Hier, une demi-heure de noms d’oiseaux chez Praud, où les injures ont fusé - excellent théâtre - entre chroniqueurs et présentateur au sujet d’un chat perdu sous un TGV dont le départ a été retardé afin de débusquer l’animal qui a été enfin trouvé écrasé sous les roues du train quand celui-ci est parti avec dix minutes de retard en raison de l’égarement de la propriétaire du félidé qui ne savait pas que dans une gare, la porte de la cage de son compagnon aurait dû être fermée avec sûreté. L’étourdie a porté plainte et le tribunal aurait condamné la SCNF pour meurtre prémédité. À vérifier, car je ne suis pas allé jusqu’au bout de l’affaire, d’autres chaines m’attendant avec impatience. Et pendant ce temps, à Bordeaux, une vielle femme et sa petite fille ont été molestées par un récidiviste qui a été arrêté et placé en garde à vue alors que la justice voudrait que l’individu aille directement à la case prison pour 40 ans avec châtiments corporels journaliers. D’un côté, un chat. De l’autre, un abruti à l’état sauvage, mais en réalité un grand malade psychique qui le restera si personne ne lui montre le chemin qui mène à la porte du cabinet de Freud. Je sais. Prononcer ou écrire le nom de « Freud » est une injure à l’opinion publique. Mais, comme j’emmerde l’opinion publique, je me permets.
Guéguette est morte il y a quelques semaines et elle continue à débiter ses ignobles conneries, chaque soir, à la télévision. C’est indécent !