Israël. 8h30. Rien. Toujours
rien. Une heure de retard pour la remise des trois otages, une heure de retard
pour le cessez-le-feu. Négocier avec des terroristes n’abouti à rien. Les
terroristes sont faits pour être terrorisés. Hamas, comme à son habitude,
habitude de terroristes, ne tiendra pas parole. Et quoi qu'il en soit, l’accord
signé est un leurre, un scandale d’injustice. Israël doit poursuivre sa guerre
sans relâche jusqu’à extermination totale de toutes les vermines. Et si on
parle des otages, choses que l’on fait rarement alors que c’est le seul sujet,
qui a dit et affirmé en jurant sur sa mère qu’ils étaient vivants et en bonne santé ? On négocie sur des sables mouvants tout
en sachant que les décisions ne sont que des fétus de paille destinés à virevolter
au gré des vents qui affolent les girouettes. Une pensée pour les otages, même
s’il me semble qu’on se force un peu pour croire encore les revoir.
Le pantin avachi qui aura été
– je me demande comment – président de la République, un socialo associé aux
terroristes islamistes mélenchonistes, prétend – depuis qu’il est redevenu
député -, que « les socialistes
constituent désormais le pôle central au sein de l’Assemblée nationale, puisque
rien ne peut se faire sans eux ni contre eux ».
Comment, après avoir usé un scooter et couché
avec une figurante de mauvais cinéma, ose-t-il dire autant de conneries et
enfumer encore les quelques rares français que l’on ne trouve plus que dans les
hôpitaux psychiatriques ?
On me dit
que Drucker, au début du siècle dernier, a arraché Bollaert aux griffes de
Strauss-Kahn, un loup-garou que j’avais vu au cinéma en 1958, un dimanche
après-midi. J'en revois depuis, à mon Leclerc ou, parfois, sur la place du marché. Ils ont aussi de grandes dents !
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