Zelensky, un autre Roi, vers l’Est, croule sous les cadeaux qui affluent en continu. Or, argent et billets de banque, canons à boulets, missiles à mèches, chars à roues, fusils de chasse aux hirondelles, pistolets à eau du robinet et toute la panoplie du parfait militaire-général qui s’apprête à rayer la Russie de la carte du monde. Zelensky et ses alliés vont déclencher la guerre mondiale, la plus courte de l’histoire. Deux ou trois bombes atomiques… deux ou trois minutes. Après ? Le silence tant attendu et un astre de moins dans l’univers qui n’en a rien à faire. Poutine est coupable et les autres aussi. L’homme, contrairement à l’escargot, est censé penser, réfléchir, comparer, discerner, faire fonctionner sa pensée et son intelligence. Hélas, il n’a jamais compris que pour faire fonctionner ses avancées sur l’escargot et la laitue, il faut travailler et travailler d’arrache-pied. Il a toujours préféré s’en remettre aux Dieux et aux Rois. Il aurait dû, dès son arrivée sur la boule terrestre, pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaitre et le traverser. Aujourd’hui, il n’y aurait ni Poutine, ni Biden, ni Zelensky, ni les autres coquins.
Tout ça n’est pas grave. S’il a inventé la guerre, la violence, l’humiliation et le viol, l’homme a aussi inventé, Mbappé, Roland-Garros, Cannes, Instragram, Scènes de ménages, Hanouna, Salamé, Bachelot, Alagna, et tout ce qui y ressemble. De quoi se plaint-on ?
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