lundi 8 mai 2023

vu à travers le tube • l’autre…

Mélenchon - je vomis ce sale type comme je vomis TOUS les élus, de la gauche à la droite, du devant au derrière, du sol au plafond - n’a pas eu des mots très doux - la monstrueuse tarée Bachelot, aussi - avec la journée consacrée au long court-métrage : « Et Charles fut couronné comme le fut Bobonne ». Et selon les presses rampantes et léchantes, il a commis un crime de lèse-majesté que les français, qui veulent tous le retour de leur cher Louis XVI alors qu’ils ont déjà Micron II, ne sont pas prêts de lui pardonner. Et je me trouve tout penaud, les bras ballants, devant l’insulte que je m’inflige : être en concordance avec ces deux vermines. Moi aussi, je veux que l’on brûle les Rois vivants et morts ainsi que ceux qui courbent l’échine devant la secte des dictateurs en fonction et en puissance. Je veux que l’homme reste souverain de sa vie et la conduise comme il l’entend. Je veux que l’homme cesse d’obéir et soit en perpétuelle révolution en ne cessant de tout remettre en question. Tant qu’une marmite restera marmite, tant qu’un vermisseau restera vermisseau, la pensée restera figée. Pour inventer la Démocratie, il faut une imagination inventive et récurée de toutes ses pollutions. C’est pourquoi, seule la pénétration dans le monde secret et abyssal de la pensée de Freud où l’on peut y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser, a grâce à mes yeux. Être libre, tout en replaçant l’autre - l’illusion - dans le placard aux imaginations, est MA conception. Je suis parce que l’autre n’est pas. Et quand je serai mort, le mot « autre », sera rayé des Larousse et Robert.      

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