mardi 2 janvier 2024

le puits au fond du jardin • les lâches se renient…



 

Les signataires de la tribune en soutien à Depardieu se renient, se défilent et se flagellent à la queue-leu-leu. Voir le grand Jacques Weber qui déclare que sa signature était un autre viol. C’est quoi ce cirque ? Ils avaient oublié, dans leur plaidoyer – disent-ils -, de mentionner les pauvres victimes détruites à vie et qui réclame la découpe du cou de leur bourreau. Quelles victimes ? Celles qui ont déclaré l’être ou celles qui ont été réellement approchées, frôlées et peut-être violées ? Où sont les preuves de ce qui n’est, pour le moment, que divagations de femmes psychopathes qui rejouent les scènes de vengeances de la princesse Turandot ? On me dit qu’il y a une justice en France et que c’est pour cela qu’il est interdit de faire justice soi-même. Par contre, on ne me dit pas que la délation est une saloperie qui devrait être lourdement punie par la loi. Depardieu, à ce jour, est innocent des crimes qu’on lui impute et il le sera jusqu’à ce qu’un tribunal reconnu le condamne pour avoir trop été insolent. L’insolence a toujours été la contrepartie des tyrannies et des dictatures qu’on nous prépare.    


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