dimanche 19 janvier 2025

vu à travers le tube • lâchetés…

Israël. 8h30. Rien. Toujours rien. Une heure de retard pour la remise des trois otages, une heure de retard pour le cessez-le-feu. Négocier avec des terroristes n’abouti à rien. Les terroristes sont faits pour être terrorisés. Hamas, comme à son habitude, habitude de terroristes, ne tiendra pas parole. Et quoi qu'il en soit, l’accord signé est un leurre, un scandale d’injustice. Israël doit poursuivre sa guerre sans relâche jusqu’à extermination totale de toutes les vermines. Et si on parle des otages, choses que l’on fait rarement alors que c’est le seul sujet, qui a dit et affirmé en jurant sur sa mère qu’ils étaient vivants et en bonne santé ? On négocie sur des sables mouvants tout en sachant que les décisions ne sont que des fétus de paille destinés à virevolter au gré des vents qui affolent les girouettes. Une pensée pour les otages, même s’il me semble qu’on se force un peu pour croire encore les revoir.

 

Le pantin avachi qui aura été – je me demande comment – président de la République, un socialo associé aux terroristes islamistes mélenchonistes, prétend – depuis qu’il est redevenu député -, que « les socialistes constituent désormais le pôle central au sein de l’Assemblée nationale, puisque rien ne peut se faire sans eux ni contre eux ».

Comment, après avoir usé un scooter et couché avec une figurante de mauvais cinéma, ose-t-il dire autant de conneries et enfumer encore les quelques rares français que l’on ne trouve plus que dans les hôpitaux psychiatriques ?

 

On me dit que Drucker, au début du siècle dernier, a arraché Bollaert aux griffes de Strauss-Kahn, un loup-garou que j’avais vu au cinéma en 1958, un dimanche après-midi. J'en revois depuis, à mon Leclerc ou, parfois, sur la place du marché. Ils ont aussi de grandes dents !

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