Où l’on reparle de Vals, immonde
connard. (Lire : https://www.lefigaro.fr/politique/une-centaine-de-personnalites-denoncent-les-propos-homophobes-de-cayeux-20220716
). Mais quel crime a donc commis Caroline Cayeux ? Elle a déclaré en 2013 –
il y a 9 ans – que le mariage homo et l’adoption par des homos était contre-nature...
et elle avait raison. Il est évident qu’il s’agit d’une déviance d’un processus
naturel qui veut qu’un homme copule avec une femme et qu’une femme copule avec
un homme, soit pour le plaisir, soit pour l’extase, soit pour fabriquer de la marmaille. Toute autre forme de la chose peut se faire sans problème, mais tout le monde a le
droit d’avoir une opinion à ce sujet et de l’exprimer. Pour ma part, je suis de
l’avis de Madame Cayeux et je la soutiens totalement. L’homosexualité, sous
toutes ses formes, n’est qu’un inaboutissement dû à l’arrêt de l’activité
psychique à un moment ou à un autre par peur de l’autre sexe. C’est tout. Et si
l’homosexuel veut s’avoir pourquoi son psychisme s’est arrêté, il a tout loisir de consulter Freud. S’il ne veut pas, il assume et vis sa vie selon sa convenance.
Et je ne vois pas en quoi cela crée un problème. Madame Cayeux aurait – par ses
propos – meurtrie personnellement chaque homo de la planète, auraient dit des arriérés
mentaux. Diable, le mot est fort. Madame Cayeux serait donc une meurtrière, au
même titre que les djihadistes, au même titre que les voyous des cités, au même
titre que les maris jaloux, au même titre que les violeurs de vieilles dames ou de petits garçons ?
On est en plein délire. Que les accusateurs commencent à se regarder dans une
glace, qu’ils réfléchissent sur leur état psychique et qu’ils n’hésitent pas à
consulter. Comment ose-t-on aborder avec une pareille violence ce non-problème ?
Alors que le monde a quasi atteint le noir du fond de mon puits au fond de mon
jardin et que dans un temps très court, il va se disséquer parmi les débris, les
déchets, les puanteurs de l’humanité, l’homme continu à inventer des conflits
imaginaires parce que, depuis le début des temps, il sera passé à côté de la
vie, à côté de lui-même. Heureusement, c’est bientôt fini.