1600 verbalisations pour 2500 personnes après la rave-party près de Rennes. Il en manque 900. Une partie du matériel saisie. 2500 personnes qui débarquent sur un lieu qui n’est pas une place publique ainsi que des camions de matériels, ça ne passe pas inaperçu, surtout dans le contexte actuel où l’inconscient qui pointe son nez dehors à 20h01 - 18h01 pour certains - se voit ponctionner de 135 euros sur son compte en banque, quand ils y sont. Si la police faisait son travail, si les élus ne pensaient pas qu’à leur réélection, il n’y aurait jamais eu de rave-party et les journalistes auraient cherché d’autres sujets pour nous entuber encore et encore. De mon balcon qui donne sur la gare - passage obligé pour tous les habitants et tous les étrangers - je n’ai pas vu un uniforme - de jour comme de nuit - depuis bientôt un mois. La foule est masquée sauf quand elle ne l’est pas. Le stationnement payant ou gratuit selon l’humeur du maire n’inquiète plus personne. Plus personne ne sait où sont les machines à sous.
Deux militaires ont encore été tués au Mali. Peu importe, c’est leur métier. Ce qui me dérange c’est que l’un d’eux était une femme qui a préféré le risque de mourir à chaque instant pour servir la France dit-on - humour probablement - au lieu d’assurer son rôle de mère auprès de son enfant. Quand on s’engage à faire la guerre, on ne pond pas d’enfant.
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