Le retour à la maison de Laura Palmer
Trêve à Gaza. Otages – s’il en reste – libérés. Enfumages et mensonges se succèdent. Tant qu’Hamas et ses clones n’aurons pas été exterminés jusqu’au dernier, la paix ne sera qu’une illusion. Et c’est sans compter avec les milliers de terroristes qui vont sortir des geôles d’Israël qu’il va bien falloir occuper. Il n’est par l’heure des réjouissances et ce moment ne viendra jamais. L’homme est lâche. C’est sa nature. Tout aussi dramatique – dans la lâcheté – le président, le premier ministre, le gouvernement, le Parlement, les élus, le peuple de France. La chute inexorable dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin se poursuit et les mâchoires aux grandes dents affutées vont se régaler. Et il y en a encore des millions de milliers qui n’ont pas compris Mulholland Drive , Inland Empire ou Twin Peaks Le Retour, alors que les films cités ne sont que leur l’image, celle qu’ils ignorent parce que jamais ils n’ont poussé la porte du cabinet de Freud pour y chercher leur miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. La solution n’est pas Mélenchon, Le Pen ou Vauquiez, la solution ne peut être que Freud, seulement Freud et rien que Freud. « Laura est l’unique ! » a dit la femme à la bûche. C’est bien pour cela que l’unique de l’unique, c’est bien Freud.
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