Quoi qu’on en pense et quoi qu’on en dise l’enfant au psychisme inachevé, psychisme qui s’est bloqué au cours de son séjour en maternelle au moment où il eut à choisir entre deux mamans, l’enfant qui sert de roi à la France, a la cote auprès du peuple des crapauds et des grenouilles français. Son intervention-minute d’hier soir à la télé, aurait dû déclencher les foudres des citoyens qui auraient dû spontanément marcher sur l’Élysée et brûler l’édifice et le lieu avec tous ses pantins. La France, dans le gouffre, mieux, dans le noir du fond de mon puits aux fond de mon jardin ou croupissent les âmes maléfiques de ceux qui ont vécus dans la confusion, serait donc dans cette situation par la faute de ceux qui ne votent pas comme le veut la convenance en macronie ? Par la faute de ceux qui rejettent l’orgueil, la perversité, le déni et les caprices du petit Emmanuel ? Par la faute de Marine Le Pen et de ses amis à qui personne n’a jamais demandé son avis ? Par la faute de la majorité des français qui survivent dans la douleur, alors que le marmot se pavane dans les cours royales avec maman en se prenant pour Louis XIV ou Napoléon ? Ça suffit ! L’individu doit partir. La Ve République doit être dissoute. La raison doit reprendre ses droits. Mais avant de reconstruire, il faut faire place nette et pour cela, chacun des citoyens, du plus petit au plus grand, du plus pauvre au plus riche, du plus fainéant au plus courageux, du plus laid au plus beau, du plus con au plus subtil, doit se remettre en question en poussant la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. L’homme vérifié et réparé pourra ainsi construire une nouvelle société où la lumière aura eu raison des zones d’ombre et de l’arbre qui cache la forêt.