le puits au fond du jardin • qui pense ? qui est ?

 

 

En fait, si on exterminait définitivement les écologistes, les mélenchiens, les macroniens et les bayrousiens, on aurait résolu la quasi-totalité de tous nos problèmes, seulement – et c’est la condition fondamentale - après avoir bien voulu accepter de déconstruire le système et créer de toutes pièces un nouveau chemin conçu pour l’homme et son psychisme dévastateur. Faire la clarté dans nos pensées, dans nos idées, dans nos représentations de toutes choses, dont soi-même en particulier, serait la nouvelle convention entre le monde et soi, entre soi et notre soi. Débusquer et organiser les rapports en nous et l’autre, entre nous et notre autre autre, entre nous et tous nos autres autres qui se percutent et se traversent, permettrait de représenter différemment la représentation qui nous représente maladroitement sur la scène du théâtre fictif dans lequel nous croyons être les spectateurs. L’autre n’est pas puisqu’il est nous, notre projection imaginaire qui sait si bien faire illusion. L’illusion est le mal qui nous ronge dans ce monde d’illusions, de marionnettes, de soi-disant, de faux-semblants. Un plus un ne font pas deux. Le poisson rouge n’est pas rouge. On n'est que si l’on pense et qu’on le traduit par des mots. Qui pense ? Qui est ?   

le puits au fond du jardin • les fuites du regard…

 

Hier, une collégienne de 13 ans a été agressée par quatre mineurs qui lui reprochaient de ne pas respecter le ramadan. Cet acte odieux est peu de chose. Il n’est que la reproduction d’une longue série d’actes semblables qui se succèdent chaque jour depuis une ou plusieurs décennies. Le monde regarde. Le monde s’apitoie. Le monde se garde bien de réagir, sauf les langues qui débitent âneries sur âneries et dévoilent leurs puantes compassions pour les victimes, mais surtout pour les assassins privés de punitions. Soit la majorité passe à 10 ans et l’agresseur, le violeur, le tueur est responsable de ses actes. Soit la majorité reste à 18 ans, et les parents sont les seuls responsables de leur caca de marmailles qu’ils ont osés propulser dans notre monde. Puisque ce même monde de crétins refuse toutes interventions de Freud dès l’embryon et pour toute la vie, il faut revenir au cachot sans télé, sans portable, sans toilettes, sans matelas, avec, pour seules nourritures, un vieux crouton de pain sec et un quart de verre d’eau. Et puis pourquoi ne pas bourrer au maximum les cellules en compressant 30 ou 40 individus au lieu de 3, comme on le fait chaque jour et depuis un siècle dans le métro. Le monde d’aujourd’hui est l’erreur fondamentale. On le dit moderne, à la page, au goût du jour, alors qu’il n’est qu’autodestructeur. Revenir à la plume d’oie, à la diligence, au ciné en noir et blanc, aux chorals de Jean-Sébastien Bach. Cette surabondance d’illusions conduit à la cécité et à la surdité. Et comme il est trop tard, il ne reste plus qu’à tourner le dos au monde et se remémorer les mots du géant : « Ça se reproduit ! Ça se reproduit ! », ceux de Dale Cooper « Je vous ramène à la maison ! » et de tourner les yeux à l’intérieur pour voir qu’en un seul coup, on en meurt d’effroi.        

vu à travers le tube • une histoire de basse-cour…

Le combat de coqs sur Cnews n’aura été qu’un combat de poulettes qui caquettent comme cela se passait dans la basse-cour de ma grand-mère Florine ou dans la prison du Shérif Truman de Twin Peaks Le Retour, où caquette l’autre Diane. L’insupportable caquètement d’Hayer qui débitait, par cœur, les caquètements dictés par son maître et gourou enfant au psychisme inabouti qui fait office de Roi de France, couvrait si bien les tentatives de Maréchal, que celle-ci a eu beaucoup de mal à expliquer son programme auquel je souscris entièrement même si je ne voterai pas pour elle puisque je ne vote pas dans ce pays où la Constitution du vieux militaire est une abomination d’articles dictatoriaux et où le système électoral permet d’accéder au pouvoir suprême avec seulement 17% de suffrages. Les deux arbitres – féminines – auraient pu et dû y mettre bon ordre. Aujourd’hui, je vais porter plainte contre Cnews, devant le Conseil constitutionnel, pour avoir organisé un débat avec quatre femmes en plateau, ce qui est un irrespect de la règle de la légalité entre les sexes. Pour en terminer avec cette émission qui m’a rappelé avec bonheur l’époque lointaine où je vivais parmi les poules, mais aussi les lapins, je voudrais redire mon soutien à Marion Maréchal – que l’autre conne n’a pas manqué d’appeler Maréchal-Le Pen avec beaucoup d’insistance – qui, comme moi, sait que l’ennemi de la France est l’Islam, que l’Islam, ses dérivés et ses tarés.       

vu à travers le tube • le monde est fait ainsi…

Les connards de l’affligeante France-Info – sœur jumelle de France-Inter – ont développé une bonne dizaine de minutes le scandale de Chat GPT qui serait, selon eux, raciste. Chat GPT, comme tous les trucs-machins de l’informatique en connexions wifisées, n’aligne que les mots que vous lui avez fournis. Si ses propos son racistes c’est que vous êtes un raciste et qu’en macronnie, vous allez vous retrouver derrière les barreaux. Deux connards LR vont déposer une proposition de loi pour interdire les écrans aux moins de 3 ans. Une fois la loi votée – si elle l’est – qui va être chargé d’arrêter et d’incarcérer les bambins qui visionnerons ces choses rigolotes qui envahissent les écrans ? Les deux connards LR auraient été mieux avisés de déposer une loi qui interdise aux parents qui n’ont pas obtenu leur CCP (Certificat de Compétences Parentales) de procréer, car on ne peut oublier que la violence enfantine et adolescentine n’est que la conséquence de l’ignorance des parents, parents ignorés par la loi, lorsque leur descendance mineure commet un crime. L’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France a encore rendu son hommage hebdomadaire aux chrysanthèmes, hier, en Haute Savoie. Il adore ça et ne sais faire que ça. Et chaque fois, il passe longuement à la télé. Bienfait pour les gens ! Ils n’ont qu’à pas regarder. A mi-mots, il en a profité pour annoncer la mobilisation générale des jeunes. Il n’a pas dit que c’était pour les envoyer au casse-pipe à l’assaut de Moscou. Il fait ce qu’il veut, l’enfant. Personne ne le contredit. Il peut déclencher toutes les guerres qu’il veut. Lui, il restera au château, bien au chaud, sous les jupes de sa maman qu’il a épousé. Le monde est ainsi fait, fait parfaitement comme les hommes pervers et ignorants l’ont décidé. Et pour cette fin de civilisation, inutile de chercher les coupables. Ils sont là. juste devant vous !

le puits au fond du jardin • les vilains petits enfant vont être punis…

La primera sesión de radioterapia para el cáncer de mama.

Georges Chicotot. 1907.

Localización: Musée de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris.

 

 

5 euros d’amende si vous n’allez pas chez votre médecin au jour et à l’heure dites. Et quelle amende pour le médecin qui ne respecte jamais l’horaire qu’il vous a accordé ? Et quelle amende pour le médecin qui vous laisse crever la nuit parce qu’il roupille dans son lit ? Et quelle amende pour le médecin qui connait de votre corps que ce qu’il a appris dans les bouquins ? Et quelle amende pour le médecin qui ignore que la maladie physique n’est que la conséquence de la maladie psychologique ? Et quelle amende pour le médecin qui ne se fait pas accompagner d’un psychologue, d’un psychiatre, mieux, d’un psychanalyste ? Et quelle amende pour tous ces médecins qui ne vous adressent pas la parole et qui vous prennent pour un objet à rafistoler ? La révolution Attal est un scandale. Si vous avez la chiasse, elle préconise de prendre rendez-vous chez le dentiste, et chez l'ophtalmo si votre cœur s’arrête de battre.  En aparté, je tenais à dire que tous les cœurs son viennois puisqu’ils battent tous à trois. Les mesurettes stupides, inefficaces, sans intérêt, prisent dans tous les domaines par ce gouvernement de bras cassés, sous l’autorité de l’enfant désaxé, nous mènent là où nous sommes aujourd’hui : en chute vertigineuse pour le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Et l’homme en a perdu ses fondamentales, celles qui le tenaient debout, ancré et conscient que sa force est sa pensée, sa pensée aiguisée et sur ses gardes afin de ne pas couper le lien précieux qui la relie à son inconscient. Et là, c’est raté ! Totalement raté ! Jamais Freud n’aura été aurant souhaité. Mais voilà ! La crasse humaine l’a rejeté, préférant les dieux, les rois et les charlatans. C’est ainsi. La course effrénée vers la fin ne peut être arrêtée.  Nous y allons inéluctablement.

vu à travers le tube • un assassinat…

Le collégien est donc mort, assassiné. Après les larmes de crocodiles, après les compassions exposées, après les discours à n’en plus finir, après les indignations, qui va agir ? Qui va décider, non pas demain ou après, mais aujourd’hui, de la marche à suivre. Qui va désigner les coupables : la macronnie, ses prédécesseurs, les élus, la société, le peuple, tous coupables à 100%, mais avant tout et au sommet de la pyramide : LES PARENTS, les parents dont la femme éjecte en permanence de son ventre pour abandonner sa propre chair aux perversions de la société sans songer un seul instant à connecter son regard dans le regard de sa propre image. Les enfants abandonnés sont sans repères et sans barrières. Livrés à leur ignorance, ils imitent le loup, le lion aussi. Quand ils ont faim, ils mangent. Quoi de plus naturel ? L’enfant ne peut grandir sans apprendre. Pas à lire, pas à écrire, pas à compter, apprendre simplement à vivre, apprendre les rouages de la vie. Après des milliers de siècles, nous en sommes encore loin, encore très loin. Et la fin approchant, nous n’aurons jamais le temps de rattraper le temps. C’est fini. Dommage que l’apparition de Freud n’ait pas plus frappée les esprits. Il est rejeté. Le monde meurt. Il faut bien payer !

vu à travers le tube • la femme coupable…

Qu’on m’explique comment Hollande, qui a largement participé au naufrage de la France, ose encore montrer le bout de son nez et donner son avis, surtout le dernier, où il recommande de ne jamais avoir de rapport avec la Russie. Désolé connard, je couche avec qui je veux ! Qu’on m’explique pourquoi le dauphin et successeur de cet insignifiant s’attaque à notre broussaille capillaire alors qu’il tourne la tête devant les massacres qui se succèdent devant les écoles, massacres aux heures pleines et devant des centaines de témoins qui se contentent de filmer et ensuite de commenter à la télé. Une collégienne tabassée avant-hier pour non-port du voile islamique et, hier, un élève de 15 ans roué de coups à la sortie de son collège. En France, la guerre civile bat son plein et vos élus papotent en faisant le tour des popotes, ce qui ne vous empêchera pas de revoter pour eux ou pour leurs copier-coller si vous retournez votre veste. Les élus sont tous des lamentables, des pitoyables et des monstres dangereux. Et vous, peuples de France et d’ailleurs, vous cachez votre honte derrière votre éternel sommeil languissant que rien ni personne ne saura réveiller. S’il n’y a pas un grand mouvement mondial de révolte contre les institutions, leurs gardiens, les religions et l’ignorance permanente, une ou deux décennies suffiront à mettre tout le monde hors d’état de nuire. Vous souhaitez la fin de notre civilisation. Je ne peux dire continuez puisque le processus final est déjà enclenché. La femme coupable qui ne cesse de pondre, va enfin payer.   

vu à travers le tube • le petit jeu pervers de l’enfant…

La bêtise est coriace. La connerie est tenace. En fait, Attal n’est qu’un petit con prétentieux qui se contente de tenir le rôle du double maléfique de l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France. S’il est et marche dans la combine, c’est que le monarque la lui a imposée et que, petit con et grand naïf, il a tout de suite accepté. Voilà que le précité, répond seul à la traditionnelle séance des questions au gouvernement. Exit les ministres qui sont invités à rester dans leurs offices afin de cesser de débiter les énormes mensonges qu’aucun français ne peut avaler – sauf les transis d’amour pour le petit garçon de l'Élysée -. Seul Attal a le droit, désormais, de répondre aux questions embarrassantes, ce qui évite les dispersions et les hautes trahisons. Et quand on écoute ses réponses, on voit bien que le zozo – je n’ai pas dit Zorro - à un cerveau gigantesque et universel, au point que de Pékin à Philadelphie, en passant par Moscou, on le nomme MJST, « Monsieur Je Sais Tout ! ». Ce que n’a pas compris le rampant vociférateur, c’est que son patron l’a mis là où il fallait pour vite rejoindre le placard. Ce type est trop dangereux pour la macronnie, et comme il est dans l’incapacité de cacher ses ambitions…   

le puits au fond du jardin • laura est l’unique…

 

Les reportages permanents, les successions de débats (sur quoi ?), les commentaires incessants sur les chaînes de l’information continue concernant l’épopée hitchcockienne et lynchienne de la mort du petit Émile, ne sont pas de l’information. Juste à côté du voyeurisme, il ne s’agit que de politique, de détournement de notre jugement, de diversion, d’aveuglement pour éviter de voir, de nos propres yeux, le massacre annoncé. L’État, le Roi, les ministres, les députés, les sénateurs, les élus, les curieux, les pervers, TOUS COUPABLES. Voudrait-on me de faire pleurer, m’apitoyer, m’imposer de la compassion ? Non, je ne marche pas. Les guerres se multiplient. Les sectes-religions re-prennent le pouvoir. L’ignorance étend son ombre moribonde sur le monde. L’homme, resté au stade de crétin depuis l’homme des cavernes, descend sans cesse dans l’immonde et toujours plus bas. On dépense des milliards pour fabriquer les armes qu’on offre à nos voisins pour qu’ils nous exterminent, des milliards pour l’intelligence artificielle, terrible aveu de l’échec de l’intelligence naturelle, on s’écharpe pour des faits sans sujets, on se noie dans les flots de paroles des enculés qui veulent nous assouvir, on ne voit que ce que notre nez veut bien nous montrer, on confond la réalité avec les images qu’on a fait entrer de force dans notre cerveau, on ne sait toujours pas si nous sommes nous ou l’autre et mieux, si nous sommes vraiment, et on voudrait attirer le monde dans le gouffre insondable d’un enfant disparu pour toujours et pour lequel on ne peut rien faire. Aller à l’essentiel. Tenter de comprendre pourquoi la femme coupable nous éjecte sur cette terre où le seul chemin nous mène à la mort sans que nous ayons réussi à voir qu’il n’est qu’illusion, que les autres ne sont pas, et que notre vie n’aura été qu’un tourbillon de vides. C’est la femme à la bûche qui a dit ce que lui a dit sa bûche : « Laura est l’unique ! »  

vu à travers le tube • sens dessus dessous…

L’Écosse n’est plus l’Écosse depuis que le Roi Macbeth et sa rutilante Lady ont quitté le pouvoir. L’Écosse, mille ans après, sombre dans la connerie humaine faite de lâchetés et de dénis, ce qui semblerait à une volonté de s’identifier à la pitoyable France agonisante. Une nouvelle loi – encore une qui alourdie encore le poids de la valise – entre en vigueur aujourd’hui. Il s’agit d’une loi qui rend obligatoire la délation. Dénonce ton voisin, ton ami, ton fils, ta maitresse et ton amant en même temps, dénonce-les pour un crime, une pacotille, une vérité – tout est bon pour le cochon – et tu auras une prime et ta victime ira derrière les barreaux pour sept longues années. Ce matin, mon ami Ducan J. (Junior), qui est boucher-charcutier à Glasgow, a demandé à sa copine pourquoi elle n’avait pas mis le beurre au frigo. Celle-ci l’a mal pris, même pas bien du tout. Elle a appelé la police qui a embarqué le méchant garçon pour accusation de négligence envers la nana qui partage son frigo, son papier cul et son lit quand elle n’est pas dans celui de son voisin de palier, Bridge Town. Mon pauvre ami va dormir derrière les barreaux pour un bon bout de temps. La nouvelle loi écossaise entre dans tous les cas de figures. Dire, écrire et penser différemment de son voisin est un crime là-bas, dans ce pays où les hommes portent des robes à carreaux et dansent la carmagnole aux sons des binious. Et c’est pareil ailleurs. On ne cesse de tuer impunément au nom des religions ou des rois fous, alors qu’écraser une fourmi ou une limace peut facilement nous conduire en prison. Les valeurs sont sens dessus dessous, ce qui nous oblige à mettre nos pieds en l’air, la tête en bas, ce qu’on appelle justement, marcher sur la tête. Et à force, les têtes tournent et les psychismes se détériorent. Et personne, en cette fin de civilisation, ne songe à replacer la tête vers le ciel, ce qui redonnerait aux pieds leur fonction première : marcher, marcher, marcher encore, sur la terre nourricière.      

le puits au fond du jardin • naïveté et ignorance…

 

La naïveté règne sur cette pauvre terre. Les peuples sont lâches, leurs chefs brutaux et sadiques, ce qui n’empêche pas les populations de continuer à engraisser la machine du pouvoir, régulièrement. En votant – par des moyens pernicieux – ceux qui glissent leur papier-cul dans la fente de la boite maléfique, choisissent le bourreau que les bonimenteurs de foires et les sondages leur ont imposé. Nulle part, il y a République et Démocratie. Cette naïveté chronique est la conséquence de l’ignorance généralisée entretenue savamment par ceux qui décident. Et cette stratégie, mise en place dès le début des mondes, continue et continuera, jusqu’à ce que ces mondes se dissolvent dans l’éternité de l’univers. L’homme nait formaté par ses antécédents, sa situation géographique et sociale. Il nait non formé. Si la femme qui lui a donné sa chair n’est pas capable de le dé-formater, de le dé-rouler, de le dé-fabriquer, de le dé-monter en pièces détachées, pour le reconstruire à l’image de sa personnalité et de sa propre vérité, il restera un enfant au psychisme inabouti toute sa vie. Et c’est ce qui se passe depuis plus de 100 000 ans. La terre est peuplée d’enfants – sauvages – dirigés par des enfants – sauvages -. Et l’on s’étonne que monsieur viole madame parce qu’il veut tout simplement retourner dans le ventre de sa maman avec la violence qu’elle lui a fait subir lorsqu’elle l’a éjecté de son ventre alors qu'il ne lui a rien demandé. Et pour survivre, l’enfant a inventé les dieux. Et pour combler son vide insatiable, il a aussi inventé les héros auxquels il se substitue pour tenter d’être. L’enfant ne sait pas que s’il grandissait sur le bon chemin qui conduit à la bonne porte, il comprendrait que ce dieu ou ce héros tant envié, ce n’est que lui. Mais pour ouvrir la porte au bout du chemin, il faut la clé. La clé est dans les tiroirs du bureau de Freud. Il suffit de se rendre dans son cabinet pour la lui demander en y cherchant son miroir, en le trouvant, en s’y regardant, en s’y reconnaissant et en le traversant. C’est simple comme bonjour, un mot qui n’est plus en usage. Devenir adulte, cela s’apprend, cela se mérite, cela se gagne. Freud est le seul. Sa thérapie sauve les vies et donne le pouvoir au psychisme de se comprendre pour comprendre le monde. Du haut de ma fin de vie, je ne vois plus personne. Je ne vois que les marionnettes en bois vermoulu qui se fracassent les unes contre les autres sans savoir pourquoi. Elles inondent la terre de leurs échardes que l’éclair enflamme en un joyeux feu de bois. La terre brûle et personne ne le voit. L’adulte a disparu bien avant sa naissance. Il ne renaîtra pas de ses cendres puisque Freud a été abandonné.

 

Les restes d’un enfant ont été retrouvés. Pourquoi cette immense douleur ? (Lire ci-dessus)     

vu à travers le tube • les pauvres gens hagards qui hantent les trottoirs…

C’est sur le compte de la santé des français que l’enfant, mis illégalement – 18% de voix, système électoral obsolète – au pouvoir, veut régler la dette abyssale qu’il a accumulée en enflant la masse des fonctionnaires incompétents et inutiles, en détruisant les organismes vitaux pour le pays, en offrant armes et pécules divers à l’Ukraine – plus précisément à son chef psychopathe -, en salariant et couvrant de cadeau sa vieille maman qu’il a épousée, et bien plus encore. Il n’y a plus de médecins, plus d’hôpitaux, plus de médicaments et ce grand malade va dérembourser les pauvres gens atteints d’une affection dont personne ne peut les débarrasser. Honte à tous ces français qui ne vont pas déloger l’intrus de l’Élysée. Et que fait l’intrus pour replacer l’école moribonde au centre de la société ? Va-t-on supporter encore longtemps la menace et l’action des terroristes islamistes qui s’en prennent à l’éducation, au savoir et à tous ceux qui se battent contre l’ignorance ? La démission du proviseur menacé de mort n’est-elle pas un terrible aveu d’échec et un aveu de soumission à l’envahisseur ? Quand, dans une décennie, quarte fois par jour, vous vous courberez sous le fouet pour honorer Allah - ce qui n’est pas mon problème puisque je serai à la droite de la gauche de Wotan pour l’éternité -, vous vous demanderez pourquoi vous avez été aussi lâche. Mais voilà… ce sera trop tard. Je vois le soleil qui pointe son nez. Je vais sortir et regarder les pauvres gens hagards hanter les trottoirs.       

vu à travers le tube • des pansements pour les plaies…

L’ado au psychisme inabouti qui, en France, fait office de Roi, saccage tout sur son passage, provoque des plaies béantes et, devant les complaisances naïves de ses victimes, leur propose des pansements pour arrêter le sang qui gicle hors de leur corps. Il ne viendrait pas à l’idée de ceux qui ont été humiliés de demander à l’enfant de cesser ses violences ou de dégager. Non ! Les malheureux complaisants laissent faire le tyran et sa cour de marionnettes insensées. Je remets totalement en cause l’élection, telle qu’elle est pratiquée, et je pense que les sondages sont une atteinte à la liberté de pensée et influencent considérablement les cerveaux pas encore formés de la grande majorité. Sondages interdits et élections à un seul tour. Et bien sûr, revenir sur cette malencontreuse élection du président au suffrage universel, qui fait de lui un dictateur invincible. La France croule les lois. Il ne faut pas en rajouter. Il faut en supprimer au moins 90%. Et pour que cela fonctionne, il faut généraliser la connaissance en laissant l’école ouverte aux adultes – ceux que l’on considère comme tels – et prioriser dans les programmes la connaissance du fonctionnement du cerveau et du psychisme de l’homme qui semblent fonctionner, aujourd’hui, que sous l’effet de l’amphétamine. Au Moyen Âge, on était plus heureux. On riait des poèmes salaces, des corps vertueux et de ceux qui pétaient plus haut que leur cul. On pardonnait tout. Freud n’était pas né. Aujourd’hui, il est impossible de pardonner. Freud – rejeté – a tout expliqué et personne ne veut écouter.    

vu à travers le tube • royal, barthès, huppert, racine, brayard…

« Il est venu en pyjama et ne s’était pas coiffé ! ». Belle observation de Ségolène Royal au passage de Yann Barthès devant l’inquisition parlementaire et son rapporteur abruti, qui enquêtent sur les fréquences de la TNT. J’ai vu la séance sur X. Ségolène – c’est pour elle que j’ai voté, la dernière fois que j’ai voté – ne s’est pas trompé. Son œil est toujours aussi vif.

 

La grande, l’immense Isabelle Huppert, à 71 ans, reproduit la célèbre bataille d’Hernani de 1830, tous les soirs, au théâtre de Paris, avec la tragédie de Racine, « Bérénice ». Applaudissements et sifflets se mêlent joyeusement, brutalement et avec un fameux charivari. Elle n’en a que faire. Sa passion et son talent sont bien au-dessus de toutes ces querelles de maquerelles. Quand elle en aura fini avec Paris, elle tournera dans toute la France.

 

Le chiot mélenchien Boyard fait, lui, la tournée des facs. Il injecte dans les veines des étudiants la bible mélenchienniste. Et moi, grand naïf, je croyais qu’on allait en fac pour apprendre des grandes choses. En fait, on y va pour s’injecter de l’amphétamine. Et ces gens-là prétendent arriver un jour au pouvoir. Observant le peuple avachi, je crois qu’ils ont quelques chances.

vu à travers le tube • hurlez, pauvres gens !

Terrible et sauvage retour en arrière. On est revenu à l’autodafé, à l’inquisition. On est revenu à l’empire de Charlemagne et Charles-Quint ; soumis aux pouvoirs sans partage de la religion catholique. « Le pouvoir du Roi cède devant le pouvoir de l’Église » fait chanter Verdi dans son « Don Carlos » politique. Le proviseur du lycée a cédé devant les exigences de la petite fille voilée. Le macronisme, ses dérivés et tous les autres, cèdent devant le terrorisme islamiste et le peuple dort, dort et dort encore. Quel curieux face à face entre la femme qui se veut libre et qui va, très bientôt, porter la burka, soumise à son mari et aux violences de la société en devenir. Je suis heureux d’être arrivé à l’âge qui frôle la mort. Je ne verrai pas les horreurs que l’on vous prépare. Vous dormiez ? Et bien, hurlez maintenant !