mardi 28 octobre 2025

le puits au fond du jardin • entre deux rives…


 


 

La rumeur enfle que si on la nourrit. B. Macron a mis le pied dans l’engrenage. Si les prévenus sont condamnés, cela n’arrêtera pas la fake-news surtout que personne ne saura jamais si elle est née femme ou homme. La vérité n’est pas de ce monde. Elle ne l’a jamais été. Les réseaux sociaux ne cessent d’être attaqués. Ils sont pourtant l’expression de ceux à qui on interdit la parole. Souvent, ce sont eux qui dénoncent les inégalités, les mensonges des radios et télés publiques, les détournements des politiques, les divagations du président de la République, les conditions de vie de la majorité de la population. Tout est représentation. C’est pourquoi personne ne peut savoir ce qui est vrai, ce qui est faux, ce qui est bien, ce qui est mal, ce qui existe, ce qui n’est pas. Je suis. Vous n’êtes pas. Vous n’êtes que l’image de la représentation que mon psychisme fait de vous. C’est tout.  Quant à moi, suis-je ou ne suis-je pas ? Cela restera le seul mystère de ma vie.

vu à travers le tube • une autre époque…

L’Italie et l’Argentine en plein essor. La France grouille dans les cimetières des ignorants pédants. Qui va mettre fin au cirque terrifiant des gens de l’hémicycle ? Un et une présidents de séance terrifiants d’incapacité dont les comportements sont dictés par le fonctionnaire de derrière qui connait le métier et qui aurait pu avantageusement présider. Des acteurs figurants improvisateurs qui miment maladroitement et presque toujours honteusement les acteurs qui ont servi magistralement Molière et Shakespeare, sans jamais parvenir à jouer la même pièce de théâtre. Hier, Cyrano invectivait Iphigénie et Desdémone pulvérisait Rodrigue. Personne n’est sur le même fil et la réplique est impossible. Et pourtant, ces puants manipulateurs manient les millions et les milliards à leur aise et infligent à ceux qui ont eu le malheur de naître sur ce territoire broussailleux, marécageux et piège à cons, les pires des souffrances en leur volant brutalement les deux ou trois écus qu’ils cachaient sous leur matelas depuis plusieurs générations. Ici, dans la salle mythique, le vote est aussi farfelu qu’à l’extérieur. Soit, on lève les mains et le président compte les oui et les non à la louche en deux secondes et une demie, soit, il prononce « le scrutin est ouvert, le scrutin est fermé » dans un même souffle, alors que les votants sont encore à la buvette. C’est en ces pitoyables mains que le sort de votre vie se joue. Et vous, vous encombrez les autoroutes et les trains qui ne circulent pas, pour vous casser des jambes et des bras sur des planches que vous êtes incapables de maitriser alors que Macron et ses bandes et ses oppositions préparent votre bucher. Et pour cette infamie vous dépensez l’argent que vous n’avez pas. Ils sont fous ceux du dessus, mais vous aussi. Moi, trop âgé pour glisser sur des planches ou pour m’incruster dans des wagons à bestiaux, j’attends la mort, bien au chaud, le cul vissé dans mon canapé et je reregarde et réécoute, Fiordiligi, Dorabella, Despina, Guglielmo, Ferrando, Don Alfonso, chanter une merveille de Mozart sous la direction du vieux maitre Zubin Mehta, cloué sur sa chaise, de son corps ne restant plus que ses bras. C’était une autre époque. La mienne. Je n’arrive pas à mesurer l’immensité grandiose de la chance qui m'a été donnée.

 

lundi 27 octobre 2025

le puits au fond du jardin • flamme…

 



 

En Argentine, la gauche l’a eu dans le baba. D’autres diraient « dans le cul ». La seule question est de savoir pourquoi les Argentins sont-ils plus intelligents que nous, eux qui n’ont pas connu le roi Soleil ni l’empereur à la main dans le veston, et qui ne connaissent pas l’horreur d’avoir pour protecteur une petite vermine et sa maman concubine, épousée. Chez nous, la gauche tient le pouvoir par le nez pour ne pas dire par la partie rondelette, parfois boursoufflée. Le moindre faux pas du cornu et c’est foutu, l’Assemblée vole en éclat où alors le gouvernement fait place au suivant comme à son habitude, ou alors, encore, le monarque à terre se balance dans la Seine pendant qu’Hidalgo prend son bain contre les berges. Cette dernière solution est probablement la plus efficace puisqu’elle débarrasserait la France d’un tas de grabats qui empêche la circulation depuis huit ans. Mais rien de tout cela se passera, parce que le français n’est pas un monument de courage, contrairement à Richard Wagner qui a mis vingt ans pour construire son « Ring » qui conte la création de la vie, son apogée et son déclin, jusqu’au crépuscule des dieux et des hommes et son après plus rien. Détournez votre regard sur ces touts que vous ne voyez pas et tentez de fixer le petit bout de flamme qui s’agite et désigne, sortant du corps du petit enfant mort, tout près du poteau électrique maléfique qui porte vos centres nerveux torturés par l’inconscient qui vous habite et que vous devriez dissoudre en traversant le miroir si vous aviez poussé la porte du cabinet de Freud. Hélas, nous n’en sommes pas là. Rien ne semble vouloir perturber ce monde immobile qui stagne sur les eux croupies des étangs que la nuit efface du tableau.

dimanche 26 octobre 2025

le puits au fond du jardin • une méchante caricature de la famille addams sur les bancs de l’assemblée…

 


 

On ne joue plus à la belote, aux dames ou aux petits chevaux. On ne joue plus qu’à la course à la médiocrité, à la course aux mensonges, à la course au déni, à la course à la perversité. Et nos enfants députés jouent – quand on les autorise à sortir de leur berceau – à la déconstruction de leur jeu de construction que leurs parents avaient patiemment érigé pièce par pièce. Le jeu de dupe finira par jeu de massacre, mais au moins, ils auront joué et brisé le peuple déjà à terre depuis longtemps. Et, au XXIe siècle, il y a encore des décérébrés qui vont voter pour se faire lyncher, humilier et dépouiller. Le masochisme a encore de longs jours devant lui. Puisque personne ne veut voir et entendre, puisque personne ne veut de Freud et de sa thérapie psychanalytique, seule solution au cancer de l’humanité, il ne reste que le retour à la dictature d’Ivan le Terrible où chacun sera ficelé comme un saucisson de Lyon, aux ordres de Maitre Charcutier qui le découpera en rondelles ou en petits carrés. Il est là le destin de l’homme qui n’aura jamais su que la vie n’est que pensées sorties d’un inconscient maléfique qui aurait pu être maitrisé par le conscient psychique que l’homme ignorant n’a jamais voulu explorer. L’être humain est la verrue de l’humanité, c’est pourquoi il faut vite s’en débarrasser pour faire place nette aux herbes vertes et aux roses des prés. Je rêve de mon retour dans les déserts d’Albuquerque où n’existe que le lever et le coucher du soleil sans madame de Pompadour, et où les espaces infinis déploient majestueusement la grandeur et la beauté de l’univers qui n’a que mépris pour ces petits trucs idiots qui déambulent sur la terre, incapables de voir leur ignoble stupide stupidité.

samedi 25 octobre 2025

vu à travers le tube • les scélérats…

 

Je pourrais consacrer ce tube au spectacle désolant donné par les piteux comédiens – pires que Dujardin – de l’Assemblée, qui vont hurler des insanités pendant des semaines – sauf si le couperet tombe dans les heures qui viennent – en oubliant que la salle est pleine et que les spectateurs ont payé pour voir et entendre le bruit des rayons du soleil qui se lèvent derrière des collines lointaines des déserts d’Albuquerque où pleins de trous rebouchés gardent en secret les cadavres des gens ordinaires qui ont tenté de franchir les périmètres qu’on leur avait attribués. Non. Je vais plutôt évoquer ce scandale d’État qui projette le contrôle sanitaire permanent de la population et l’interdiction aux générations vieillissantes de conduire leur automobile. La suppression du permis à vie est un nouveau moyen de contrôle pour asservir le contribuable et se débarrasser de tous ceux qui ont donné et qui, maintenant, coutent et ne rapportent rien. Le danger sur la route, ce sont les jeunes – de 12 (12) à 55 ans – qui gesticulent dangereusement et les poids lourds qui encombrent les autoroutes en ignorants ceux qui les entourent. Le danger, c’est la surpopulation sur les routes, les transports en commun étant insuffisant, désorganisés et un véritable coupe-gorge, pour être utilisés. Le projet scélérat semble ignorer qu’une bonne part – non négligeable – conduisent sans permis. Devant tant d’inepties, je ne vais pas me casser la tête. Avec ou sans permis, je vais continuer à fendre le vent des autoroutes au volant de ma vieille Bugatti à essence jusqu’à ce que je perde la tête au détour d’une ombre vagabonde. J’espère qu’on ne la retrouvera pas vissée sur le corps de Ruth Davenport, le Major Briggs m’en voudrait un peu.

vendredi 24 octobre 2025

vu à travers le tube • lola…

Lola : les psychiatres de service jurent les grands dieux que la tortionnaire meurtrière de l’enfant ne présente AUCUN signe de défaillance psychique et qu’elle est parfaitement saine d’esprit. Où la Justice est-elle donc allée chercher ces monstres d’incompétence ? Tout d’abord, un des plus intelligents psychanalystes de ce monde, à la retraite aujourd’hui, enseignait à ses élèves que la terre n’est peuplée que de psychopathe et il avait tout à fait raison. Ensuite, l’accusée présente – c’est d’une évidente évidence – tous des signes d’une psychopathe folle à lier, au dernier degré. C’est une grande malade irrécupérable, dangereuse pour la société qui se doit, de toute évidence, l’enfermer à double tour jusqu’à la fin de ses pitoyables jours et on aurait dû – on aurait pu – éviter les frais et les traumatismes d’un procès en la scellant dans un caveau tout noir et en laissant la nature faire son devoir. Cela est arrivé à Aida et Radamès, deux innocents, coupables de s’aimer. La psychiatrie n’explore pas l’inconscient. Elle constate les délires et donne des médicaments. La psychanalyse analyse, d’où son nom, soigne, soulage, nettoie, régénère, actionne la conscience, transforme les vies mortes en vies vivantes et permet le passage du stade enfant au stade adulte responsable. Cela dit, il est évident que la chose infâme doit payer et payer le prix fort. En d’autre temps, cela aurait été la peine de mort. Mais Badinter est passé par là. Il ne reste alors qu’à écraser le monstre pour que plus jamais il apparaisse et ne pas oublier la culpabilité de l’enfant psychopathe et pervers de l’Élysée, qui laisse vaquer librement sur notre sol les dangereux OQTF. Quelles sanctions pour celui-là ?  

 

jeudi 23 octobre 2025

vu à travers le tube • déchéance…

 

La seule nouvelle révolutionnaire et explosive du jour, c’est la candidature de Tondelier, la psycho-écolo, au trône du roi Soleil. Après l’enfant psychopathe qui vit sous les jupes de sa maman épousée, nous aurions une tsarine juvénile à la langue branchée sur les délires insensés des pensées brisées par les courants destructeurs des gauches successives, dont reste encore, sur les bans de l’hémicycle, la statue brisée d’un Hollande discrédité et détesté. Ma conviction est que cette chose – Tondelier – pourrait bien obtenir quelques voix parsemées, ce qui est déjà une putréfiante infamie.

 

Le gloubi-boulga dans lequel sont plongés les détraqués qui nous gouvernent, laisse sortir des décisions qui ne viendraient même pas à l’idée de Kim Jong-un. Le clone du monarque veut régler la dette – 4 000 milliards de milliards de milliards -, en ponctionnant les retraités. L’ignoble et scandaleuse (IN)Justice française a placé un innocent dans l’Hôtel 5 étoiles de la Santé où les pires des pires criminelles sont assignés avec portables, wifi, télés, whisky, femmes de chambre et prostituées à volonté. Nicolas Sarkozy n’a rien de tout cela, mais il est beaucoup plus riche. Il lit le roman de la vie d’Edmond Dantès, un des chefs-d’œuvre d’Alexandre Dumas. Je ne suis pas sûr qu’il ait le temps d’aller jusqu’à la page 327, il sera égorgé bien avant. Une fois de plus, les gauches auront assassiné, ce qui ne les empêchera pas de continuer à faire la pluie et le beau temps.

 

France pisteuse. France lâche. France ignorante. France déchue.

mardi 21 octobre 2025

vu à travers le tube • san couilles...

 

Après Louis XVI et Pétain, l’(in)Justice française envoie son ex-président en prison, bien qu’il soit présumé innocent, mieux, innocent puisqu’aucune charge n’a pu être décelée contre lui.  L’(in)Justice française, c’est la justice de gauche gangrénée par des magistrats, des juges et des trucs-machins qui ont le pouvoir absolu sur les politiques gangrénés par les intérêts personnels venus de tous les horizons qui gangrènent leur psychisme déjà fêlé avant d’entrer dans le l’arène du cirque des représentations. Le fils de ma bouchère a violé sa mémé et tous les matins il siphonne sa poudre blanche sous mes fenêtres avec son pote du quartier qui vient de cambrioler le supermarché Casino. Tous deux ont fait un passage éclair derrière les barreaux, 2 mois pour le premier, 15 jours pour le second, en raison de solides circonstances atténuantes : papa buvait du vin avant de battre maman et le chien. La France pleure ce matin, pleure un tel scandale et pleure d’avoir un président-enfant au psychisme inachevé qui a permis cela, en laissant le pays s’enfoncer dans les vagues des océans. Et les ignobles y vont de leurs couplets indécents – France Inter et Infos – en insultant l’homme innocent. Encore et encore la gauche puante. Et pendant ce temps, d’autres gens que vous et moi, ajoutent des dettes à la dette et inventent de nouveaux impôts pour rembourser ce qui ne le sera jamais. Ces autres gens – ceux que vous avez élus – vous cambriolent sans cesse et vous ne cessez de les reconduire sur leurs sièges indéboulonnables sans que vous bougiez le sourcil. Mon âge m’autorise à dire que je vais bientôt mourir et je suis triste de voir que j’aurai fini mes jours dans un monde sans couilles. SANS COUILLES vous dis-je !  

lundi 20 octobre 2025

le puits au fond du jardin • lever du rideau et clap de fin…


 


 

Les Boliviens ont viré les gauchiasses. De plus en plus, les pays ouvrent les yeux et s’en débarrassent. Il n’y a bientôt plus que nous qui gardons Hollande et Panot bien au chaud, collés l’un dans l’autre dans leurs crasses. Il y a aussi que nous qui laissons notre musée – le plus beau du monde, dit-on – fenêtres ouvertes le dimanche. Où l’on voit qu’un scooter à essence est plus efficace qu’une automobile à électricité. Morale de la fable : les reines ont perdu leur collier alors que la France ne cesse de perdre sa virginité. Le roi est déchu comme Ubu même s’il a quand même osé Xer – twitter – qu’il allait retrouver les coupables et les châtier sur la place publique et les faire crier de hurlements pour le mal qu’il ont fait à la représentation de l’image de l’image des temps anciens où les rois se succédaient à Versailles sans s’occuper des socialos, des écolos et même aussi des LFIstes islamistes, ces races puantes qui dès ce matin entrent en scène avec tout l’éventail de l’hémicycle sur la piste du cirque Zapatate pour s’écharper, s’insulter, se conspuer, dans un spectacle tragico-comique où coule le sang grenadine de gogos et gogosses fadasses et éviscérés, dont la pièce n’a pas de titre. Le spectacle sera télévisé jusqu’au 23 décembre de cette année, et le tout se terminera par une chute vertigineuse de tout ce beau monde dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Mais ce beau monde ne sais pas que le noir du fond de mon puits n’a pas de fond. Il n’aurait jamais dû ignorer l’ignorance.

dimanche 19 octobre 2025

le puits au fond du jardin • impuissance humaine…

Alfred Hitchcock, Psychose (1960)


 

Là-bas, de l’autre côté de l’Atlantique, ils sont tout aussi tarés. Des milliers selon, des millions selon d’autres, sont dans la rue pour contester la dictature de leur roi que la France aimerait tant récupérer. Ils ont la chance d’avoir pour maitre un homme avec des couilles, contrairement au Français qui ont un truc mal embouché, inabouti et sans sexe qui caresse les corps et porte à son bras une vieille verrue toute ridée. De quoi se plaignent-ils les cowboys fanés issus des représentations sur écrans géants des images de John Ford ? Connaissent-ils le pays où l’on y trouve une Démocratie ? Tous les peuples sont soumis à ceux qu’ils ont élus où à ceux qui prennent le pouvoir pour satisfaire leurs pulsions morbides et leurs désirs incestueux. La Démocratie n’a jamais existé et n’existera jamais, l’homme ayant le besoin viscéral d’un chef suprême dictatorial afin de se laisser guider. Regarder l’homme des cavernes. Il avait tellement peur du tonnerre et des éclairs qu’il s’est inventé des dieux autoritaires qui faisaient d’eux tout ce qu’ils voulaient. C’est ainsi que Wotan, le dieu des dieux, a provoqué la chute des siens et la chute des hommes dans son sublime « Ring ». Depuis Adam, sa pomme et son Eve, aucune société n’a fonctionné, parce que l’homme individu solitaire, ne fonctionne pas, lui non plus. Pour accéder à la liberté qu’exige la Démocratie, il faut que l’homme entretienne son psychisme comme il entretient son automobile. Il doit aller régulièrement au garage pour améliorer son fonctionnement. Et pour lui, ce n’est ni chez Citroën ou chez Peugeot, mais chez Freud, dans son cabinet, pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. S’il ne le fait pas, il finira en vieux tas de ferrailles à la casse et sera compressé comme une boite à sardine pour finir en statue de métal dans un musée californien. Au lieu de tourner le regard et de fustiger ceux qu’il met au pouvoir, l’homme ne ferait-il pas mieux de se regarder dans son miroir et de chercher ce qui ne va pas ?

 

Hier soir, sur TCM Cinéma, « Psychose » d’Alfred Hitchcock. Le maitre de la psychanalyse freudienne a encore donné un cours magistral. Après lui, il ne reste que David Lynch (Blue Velvet, Mulholland Drive, Inland Empire, Twin Peaks)  et Vince Gilligan (Breaking Bad, Better call Saul)).

 

samedi 18 octobre 2025

vu à travers le tube • popeye et olive...

J’en ai encore entendu un, dans le poste ce matin, qui affirmait que Poutine était un grand malade qui voulait s’approprier tous les pays de la terre et même la petite Corse de Napoléon, l’empereur à la main figée et soudée dans le veston. Et si ce petit con regardait du côté de l’Élysée, où est parachuté un déséquilibré mental, un psychopathe incontestable, un lâche qui ne cesse de bomber son torse imberbe, un Popeye et sa boite d’épinards, au côté de son Olive mère et épousée qui le couve et le cache des foules des méchants qui veulent du mal à son petit rejeton inachevé, il comprendrait que le plus malade des deux n’est pas celui qu’on pense. Ce matin la note AAA a encore été baissé. Après les murs, les fondements se brisent. La maison est un champ de ruine et l’enfant a posé son trône sur les grabats en chantant sur l’air de Pierrot : « Je suis le Roi, Moi et moi, Moi et mon petit pois ! » Triste spectacle de désolation que contemple un peuple inerte qui ne veut toujours pas le prendre par la peau des fesses et le jeter dans les piscines des eaux usées d’Hidalgo.

 

vendredi 17 octobre 2025

vu à travers le tube • un monstre…

Dahbia Benkired – retenez bien ce nem – algérienne de 24 ans au moment des faits, interdire de séjour en France puisque sous OQTF, a violé, torturé et tué Lola, 12 ans, il y a 3 ans. Le procès de la criminelle s’ouvre aujourd’hui. Une de ses avocates socialo-LFIste a déclaré ce matin, sur une radio publique qui existe grâce à vos impôts, qu’il n’était pas question d’aborder la situation d’OQTF de l’accusée, parce que ceci n’avait rien à voir avec le crime et que ce sujet était l’occasion de déclencher la boite à récupération politique, pointant du doigt le RN, Cnews, Europe 1, le Figaro, etc… Et pourtant, c’est bien de cela qu’il s’agit. La femme, qui trainait déjà pas mal de casseroles, n’aurait pas dû être là. La lâcheté du pouvoir de l’enfant psychopathe de l’Élysée doit être mise en accusation. Quant à la femme, son déséquilibre notoire relevant de la psychiatrie à défaut de la thérapie de Freud, les Français au nom de qui le tribunal juge et puni, doivent être sans pitié et l’envoyer sans discussions préalables au cachot noir, nue et enchaînée, jusqu’à ce que mort s'ensuive, le plus tôt possible pour éviter d’avoir à payer trop longtemps sa tranche de pain sec et son verre d’eau quotidien. La monstruosité de l’acte oblige a qualifié le personnage de monstre irrécupérable, et comme Badinter est passé par là, je ne vois pas d’autre châtiment pour remplacer la peine suprême dont les grands François 1E, Henri IV, Louis XIV et Napoléon, usaient fréquemment et sans états d’âme.

 

Avez-vous remarqué que Philippe, un ancien Premier ministre, demande, avec beaucoup d’insistance, la révocation définitive de son ancien patron ? Il semblerait que cette demande satisfasse l’ensemble de la population. Moi aussi.    

 

jeudi 16 octobre 2025

le puits au fond du jardin (bis) • le noir du fond de mon puits…

 



 

Pourquoi accepte-t-on de vivre dans le spectre du mensonge universel ? Tous – tous – mentent et trahissent. Tous – tous – enculent le peuple qui confond douleur et plaisir. Politiques, journalistes, commentateurs, chroniqueurs, observateurs, diffusent leurs ignorances et leurs incompétences qui bien davantage que les aléas de la température de la terre, température qui ne dépend que du trou dans lequel on plonge le thermomètre, propulsent les foules naïves dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, où grouillent les misérables humains qui ne servent absolument à rien. L’homme n’est pas deux bras, deux jambes, deux oreilles, deux yeux, un nez, une langue, un vagin, un pénis. L’homme est d’abord et avant tout un psychisme qui chaque matin doit être réglé par un spécialiste, un spécialiste spécialisé dans les inconscients analysés par Sigmund Freud. Et puisque cela ne parait pas possible en raison de l’ignorance crasse de tout le monde, laissez les poissons, les gazelles, les chênes, les ruisseaux, vivre sous le soleil et disparaissez de cette terre que vous ne cessez de mépriser.   

le puits au fond du jardin • le retour à la maison…

 



 

Quand un président envoie un hélicoptère, en Corse, pour déboulonner une statue de la vierge qui sommeillait au bout d’un chemin depuis plus de 2000 ans, quand un président envoie ses militaires pour exfiltrer le dictateur de Madagascar alors qu’il meurt de trouille en pensant mettre les pieds sur le sol algérien pour libérer Boualem Sansal, quand un président remet son pays entre les mains des rampants fadasses invisibles Hollande/Lecornu, quand un président dépouille les malades et les vieillards pour assurer ses fins de mois dans le luxe du pouvoir, on comprend que la France ne soit plus qu’un vaste champ de ruine. Et si j’ajoute les successions de trahisons et reniements de toutes parts, comme la vielle perverse Borne qui jette son bébé dans l’eau de vaisselle, Wauquiez qui cède aux sirènes prostituées des socialos, Rotailleau qui n’appelle pas à la censure du gouvernement voyou, je pense que vous comprenez que rien ne peut être sauver dans le tragique parcours fracassé dans lequel nous nous sommes enfermés. Il faut recomposer, redessiner, reformater l’homme pour lui redonner son aspect originel, celui qui était en vogue quand il croquait la pomme et se promenait, le dimanche, en tirant bobonne par les cheveux. Le retour à la maison est indispensable, mieux, vital. Pour cela, il est indispensable de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher votre miroir, pour le trouver, pour vous y regarder, pour vous y reconnaitre et pour le traverser. Indispensable ai-je dis ? Oui, indispensable !    

mercredi 15 octobre 2025

vu à travers le tube • érection...

 

Aucun mot ne peut qualifier l’insoutenable et insalubre séance à l’Assemblée, infligée au naïf peuple de France qui a assisté, dans l’indifférence, à la prise du pouvoir absolu des socialos salauds, à l’écroulement, dans la pire des lâchetés, du parti Les Républicains, à la trahison de la Ve République et de son père,  et à l’éjaculation spectaculaire du renégat pourri Hollande qui a magistralement trompé Julie.  Si le spectacle d’hier après-midi est la Démocratie, je lui préfère de loin les dictatures des Louis et de François, et même celle d’Yvan le terrible qui, eux, annonçaient la couleur. Pour le sortir de sa torpeur, le peuple a besoin d’un magistral coup de pied au cul qui le propulse sur une autre planète, sans espoir de retour, la planète terre étant contaminée à un tel point que plus jamais personne ne pourra y poser le pied. Non seulement le voyou psychopathe de l’Élysée est la risée du monde entier, mais de plus il trahit en permanence et sans se cacher. Sa pièce maitresse et unique, en huit ans de mandat, vient d’être défaite par deux ou trois petits cons qui n’ont pas dépassé les 2% aux dernières élections. Plus personne ne comprend. La schizophrénie s’est emparée des Français de toutes couches et seul un héros invincible surgit de je ne sais où – de la fusion de jumeaux ou du ventre d’un cygne, peut-être – pourrait peut-être régler le problème en brandissant et menaçant de son glaive tous dissidents. Je commande, tu obéis, est la loi de la nature. Si nous en sommes là, c’est que nous l’avons oublié et que nous avons cru – toujours cette imperturbable naïveté – que la concertation et le compromis ont des points de résolutions. Avancer, c’est regarder au loin, devant et jamais sur les côtés. Les lignes ne sont pas faites pour être franchies. Toujours dans notre couloir sans dérivations possibles. Vivre est une discipline féroce. Y déroger, c’est fusionner avec la mort.