vu à travers le tube • rira bien qui rira le dernier…

 

Je n’aurais jamais imaginé qu’en attente du passage à l’autre rive, je vivrais ces moments d’indécences qui bornent nos vies.  Le retour victorieux de Trump vomit par les petits pantins de la France et de l’Europe devant un homme qui a des couilles et qui agit ; l’écroulement pitoyable de l’enfant au psychisme inachevé qui entraine la France avec lui ; le Premier ministre assis entre deux chaises, qui caresse et cajole les socialistes, élus grâce aux fascistes islamistes mélenchonnistes ; Rotailleau, seul ministre efficace, qui se fait remonter les bretelles par la Justice, simplement parce qu’il agit, sans que cela fasse sourcilier l’œil du président et du Premier ministre ; l’idée même de taxer les retraités et demander au peuple de travailler à l’œil ; cet engagement fou-furieux dans le tout électrique sans en mesurer les conséquences ; le dévoiement et l’aveuglement de France Inter, France Info, BFM, Quotidien et C dans l’air, sectes foudroyantes, dans la plus misérable des délations. L’orgie démoniaque s’est emparée de la France, noyée sous la bien-pensance qui n’a plus que l’aboiement et la censure pour tenter de survivre à son ignorance. Riez, riez, braves gens – pas vraiment braves -, riez à gorge déployée. Riez, alors que vous ne voyez même pas votre chute dans le noir du fond de mon puits. Riez encore et encore, parce que, depuis tous les temps passés et présents, rira bien qui rira le dernier.