Après les Victoires de la musique – qui y entend de la musique ? -, sévira les Victoires du mauvais cinéma par la bouche des Césars où l’on va se bisouter goulûment et trainer dans la boue l’homme à pénis et la femme à vagin. Depuis Ford, Hitchcock, Godard et Lynch, le Cinéma a perdu sa majuscule et l’on ne rencontre plus que des pensées inabouties qui collent bout à bout des images en couleur et animées. Et puis, surgira le pompon, Cannes et ses filles aux seins pendant et aux fesses rebonds qui vont chialer devant le micro parce que des hommes à couilles auront porté leurs regards sur leurs attributs. La bêtise est de partout, du parvis de Notre Dame aux chiottes des tire-fesses d’Avoriaz. Les psychopathes sont de partout aussi et, comme Freud, la lucidité a été exécutée. Rassurez-vous. Très bientôt, vous serez robot tout en ferraille et vous exécuterez la loi de l’IA. C’est chouette ! Non ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire