mercredi 6 novembre 2024
vu à travers le tube • seul contre tous…
mardi 5 novembre 2024
le puits au fond du jardin • rira bien qui rira le dernier…
Bof ! Rien de nouveau ce matin. La folie, le déni, la perversité, sont toujours les maitres du monde. On reste baba devant ces nourrissons qui, pendus aux tétons de leurs pondeuses, se plaisent à trancher les crânes avec des haches, se plaisent à violer les vieilles dames, se plaisent à flanquer des rafales de Kalachnikov dans les derrières des promeneurs inconscients, se plaisent à déroger à toutes les lois dans l’impunité la plus totale, se plaisent à massacrer les fondamentales de nos existences avant que mon puits, au fond de mon jardin, ne les précipite dans le noir de son fond pour y finir leur misérable vie. Quel que soit le point proche ou lointain où je fixe mon regard, je ne vois que le rouge de nos sangs dans le noir des tombeaux des masques mortuaires enfermés depuis l’éternelle éternité. D’où pourrait venir cette massue salvatrice qui s’abattrait sur nos crânes vides pour secouer cette inertie lymphatique qui a contaminé la race humaine ? Je ne vois pas. Je ne sais pas. Par contre, je sais que Freud EST la solution. Mais voilà ! On me rit au nez. Rira bien qui rira le dernier… a écrit le poète.
lundi 4 novembre 2024
le puits au fond du jardin • deuil renouvelable…
Walter White est mort, hier à 18h43. C’est la cinquième fois, pour moi. Il avait une intelligence supérieure, mais était hors-la-loi. « J’ai aimé ça ! Je ne suis senti vivant ! » dira-t-il à Skyler, sa femme, en forme d’épitaphe. Les hommes ne sont pas ce qu’ils sont. Leurs comportements trompent le monde. C’est derrière les multiples façades que se déroule la vie, la vraie, celle que nous désirons ardemment. La perversité impitoyable de Walt et son opiniâtreté sans faille, font de ce mauvais garçon un héros glaçant, dégageant une humanité aussi pure que la meth qu’il façonne et qui fascine. Pourquoi ne cessons-nous de regarder l’éphémère et de l’injecter dans nos veines. C’est ce qu’il cache qui nous concerne. En suivant idiotement le système, nous fermons à double tour la porte des lumières. Pourquoi remettre en cause les fondamentales millénaires ? Serait-ce parce que nous sommes incapables de faire les différentiations ? Un homme est un homme, une femme est une femme, madame Coffin, madame Rousseau. Un noir est un noir, un blanc est un blanc, monsieur Bompart. L’islamisme et ses avatars sont des larves puantes qui sont en croisades contre nos civilisations, monsieur Mélenchon. Pour arrêter cette vague d’insanités, il est temps, et c’est urgent, de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher notre miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. L’équilibre du monde sera retrouvé et l’enfant au psychisme inachevé qui sert de roi à la France pourra enfin se retirer des jupes de sa maman toute ridée et qu’il a épousée et courir se faire soigner, en renonçant pour toujours à l’Élysée.
dimanche 3 novembre 2024
vu à travers le tube • flots et larmes…
En fait, il y avait trois repris de justice dans la suite royale des lèches-cul partis trois jours se la couler douce sous le soleil du Maroc : François-Marie Banier (abus de faiblesse), M’jid El Guerrab (violences volontaires) et Yassine Belattar (menaces de mort). Il y avait aussi celui que la justice a oublié volontairement : Jacques Lang (pédophilie). Il y avait aussi beaucoup de mémés abondamment ridées. Peu importe le protocole et la tradition. Saouler durant trois jours les français avec ces verrues cancéreuses tout en leur disant qu’ils allaient devoir se sacrifier pour rembourser la dette de la France dont ils sont totalement étranger, c’est d’une étrange perversité qui n’étonne personne au regard de l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi au pays. Dans ce monde dit moderne qui ne cesse de progresser en marchant en arrière, l’information est devenue le plus grand des dangers. Elle dévoile le dessous des rouages de la machine. Elle dévoile l’indécence des paroles et des images. Elle dévoile notre image, celle de petits cons minables qui ne sont que des riens. Le seul coupable est le peuple. C’est lui qui désigne ses dirigeants, ceux qui l’humilient et le détruisent dès qu’ils ont une once de pouvoir. À Milan, les islamistes ont envahi la célèbre cathédrale du Dôme. En France, on tue à tout-va et ceux qui tiennent la lame sont des enfants de 12, 13 et 14 ans. Islam, drogue, Mélenchon, sont un tout. Ce sont vos futurs maîtres absolus et c’est pour très bientôt. L’Espagne meurt sous les flots. Vous, vous allez mourir sous vos larmes.
samedi 2 novembre 2024
vu à travers le tube • le noir en lumière…
L’Intelligence Artificielle étend ses ailes et rogne l’espace pour se faire une place, la première, pour prendre le pouvoir et replacer l’homme dans sa réalité occultée qu’est la dépossession progressive de sa propre intelligence. Plus l’I.A. prend de l’importance, plus l’intelligence humaine s’efface et se soumet. Les robots partent en croisade, comme jadis, les Louis et aujourd’hui l’islam. Après avoir colonisé et décolonisé en partie, c’est au tour de l’Europe de se soumettre à ses nouveaux maîtres du Maghreb et de l’Afrique, et je ne crois pas que leurs habitants vont vraiment en rire. À force d’élire des pantins découpés dans du papier WC, il serait étonnant que ce soit une surprise. Bon courage les amis. Moi, je pars pour mon autre vie.