réjouis pleinement parce que je ne serai pas dans la charrette et parce que depuis des années, j’écris ici ce qu’il me semble bon de faire pour sauver l’humanité. Je ne suis pas écouté. Pas du tout. Et encore moins que pas du tout. Alors que voulez-vous que cela me fasse que le diable noir et cornu vous emporte tous. Continuez braves gens ignorants, mais pas innocents. Continuez à voter pour des grands malades. Continuez à pondre de la marmaille. Continuez à vous enivrer de la playlist de France Inter. Continuez à vous nourrir des faux philosophes, des embobineurs de la télé, des coachs pervers, des médecines illusoires. Continuez à bétonner, à saccager le socle sur lequel vous reposez. Continuez à croire les menteurs comme ceux qui vous promettent l’extase avec la voiture électrique, l’ordinateur, le smartphone et toutes ces immondices qui remplacent la police. Continuer à courir sur le passage du Roi, l’enfant inabouti qui a épousé sa maman, pour vous selfier avec lui. Continuer à croire que le progrès fait grandir l’homme. Vous vous plantez comme jamais quiconque s’est planté. Ce qu’on appelle « homme » n’est plus si l’on considère qu’un jour, il aurait été.


vendredi 15 juillet 2022

anniversaire • le baryton américain, lawrence tibbett, nous a quittés il y a 62 ans aujourd’hui. il était âgé de 63 ans.


 


 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lawrence_Tibbett

 



Lawrence Tibbett sings " Eri tu "

 





"Chi é mai, chi é qui in sua vece?...V'ho ingannato, colpevole fui...Lassù in cielo" The final duet from Verdi's Rigoletto.

 

Lawrence Tibbett (1896-1960) and Lily Pons (1898-1976) sing in this production from 1935, when both were in peak form.

 

From the Metropolitan Opera, conducted by Ettore Panizza

 



Lawrence Tibbett sings "Leb wohl, du kühnes herrliches Kind" from Die Walküre by Richard Wagner

 

Philadelphia Orchestra

Leopld Stokowski, conductor

 

30.IV.1934

 



Lawrence Tibbett sings Schubert's Erlkönig in an English version

 

 

Autres anniversaires…

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vu à travers le tube • être homme ou ne pas l’être…

Deux adolescentes inabouties ont tenté – en direct à la télé et dans un pré – de poser des questions à Vulcain - le Dieu qui a forgé Nothung, le glaive invincible de l’invincible Siegfried – qui n’a développé que ses propres sujets sans se soucier des deux nanas sombrées dans le ridicule. Vulcain – c’est lui qui le dit – va forger les français selon sa pensée et ceux à qui ça ne plairait pas seront considérés comme des parias, des imbéciles, des gros cons, qu’il sera facile de mettre au ban de la société. Voilà ce qui a été dit hier par le Vulcain apparu sous l’apparence du Roi de France Macron II. Les français, une fois encore, n’ont que ce qu’ils méritent. Ils se plaignent de la canicule alors que cet hiver, ils vont geler parce que Vulcain va leur couper le gaz et l’électricité ou leur faire payer au moins dix SMIC l’unité, ce qui va entrainer beaucoup de famines, beaucoup de maladies et beaucoup de morts par suicide. C’est la volonté des français. C’est pourquoi il serait indécent de dire que nous ne l’avons pas cherché. Le Roi sait - il a toujours su – comment mener le peuple par le bout du nez et humilier les représentants de son opposition sans que ceux-ci bougent le petit doigt. Devant la perversité sans commun de Jupiter-Vulcain-Macron II, tout le monde fait dans son froc et court se cacher. Si on entend de belles paroles pour le contrer et lui faire manger son arrogance, on ne voit personne pour passer à l’action. Le Roi a encore gagné. Les Républicains vont le rallier et l’affaire sera pliée.

 

Moi qui soutenais et qui soutiens toujours la venue du Chœur de Moscou au Festival de Rocamadour, j’ai reçu – je reçois – des flopées d’insultes et de quolibets comme si j’avais violé sur la place publique Karembeu ou autres déchets de la télé. Je suis devenu le pestiféré de Facebook et je sais que l’on est en train de graisser la vielle guillotine utilisée pour Louis XVI et sa Marie-Antoinette afin de trancher ma tête et de la livrer aux corbeaux. Sachez, petits cons, que pour moi, c’est un honneur de nourrir de si beaux animaux. Sachez, petits cons, que je ne vois aucune différence en Pourtine, Zelinsky, Biden et Macron II et que je me fiche de votre avis. Si vous aviez compris qu’être homme ce n’est pas élire un Roi, mais comprendre à quel point il est nécessaire de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser, vous seriez sans doute moins cons et peut-être deviendrez-vous enfin des hommes. Je sais que cela vous dépasse. Je n’y suis pour rien si vous êtes ignorants.    


jeudi 14 juillet 2022

anniversaire • le ténor français, gustave botiaux, a 96 ans aujourd’hui



 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gustave_Botiaux

 



gustave botiaux - carmen - la fleur que tu m’avais jetée –

 

1959

 



gustave botiaux - tosca -recondita armonia –

 

1959

 



Gustave Botiaux Roméo et Juliette Ah lève toi soleil

 

Vichy 23 juin 1956

 

 

Autres anniversaires…

https://soclassiq.com/fr/anniversaires/Histoire_de_la_musique_classique_%253A_14_juillet_(Anniversaires)/mm/07/dd/14/


vu à travers le tube • que du sang…

C’est le 14 juillet, jour de la prise de la Bastille par les parisiens, prison considérée comme symbole du despotisme monarchique, qui a été choisi pour la Fête Nationale de notre pays. À part faire couler beaucoup de sang et trancher la tête du Roi et de son épouse comme on tranche une tranche de saucisson, cela n’a rien apporté et est donc sans importance. Aujourd’hui, nous sommes toujours en monarchie et les prisons sont débordées d’innocents alors que les coupables qui volent les contribuables ou qui se déplacent sur des vélos à une seule roue – à l’arrière -, sont toujours en liberté et vaquent à leurs scélérates occupations sans que la justice s’en émeuve. C’est pourquoi – ceci depuis près de 80 ans – le défilé des militaires et l’exécution de la stupide et laide « marseillaise » me laissent de glace, d’autant que le Roi de France va parader, gonfler son ventre, faire du mauvais théâtre et que les foules timbrées vont applaudir à tout rompre comme on applaudissait jadis Del Monaco et Tebaldi dans le magnifique duo d’amour d’Otello du grand Giuseppe Verdi. La Bastille détruite, on y a mis en place un opéra où la salle est si grande qu’on n’y entend rien et que même avec ses lunettes, on n’y voit rien. Il y passe parfois des vedettes – des stars – qui ne chantent pas toujours très bien et les restes restent peu de choses par rapport aux rumeurs qui prétendent que Bastille est le plus prestigieux opéra du monde. C’est ça le 14 juillet, le jour où les français qui ne sont pas debout, sous le soleil, encadrés par des milliers de policiers, derrière des barrières de la plus grande avenue du monde, vont coller leur nez sur la télé pour se gaver du spectacle de plus déprimant de l’année. Moi, je vais réécouter tous mes Tristan et s’il me reste du temps, je me repasserai quelques moments du génial Wozzeck qui a poignardé sa Marie dans un moment de folie.