lundi 11 novembre 2024

vu à travers le tube • le 11 novembre, l’enfant et maman…

Aujourd’hui, on fête l’armistice d’une guerre dont 90% des français ignore l’existence. Et c’est pour qu’ils aient le temps de se plonger dans leur livre d’histoires que des fonctionnaires zélés ont décidé que le 11 novembre serait férié toutes les années, jusqu’en 4018. Pourquoi n’ont-ils pas fait de même pour toutes les victoires et défaites de Vercingétorix, Charlemagne, François 1e et Napoléon ? Il manquerait ainsi de nombreux jours à l’année pour prolonger les vacances et se faire bronzer dans les stations et se prendre pour des poissons dans les mares à requins. Mon grand-père était poilu. Il a vécu des mois dans les tranchées, à Verdun, avec son fusil à baïonnette et sa clarinette dont il jouait entre les obus. Il eut la chance d’en prendre un dans le pied et d’être rapatrié. Plus tard, alors que j’avais 5 ans et qu’il était 1e clarinette à l’Harmonie de la Tour-du-Pin, il a décidé que je serai musicien et m'a collé un cornet à pistons dans les mains. Et c’est pour cela qu’aujourd’hui, je suis ce que je suis. Et cette année encore, toutes les télés vont nous montrer, en gros plan, le minois figé de l’enfant qui sert de roi, fixer de ses yeux révulsés la flamme que dégage un mort inconnu depuis bientôt cent ans. C’est une vraie poilade cette fête des poilus qui fait l’affaire des restaurateurs et des sociétés d’autoroutes. Ce n’est pas si grave puisque les français ont les moyens.

 

Et j’en reviens à l’enfant qui, hier, a fait annoncer par ses multiples fonctionnaires qu’il serait présent au match France-Israël, lui qui a crié haut et fort qu’Israël devait être désarmé et se coucher devant les terroristes. Il est gonflé le marmot. Il est surtout déséquilibré, lui qui est incapable d’avoir un avis constant et qui au lieu de s’unir à une jolie donzelle qui lui aurait fabriqué pleins de petits enfants tout mignons et tout chiants, a épousé maman.          


dimanche 10 novembre 2024

le puits au fond du jardin • sacré rouquin !

En remportant l’Arizona, Trump fait carton plein et personne ne pourra dire qu’il n’a pas été élu haut la main, contrairement à notre pitoyable ado attardé qui n’a jamais réussi à se faire plus d’une petite dizaine de pourcentages de copains. Trump est peut-être un méchant garçon, mais c’est un homme déterminé qui sait donner les coups de pieds dans les endroits les plus reculés. La terre des wokes, la terre des gauchiotes, la terre des terroristes islamistes peut commencer à trembler. Et si ce valeureux rouquin peu sympathique tient parole – il tient souvent parole – la porte sur l’invention de la Démocratie pourrait peut-être bien s’ouvrir. Et pendant ce temps les français sous amphétamine, laissent les troupeaux mélenchonistes-gauchios-islamistes progresser vers le pouvoir et vont être tout étonnés de se réveiller – dans le cas où ils se réveilleraient – avec un Kim Jong-un à l’Élysée. Ils vont beaucoup souffrir et cela ne pourra que satisfaire leur masochisme et regretter leur abyssale ignorance. Nous nous acharnons à briser nos fondamentales et confondre la vérité et le mensonge. Nous croyons en Dieu et en l’Intelligence Artificielle, mais non en l’homme et son psychisme tout-puissant et gravement atteint qui plonge notre conscient dans notre inconscient. C’est à ce dernier qu’il faut nous adresser et le faire réparer dans l’atelier freudien où nous pouvons tous chercher notre miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaitre et le traverser. Elle est là la solution et pas ailleurs. Tous les restes ne sont que des pipotages de mauvais joueurs de flûte à bec soprano.   


samedi 9 novembre 2024

vu à travers le tube • la seule bonne nouvelle du matin…

Que l’on trouve Trump déglingué, soupe au lait, dangereux pour les partisans des frappe-moi et je te tends la joue, je comprends. Par contre, ce que je ne comprends pas, c’est l’inertie, la lâcheté des français devant ceux qui devraient être jugés et emprisonnés : Mélenchon et toute sa bande, Macron et ses suppôts lèchent-cul, Bayrou et son vide sidéral, Aphatie et son gauchisme crade, Cohen et sa morale à deux balles. Les français devraient s’inquiéter devant la disparition de toutes les autorités et devant la montée du fascisme et du nazisme sur le côté gauche des convictions. Sont-ils révoltés contre les désirs déclarés d’éliminer Israël de la carte ? Sont-ils révoltés sur les violences racistes autour des matchs de foot ? Sont-ils révoltés par les crimes permanents dans la rue ? Sont-ils révoltés par ces larges parties de la France soumises aux dealers et criminels de toutes variantes ? Sont-ils révoltés par l’ignorance et les mensonges de leurs élus ? Sont-ils révoltés par les invasions barbares ? Sont-ils révoltés par la vente de nourrissons au rayon légumes verts de leur supérette ? Sont-ils révoltés par les pubs qui proposent aux femmes des pénis au rabais ? Sont-ils révoltés par tous ces dégénérés qui les humilient ? Sont-ils révoltés par ce monde laissé à l’abandon dans les caniveaux ? Moi, oui ! Et c’est pourquoi j’ai jeté la tolérance dans mon vide-ordure et que plus jamais elle n’entrera dans mon logis. La race est dangereusement malade. Elle est mourante et va disparaitre sous peu et c’est bien la seule bonne nouvelle que je pouvais vous donner ce matin.  


vendredi 8 novembre 2024

le puits au fond du jardin • freud, encore freud… désolé !

 



 

Où l’on constate que les politiques, les journalistes, les artistes, ne communiquent plus que par X, le réseau social qui confronte des milliers et des milliers de psychopathes à des naïfs rêveurs des temps anciens. C’est cela l’information de notre décennie qui en remet une couche avec France Inter, BFM, Médiapart, Télérama et tous les bobos bien-pensants, qui ont brisé leur psychisme avant qu’il n’arrive au bout de son processus. Le retour de Trump aura provoqué un tsunami, ce dont je me réjouis, et notre pauvre gamin au psychisme inabouti qui occupe illégalement le trône de France, se voit déjà pousser des ailes en s’imaginant à la tête de l’Europe envoyer son armée de carton-pâte terrasser l’ennemi outre-Atlantique. Pendant ce temps, en Macronie, on tue, on viole, on assassine, on se drogue, on se suicide. On se terre chez soi par peur d’être éventré sur le trottoir. On est mort et on croit vivre. Jésus ne reviendra pas. Siegfried non plus. Le temps des héros est révolu. Nous sommes perdus. C’est fini. Et pourtant, si une frange qui n’a pas peur d’ouvrir les yeux poussait la porte du cabinet de Freud, elle pourrait y chercher son miroir, elle pourrait le trouver, elle pourrait s’y regarder, elle pourrait s’y reconnaître, elle pourrait le traverser et le monde pourrait changer. Les visibilités du réel pourraient enfin se dévoiler. Mais, l’homme préfère ramper et se vautrer dans les excréments. Il est sale et veule. Cela lui plait. Qu’il y reste.

 

Pour les humains lucides et courageux : « En Thérapie » d’Éric Toledano et Olivier Nakache, saison 1 et 2, coffret DVD. La compréhension de la thérapie psychanalytique de Freud où vous pourrez vous reconnaître à chaque image.    

jeudi 7 novembre 2024

le puits au fond du jardin • virage avec conséquences…


 


 

À part France Inter, France Info, BFM et quelques canards laquais wokes, le monde entier se réjouit de l’arrivée de Donald et de son coup de pieds dans la fourmilière. Les pleutres et les lâches, l’enfant inabouti en tête***, se sont empressés de le féliciter, tout en courbettes, et sont pris de tremblements devant son invincible Nothung emprunté pour un temps à l’intrépide enfant survolté de Sigmund et Sieglinde. Imprévisible peut-être, mais claire dans sa détermination à œuvrer pour son pays et à l’en débarrasser des insectes nuisibles. Une belle leçon qui ouvre enfin la porte à l’invention de la Démocratie. Les pissefroids français sont à terre. Leurs voisins européens aussi. Les discours ahurissants et abrutissants vont devoir cesser et les actes se manifester sous peine de chutes vertigineuses dans le noir du fond de mon puits. Cela fait si longtemps que je n’ai pu me réjouir que je vous demande de me laisser savourer mon plaisir. Mon dernier moment d’hilarité a été l’arrivée de Mitterrand sur le trône. Malgré son échec époustouflant, quoique moindre par rapport à ses prédécesseurs et successeurs, je suis resté profondément socialiste. Et, c’est pourquoi, en ayant assez de ma solitude après les obsèques de toute ma famille, j’ai décidé de rompre et de rejoindre mes origines. Aujourd’hui, je suis redevenu Hervé Auguste Gallien et rien d’autres à part wagnérien, mahlérien et bruckenérien. Avant de partir chez mon Leclerc prendre mon café, non sans avoir salué ma voisine de pallier, je dois encore dire que je ne connais rien de pire, de plus pitoyable et de plus insupportable que cette France où la femme coupable m'a éjecté sauvagement. Triste aura été ma destination.  

 

*** Macron, marmot au psychisme inabouti qui sert de roi à la France.

mercredi 6 novembre 2024

vu à travers le tube • seul contre tous…

La victoire, probable et souhaitée, de Trump - à 8h13, rien n’est joué, même si Harris est partie en weekend – serait la victoire des anti-wokes, la victoire des anti-féministes, la victoire des anti-écolos, la victoire des anti-mélenchonistes, la victoire des anti-macronistes, la victoire des gens lucides qui ne supportent plus les simagrées, les faux semblants, les mensonges grossiers des politiciens de toutes races, de tous sexes et de toutes religions, la victoire des anti-immigrationnistes. Et je dis et fort que ce serait aussi ma victoire, une victoire qui me réconforterait dans mes idées, dans mes opinions et dans mes convictions. Le socialiste orphelin et dégouté que je suis pourrait enfin changer de camp sans laisser derrière lui les traces de ses stupides nostalgies. Si cela s’avère, ce sera une victoire héroïque. Attaqué et vilipendé de toutes parts, seul contre tous, Donald aura pourfendu les vermisseaux et comme tout ce qui se passe outre atlantique arrive obligatoirement sur notre sol, un soupçon d’espoir pourrait se dessiner assez rapidement. S’il tient parole, l’Amérique pourrait devenir une forteresse invincible pendant que la France continuera à se déshabiller au gré des vents et des marées et s’esclavagiser sous le joug des sauvages étrangers venus des pays où l’homme promène bobonne en laisse. Un espoir renaît. Je suis optimiste ce matin. Ce n’est pas ma nature. Cela m’inquiète.   

mardi 5 novembre 2024

le puits au fond du jardin • rira bien qui rira le dernier…



 

Bof ! Rien de nouveau ce matin. La folie, le déni, la perversité, sont toujours les maitres du monde. On reste baba devant ces nourrissons qui, pendus aux tétons de leurs pondeuses, se plaisent à trancher les crânes avec des haches, se plaisent à violer les vieilles dames, se plaisent à flanquer des rafales de Kalachnikov dans les derrières des promeneurs inconscients, se plaisent à déroger à toutes les lois dans l’impunité la plus totale, se plaisent à massacrer les fondamentales de nos existences avant que mon puits, au fond de mon jardin, ne les précipite dans le noir de son fond pour y finir leur misérable vie. Quel que soit le point proche ou lointain où je fixe mon regard, je ne vois que le rouge de nos sangs dans le noir des tombeaux des masques mortuaires enfermés depuis l’éternelle éternité. D’où pourrait venir cette massue salvatrice qui s’abattrait sur nos crânes vides pour secouer cette inertie lymphatique qui a contaminé la race humaine ? Je ne vois pas. Je ne sais pas. Par contre, je sais que Freud EST la solution. Mais voilà ! On me rit au nez. Rira bien qui rira le dernier… a écrit le poète.     


lundi 4 novembre 2024

le puits au fond du jardin • deuil renouvelable…



 

Walter White est mort, hier à 18h43. C’est la cinquième fois, pour moi. Il avait une intelligence supérieure, mais était hors-la-loi. « J’ai aimé ça ! Je ne suis senti vivant ! » dira-t-il à Skyler, sa femme, en forme d’épitaphe. Les hommes ne sont pas ce qu’ils sont. Leurs comportements trompent le monde. C’est derrière les multiples façades que se déroule la vie, la vraie, celle que nous désirons ardemment. La perversité impitoyable de Walt et son opiniâtreté sans faille, font de ce mauvais garçon un héros glaçant, dégageant une humanité aussi pure que la meth qu’il façonne et qui fascine. Pourquoi ne cessons-nous de regarder l’éphémère et de l’injecter dans nos veines. C’est ce qu’il cache qui nous concerne. En suivant idiotement le système, nous fermons à double tour la porte des lumières. Pourquoi remettre en cause les fondamentales millénaires ? Serait-ce parce que nous sommes incapables de faire les différentiations ? Un homme est un homme, une femme est une femme, madame Coffin, madame Rousseau. Un noir est un noir, un blanc est un blanc, monsieur Bompart. L’islamisme et ses avatars sont des larves puantes qui sont en croisades contre nos civilisations, monsieur Mélenchon. Pour arrêter cette vague d’insanités, il est temps, et c’est urgent, de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher notre miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. L’équilibre du monde sera retrouvé et l’enfant au psychisme inachevé qui sert de roi à la France pourra enfin se retirer des jupes de sa maman toute ridée et qu’il a épousée et courir se faire soigner, en renonçant pour toujours à l’Élysée.      


dimanche 3 novembre 2024

vu à travers le tube • flots et larmes…

 

En fait, il y avait trois repris de justice dans la suite royale des lèches-cul partis trois jours se la couler douce sous le soleil du Maroc :  François-Marie Banier (abus de faiblesse), M’jid El Guerrab (violences volontaires) et Yassine Belattar (menaces de mort). Il y avait aussi celui que la justice a oublié volontairement : Jacques Lang (pédophilie). Il y avait aussi beaucoup de mémés abondamment ridées. Peu importe le protocole et la tradition. Saouler durant trois jours les français avec ces verrues cancéreuses tout en leur disant qu’ils allaient devoir se sacrifier pour rembourser la dette de la France dont ils sont totalement étranger, c’est d’une étrange perversité qui n’étonne personne au regard de l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi au pays. Dans ce monde dit moderne qui ne cesse de progresser en marchant en arrière, l’information est devenue le plus grand des dangers. Elle dévoile le dessous des rouages de la machine. Elle dévoile l’indécence des paroles et des images. Elle dévoile notre image, celle de petits cons minables qui ne sont que des riens. Le seul coupable est le peuple. C’est lui qui désigne ses dirigeants, ceux qui l’humilient et le détruisent dès qu’ils ont une once de pouvoir. À Milan, les islamistes ont envahi la célèbre cathédrale du Dôme. En France, on tue à tout-va et ceux qui tiennent la lame sont des enfants de 12, 13 et 14 ans. Islam, drogue, Mélenchon, sont un tout. Ce sont vos futurs maîtres absolus et c’est pour très bientôt. L’Espagne meurt sous les flots. Vous, vous allez mourir sous vos larmes.   

samedi 2 novembre 2024

vu à travers le tube • le noir en lumière…

Après toutes les simagrées féministes-wokistes chatouilleuses vues sur la scène du Palais des Festivals à Cannes, on y a retrouvé, hier soir, au même endroit, le pitre pire chanteur de misérabilismes, un certain Slimane sous le coup d’une plainte pour harcèlement sexuel sur un(e) homme, à qui on a décerné un(e) NRJ Music Award. Il est entré dans la lumière des vides sidéraux alors que MeToo et sa bande crétines dégénérées plus Rousseau – l’autre – plus Coffin, étaient toutes à ce moment glorieux, enfermées à double tours dans les WC, le cul vissé sur la lunette pour éviter de voir et réagir selon la loi implacable de leur secte. Scandales pour les uns. Cécité chronique pour les autres.

 

L’Intelligence Artificielle étend ses ailes et rogne l’espace pour se faire une place, la première, pour prendre le pouvoir et replacer l’homme dans sa réalité occultée qu’est la dépossession progressive de sa propre intelligence. Plus l’I.A. prend de l’importance, plus l’intelligence humaine s’efface et se soumet. Les robots partent en croisade, comme jadis, les Louis et aujourd’hui l’islam. Après avoir colonisé et décolonisé en partie, c’est au tour de l’Europe de se soumettre à ses nouveaux maîtres du Maghreb et de l’Afrique, et je ne crois pas que leurs habitants vont vraiment en rire. À force d’élire des pantins découpés dans du papier WC, il serait étonnant que ce soit une surprise. Bon courage les amis. Moi, je pars pour mon autre vie.

vendredi 1 novembre 2024

vu à travers le tube • au théâtre ce soir…

Le Théâtre de l’Assemblée ne cesse de programmer les pièces à la mode du jour que même Sade, Caligula ou Borgia auraient désavouées. Elles prennent le contrepied de Molière, Racine et Feydeau, en faisant surgir au milieu des acteurs pantins, la folie monstrueuse et sanguinaire que l’homme tente de contenir en vain. Dans quelques jours, c'est avec un Opinel et une Kalachnikov que ces comédiens ratés vont venir sur scène et le sang va couler jusque dans la Seine. Mais, bordel de bordel, comment avez-vous pu voter pour cette merde ? Pourquoi le chiot-député Portes n’est-il pas en état d’arrestation et promis aux supplices des questions si chères à nos cathos ? Comment voulez-vous que la France se relève si la Justice ne sort pas de son trou ? La déchéance de l’enfant handicapé et la fin piteuse de la macronie vont laisser un goût amer qui risque bien de perdurer jusqu’à l’arrivée d’une main de fer, une dictature Kim Jong-un puissance dix, qui va enfin rétablir le bon sens et mettre tout le monde d’accord. Je suis de la génération qui ne connaîtra pas ce moment de félicité et cela me fait beaucoup de peine.    

jeudi 31 octobre 2024

le puits au fond du jardin • dans le noir du fond de mon puits

 


 

Au Maroc, à la cour royale, ils ont pu admirer le défilé de mode des vieilles peaux, assaisonné par un terroriste islamiste, un pédophile, un vieux crouton télé, et plein de bonnes choses grâce à la constance d’une France pieds nickelés. Et pendant ce temps, ce qui reste des soutiens à l’enfant, vote, à l’Assemblée, contre le marmot brisé. Les guerres de religions, les guerres des éléments, les guerres des idées, sont aux portes de nos frontières supposées, et le monde responsable se vautre dans son délire et son déni dont il n’a même pas conscience. L’avenir est dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin où grouillent les entités pestiférées qui ont violenté les z’inhumains.     

mercredi 30 octobre 2024

le puits au fond du jardin • les virginités de l’olympe…


 

 

L’inspiration ne vient pas ce matin. Il y a trop de sujets, trop de honte. De Macron-Belattar à la classe maternelle du Palais Bourbon, en passant par Slimane débusqué, Zoé menottée, Praud orphelin, l’Éducation nationale contaminée, Bardella censuré, Hollande à l’Élysée, les terroristes islamiques encensés par l’enfant handicapé, les rivières déchainées, les lâchetés triomphantes, l’affaissement du savoir, le triomphe de l’ignorance, et bien d’autres restes, je ne sais plus où donner de la tête. Plutôt que de me répéter et d’encore et encore invoquer Freud, je vais courir chez mon Leclerc, prendre mon café, non sans avoir salué ma voisine de palier, et aussi m’acheter une boite de thon à l’huile vierge pour me rappeler que l’Olympe, il y a très longtemps, abritait des virginités.

mardi 29 octobre 2024

le puits au fond du jardin • saxhorn et euphonium…

 



 

Dois-je encore écrire sur les abominations de l’enfant handicapé que vous avez mis au pouvoir ? Hier, il est parti se balader au Maroc, pour trois jours – avec tout un régiment de verrues et de souches de champignons dont le terroriste Bellatar, main dans la main avec maman, ceci, grâce à votre compte en banque qui n’en demandait pas tant.  Vous vous faites humilier toutes les demi-heures et vous ne sortez pas de votre léthargie, d’autant qu’à l’Assemblée les enfants des crèches abandonnées se chipotent pour savoir qui sera le premier à mettre son pouce dans le pot de confiture. Le désastre est complet parce que l’homme a disparu sous les tsunamis de son ignorance. Avant de tout reconstruire, si cela en vaut la peine, c’est l’homme qu’il faut réinventer en disséquant les morceaux de son psychisme, disséminés sur les pavés couverts de détritus. Il ne peut y avoir que Freud pour solution, Freud dont chaque individu devrait pousser la porte de son cabinet pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser. Les démocraties – toujours pas inventées – sont un échec cuisant. Elles permettent aux minorités criminelles d’avoir tous pouvoirs sur les majorités anesthésiées par les convenances puériles. Freud ou rien. Vous avez choisi rien. Tant pis. C’est votre problème. Pour ma part, avant de travailler ma gamme de fa modale sur mon saxhorn baryton en si bémol et à quatre pistons, je vais mettre mon pantalon et courir prendre mon café chez mon Leclerc, non sans être passé chez ma voisine de palier pour la saluer.

 

PS : Je vais bientôt substituer à mon saxhorn, un euphonium en si bémol et aussi à quatre pistons.   

lundi 28 octobre 2024

le puits au fond du jardin • dans le noir du fond de mon puits…


 


 

Cette époque de renoncements et de trahisons ne peut durer éternellement. Les français s’enlisent dans les sables mouvants sous l’œil narquois de ceux qu’ils ont élus, ignorant que les urnes sont des pièges à cons. L’Assemblée, terrifiant terrain de joutes verbales, n’est plus qu’un ramassis de nains psychopathes qui idolâtrent les égorgeurs et héroïsent les monstres à quatre pattes. Et pendant ce temps, le roi des psychopathes, l’enfant au psychisme inabouti, s’offre un somptueux voyage au Maroc pour y visiter son Roi en se faisant accompagner de 120 impersonnalités, ce qui fait 121 personnes plus maman et le chien, soit 123 inutilités qui vont séjourner aux frais de votre porte-monnaie et du mien. De qui se moque-t-on ? De vous et de moi, bien évidement. Et vous et moi regardons et pestons sans même songer à révoquer tout ce monde pitoyable et le jeter dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin où croupissent les lâches. Les mondes perdus ne réapparaitront pas. Et si nous avons conscience que nous sommes les seuls coupables – l’acceptation des confusions – nous n’avons plus qu’à nous jeter dans le trou du fond de mon jardin. Dans mon puits, il y reste encore quelques places… dans le noir du feu.