dimanche 29 janvier 2023

vu à travers le tube • mort…

Âge légal à la retraite, 64 ans affirme et répète Borne qui répète sur sa répétition que cet ordre n’est pas négociable. Réunir le Parlement ne sera donc - comme cela l’est depuis 1958 - qu’une représentation tout en vociférations rigolotes pour distraire les français, français qui sont incapables de démêler le vrai du faux parce qu’ils sont incapables de comprendre le lien entre leur conscient et leur inconscient. Pour eux, Borne a parlé alors que ce n’était que le Roi qui s’est glissé sous sa peau et qui s’est approprié son corps. Une ne lui suffit pas, c’est deux vieilles qu’il lui faut. La vérité : le Roi de France Micron II, adolescent au psychisme inabouti, a dit qu’il avait décidé que son peuple de merde devait travailler jusqu’à 64 ans. Point. Il n’a pas précisé les exceptions ni les nombreuses autres réformes qui interviendraient si la France n’était pas destinée à se disloquer prochainement sous les bombes déclenchées par les psychopathes qui gouvernent les mondes. Tous ! Les peules vont crever par leur faute parce que jamais l’être a su qu’il ne savait rien et que jamais il a été lui. Nous vivons un monde de fantômes où les vivants morts croisent et pénètrent les morts vivants, un monde où la pensée est absente et où le paraître triomphe de partout. Ne pas savoir ou ne pas vouloir pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaitre et le traverser est un crime, le crime le plus odieux que l’homme ait pu utiliser depuis l’aube des temps. C’est ce que j’écris tous les jours, en vain, et c’est ce que je continuerai d’écrire jusqu’à mon dernier souffle. J’aurai au moins servi à quelque chose. J’aurai écrit la tranche la plus importante de ma vie, celle qui m’a fait rencontrer Freud, celle qui m’a permis d’échanger avec lui des années durant et de créer le lien entre mon conscient et mon inconscient : naître véritablement. Quoi que je fasse, c’est en connaissance de cause que j’agis. C’est en connaissance de cause que j’écris tous les matins et c’est en connaissance de cause que j’affirme que les mondes ne sont gouvernés que par des trous du cul devant lesquels les peuples ne savent que baisser leur froc.

 

Et c’est en connaissance de cause que je vais vous laisser pour rendre visite à ma voisine de palier et la saluer avant d’aller prendre mon café chez Leclerc où je noterai les comportements des morts qui saluent des morts, alors qu’ils ne savent même pas qu’ils sont morts.


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