samedi 14 septembre 2024

le puits au fond du jardin • les avatars de la religion et de la politique



 

En fait, l’abbé Pierre était un grand malade sexuel doublé d’un sacré pervers, l’un n’allant pas sans l’autre. Et le monde entier lui baisait les pieds parce qu’il « réconfortait » les pauvres. Le vrai mal n’est pas là. Il est chez ses confrères dont quelques papes probablement, et quelques autres, qui savaient et qui, implicitement, soutenaient. Encore un héros déchu, comme on en rencontre à tous les coins de rue des villes et des jeux du cirque. Comment ne pas faire un lien avec Marie qui a eu un rapport consenti avec un ange, trompant ainsi son mari charpentier, tout en restant vierge. Sacrée perversité !

 

Rien ne va plus entre Ruffin et Mélen-Chien. Une situation identique ne va pas tarder entre Barnier et l’enfant immature au psychisme inabouti qui usurpe le poste de Roi de France. Bof ! Décidément, la politique reste le lieu le plus propice au mensonge, au déni, à la perversité et à la plus grande imbécilité. Les modes d’organisation d’un pays devraient être revus de fond en comble en confiant les manettes à des gens lucides et sachant et ayant derrière eux au moins quarante ans de thérapie psychanalytique freudienne, ce qui éviterait les avatars comme Macron et les marmites entières de cerveaux vides.


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