vendredi 24 janvier 2025

vu à travers le tube • tic toc tac…

Sur une autoroute française, un individu qui venait de régler son péage avec son smartphone - ce qui est interdit par la loi puisqu’on n’a pas le droit de tripoter un smartphone lorsque l’on conduit – a été arrêté et verbalisé par la police des péages. Il s’est plaint sur Tic Toc. Son cri de détresse a été lu par un fervent tictocien, qui usant abusivement de ses pouvoirs considérables, lui a écrit en langage tictocilien qu’il s’occupait de son affaire, qu’il allait lui faire rembourser son PV et qu’il allait faire procéder à la fermeture de ce péage terroriste. Alors qu’il lui faut six mois pour nommer un Premier ministre, il lui a fallu six secondes pour sauver la pauvre victime de l’infamie. L’enfant au psychisme inabouti aurait dû demander conseil à sa maman avant d’agir, d’autant qu’il l’a épousée et qu’elle est toujours près de lui, de jour comme de nuit. L’individu est un influenceur islamique qui ne cesse – sur Tic Toc – de vilipender et d’insulter le président de la République démocratique de la France. Cette fable m’a tellement fait rire que j’en ai fait pipi dans mon bidet.

 

Hier, j’ai admiré le courage de Marion Maréchal qui a accepté d’affronter le « journaliste » gaucho-islamique de BFM, Benjamin Duhamel, qui a tenté, en vain, de la précipiter dans le noir du trou du fond de mon puits. Il n’a pas eu raison de sa lucidité, de sa juste vision du monde et de ses propositions positives pour essayer de sortir la France du gouffre abyssal dans lequel la lâcheté et l’ignorance l’ont plongée. Puis ensuite, sur Cnews, le retour d’Éric Zemour fut un moment fort et apaisant. Rencontrer et écouter des gens qui ne délirent pas est plutôt réconfortant. Hélas, l’ignorance des peuples influençables et conditionnés, n’est pas le bon chemin pour ceux qui ont la capacité de sauver leur pays, envers et contre tous.

 

L’endoctrinement est le mot pour décrire le spectacle désolant d’une terre qui ne se vide pas de ses habitants en raison des caprices climatiques, mais en raison de la déraison de ses occupants. Le socle a disparu. L’attache s’est brisée. Les formes disparaissent sous les tsunamis d’excréments. Les pensées fracassées se bousculent au portillon. Le néant surgit. C’est irrémédiable : c’est fini.


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