samedi 25 janvier 2025

vu à travers le tube • c’est en zappant qu’on ouvre les yeux…

 

C’est en zappant qu’on affute et affine ses idées. Les miennes sont devenues lames aiguisées à un tel point qu’elles coupent sans s’approcher. Je navigue d’une rive à l’autre, de la droite la plus extrême à la gauche de l’extrême des extrêmes. Je passe de France Info à Europe 1 et de Cnews à BFMTV, chaque jour et maintes fois. Je ne serai pas objectif parce que l’objectivité, c’est l’invention de quelques esprits fracassés. Je serai donc subjectif dans son entièreté. C’est à gauche, dans toute son étendue, que je rencontre la haine, de désordre mental, la contre-nature de l’authenticité, l’abjection de vouloir faire copuler la carpe et le lapin. On ne mélange pas les racines de la carotte à celles du peuplier. Sur cette terre, on a chacun notre case et vouloir en changer ne peut que déclencher les hostilités. Se couper de nos fondamentales, entraîne ce que vous savez, ce que vous vivez, ce que vous subissez. Le monde, et en France tout particulièrement, toutes les gauches méprisent le bon sens de Trump, mais aussi celui de Rotailleau, et ce mépris est l’acte des lâches et des ignorants. Je suis sidéré par les imbécilités que j’entends dans la bouche des révolutionnaires en culottes courtes. Ce n’est pas que l’immigration qui est grave. C’est avant tout l’invasion depuis plusieurs siècles des islamistes purulents qui pondent de la marmaille à la chaine pour réaliser leur rêve qu’est le grand remplacement. Nous y sommes… presque. Ils veulent le pouvoir depuis si longtemps et installer la charia même dans les coins les plus reculés. Et les gauches inconscientes applaudissent. Pas pour encore très longtemps.  

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire