mercredi 2 octobre 2024
vu à travers le tube • la rupture mort-née…
Quand on n’a rien à dire, on
se tait. Quand des terroristes primaires et sauvages perturbent les réunions de
travail, soit on se retire en attendant qu’on leur ait administré les médicaments
nécessaires, soit on fait intervenir les forces de l’ordre pour les mettre au
trou. L’hésitation, le ni oui ni non, le je sais mais, ne sont pas de mise
lorsque qu’il est impératif de sauver un mourant. Ici, une, la France. La
rupture Barnier n’aura été qu’un mot parmi les rares entendus. Un mot de trop
malgré ce désert verbal vertueux. On sait maintenant. On a entendu. La rupture
n’a même pas réussi à être un embryon. Elle a vite été remplacée par la
continuité de l’indécence de la politique Macron, celle de cet enfant immature
dont le psychisme est inabouti, et qui a tellement honte que certains continuent
à le suivre qu’il ne cesse de se cacher. C’est de l’étranger, qu’il débite ses
vers raciniens, comme au théâtre où triomphait Jouvet ou Bernhardt, lui-même
comédien raté et qui pourtant ne quitte jamais la scène pour fuir les réalités.
Si je devais retenir un moment un peu sérieux de cette séance morne, c’est celui
de Le Pen qui, sur un ton ferme, a donné un sens au désir du peuple français.
Si l’on doit reparler de l’arc républicain, elle y est la seule inscrite. Les
autres, hors du champ, ne sont que des valets de pieds vermoulus qu’il faudra
songer à utiliser cet hiver pour illuminer la cheminée de mon salon François 1e.
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